ET VLAN §Repond à mes questions si tu as de l'honneur comme tu le pretends....
Sur ce site on est suffisamment grands pour reperer les ruptures de styles dans un texte et voir qu'il ne peut etre l'oeuvre d'une seule et meme personne
SANS COMMENTAIRE !
SUITE /
Seul le bruit du ruisselement des eaux et quelques cris d'oiseaux au loin se faisaioent entendre .
Les traces arrivaient jusqu'à la ,rive de l'oued et disparaissaient subitement.
Sur l'autre berge séparée par un torrent d'eau bruyant , elle vit des broussailes et une pente raide de l'autre coté du ravin , pour y arriver , il faut traverser le lit de l'oued à la nage ; les eaux sont tumulteuses et obsures, comme dans une crue d'été .
Oum el kheir ! ne sachant pas nager eut un doute terrifiant :
jilla savait nagait !
A t'il traversé L'oued ?
elle resta là ! toute hebétée et tremblante de peur ,habitée par mille et mille crainte .
s'est il noyé ???
Elle reveint sur ses pas et se dirigea à une hauteur egale de l'autre berge .
Une fois arrivée , elle mit ses mains en porte voix et appela de toute ses forces .
"Jilla ! jila!!!!!!!"
le soleil de midi tapait dru sur sa tète .
Ses pieds etaient enflés et en sang ,ses robes mouillées et déchirées par les broussailles pour rien .
Son enfant a disparu à tout jamais !
Elle eclata en sanglots en se frappant les cuisses de douleur .
" il s'est noyé ! il s'est noyé ! :
répétait oum el kheir comme une folle .
à suivre !
un berger n'a pas l'honneur pour parler à des érudits si intelligents comme vous !Repond à mes questions si tu as de l'honneur comme tu le pretends....
Sur ce site on est suffisamment grands pour reperer les ruptures de styles dans un texte et voir qu'il ne peut etre l'oeuvre d'une seule et meme personne
Sache mon cher que tout le monde sait se servir des moteurs de recherches...tout le monde peut voir que tu n'es qu'un plagieur jusque dans les illustrations que tu viens de poster.... cite donc les sources des tableaux et des photos que tu postes....elles ne t'appartiennent pas pour faire croire qu'elles illustrent la pseudo legende de ta PURE tribu.
voilà tu a tout compris le grand savant !!!!Agoram a raison sur le point de la pureté de sang que tu as évoqué, et que tes ancetres essayaient de préserver coute que coute. cela s'appelle du racisme tout simplement, visant à instaurer la suprématie d'une race sur une autre, et cela va à l'encontre des préceptes de l'islam, dont ta tribu représente la propagation comme tu as dit précedemment. dans le coran est dit : "ina ja3alnakoum chou3oubane wa 9abaila lita3arafou..." il y'a un grand paradoxe entre les principes de l'islam et ce que ta tribu faisait. peut etre que les jilla, enfin de compte, ne prenaient que ce qu"ils voulaient du coran, un peu comme toutes les tribus arabes venues s'installer en afrique du nord, et dont l'objectif était avant tout économique, sous le couvert de l'islam !
preserver sa race ça s'appelle conservatisme , le raciisme s'est votre credo à ce quie je constate tt les jours que dieu fait à coups de gueule de votre part !Agoram a raison sur le point de la pureté de sang que tu as évoqué, et que tes ancetres essayaient de préserver coute que coute. cela s'appelle du racisme tout simplement, visant à instaurer la suprématie d'une race sur une autre, et cela va à l'encontre des préceptes de l'islam, dont ta tribu représente la propagation comme tu as dit précedemment. dans le coran est dit : "ina ja3alnakoum chou3oubane wa 9abaila lita3arafou..." il y'a un grand paradoxe entre les principes de l'islam et ce que ta tribu faisait. peut etre que les jilla, enfin de compte, ne prenaient que ce qu"ils voulaient du coran, un peu comme toutes les tribus arabes venues s'installer en afrique du nord, et dont l'objectif était avant tout économique, sous le couvert de l'islam !
ce n'est que virtuel et une maigre esquisse d'un vieux radoteur et berger en plus et à la fin de ces jours !!!!
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suite !
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Ce jour là ! bien avant l'incident ; Jilla s'est levé, dés l'aube comme d'habitude ;a enfilé sa Djellaba noire rayée de laine sur sa abbaya ( longue chemise de nuit ) et s'est dirigé vers la sortie de la tente de sa mère .
Cette dernière était accroupie devant le feu et pétrissait des galettes de nbessas ( petits fours de semoule au beurre ) sur un tadjine en terre cuite , posé sur les braises directement , mis en équilibre par trois grandes pierres de rocaille .
Quoique faisant partie du harem, elle était aussi sa LALA (maîtresse) attitrée, car elle était la première épouse de Sidi.
Elle avait sa propre tente avec ses deux fils : Jellou, son aîné de trente ans et Jilla.
Celui ci !
Posa tendrement, un baiser sur sa tète, cernée d'un foulard coloré, tel le
plumage d'un cop de campagne.
Elle retournait les petits triangles sur le tadjine brûlant en rafraîchissant ses doigts en les suçant.
Le beurre des brebis rosissait les petits fours et les rendait cramoisis .
-- fais tes ablutions et ta prière et viens prendre ton ftour !(déjeuner du matin) ordonna t'elle à son fils , mal réveillé .
-- J'attends que mon khadem (esclave noire) me ramène du lait ."
-- Elle ne tarderas pas de venir " précisa t’elle, pressée d'en finir avec sa corvée familiale pour rejoindre ses taches de maîtresse du harem.
Jilla sortit et décrocha l'outre d'eau des deux troncs de pins croisés sur le seuil qui servaient d'entrée .
Il remplit une écuelle d'argile cuite et partit derrière un talus de touffes d’alfa.
Il s'accroupit en relevant sa djellaba et sa chemise, une brise glaciale pénétras ses reins : il eut une grimace et changea de position, mettant le talus derrière lui.
Ce geste va changer le cours de sa vie et toute sa destinée.
A quelques mètres de là !
Se dressait la tente du harem.
Il vit une femme, s’étirant les bras en croix, les cheveux découverts devant le seuil de cette dernière.
Il reconnut Chadia, la nouvelle femme de Sidi.
"Sacrilège ! pensa t’il, elle se fout de notre honneur ! , la garce !".
Pensant n'être vue de personne, Chadia bailla et s'étirait à en mourir de plaisir , exhibant l'epaule droite nue .
Ce jour là ! bien avant l'incident ; Jilla s'est levé, dés l'aube comme d'habitude ;a enfilé sa Djellaba noire rayée de laine sur sa abbaya ( longue chemise de nuit ) et s'est dirigé vers la sortie de la tente de sa mère .
Cette dernière était accroupie devant le feu et pétrissait des galettes de nbessas ( petits fours de semoule au beurre ) sur un tadjine en terre cuite , posé sur les braises directement , mis en équilibre par trois grandes pierres de rocaille .
Quoique faisant partie du harem, elle était aussi sa LALA (maîtresse) attitrée, car elle était la première épouse de Sidi.
Elle avait sa propre tente avec ses deux fils : Jellou, son aîné de trente ans et Jilla.
Celui ci !
Posa tendrement, un baiser sur sa tète, cernée d'un foulard coloré, tel le
plumage d'un cop de campagne.
Elle retournait les petits triangles sur le tadjine brûlant en rafraîchissant ses doigts en les suçant.
Le beurre des brebis rosissait les petits fours et les rendait cramoisis .
-- fais tes ablutions et ta prière et viens prendre ton ftour !(déjeuner du matin) ordonna t'elle à son fils , mal réveillé .
-- J'attends que mon khadem (esclave noire) me ramène du lait ."
-- Elle ne tarderas pas de venir " précisa t’elle, pressée d'en finir avec sa corvée familiale pour rejoindre ses taches de maîtresse du harem.
Jilla sortit et décrocha l'outre d'eau des deux troncs de pins croisés sur le seuil qui servaient d'entrée .
Il remplit une écuelle d'argile cuite et partit derrière un talus de touffes d’alfa.
Il s'accroupit en relevant sa djellaba et sa chemise, une brise glaciale pénétras ses reins : il eut une grimace et changea de position, mettant le talus derrière lui.
Ce geste va changer le cours de sa vie et toute sa destinée.
A quelques mètres de là !
Se dressait la tente du harem.
Il vit une femme, s’étirant les bras en croix, les cheveux découverts devant le seuil de cette dernière.
Il reconnut Chadia, la nouvelle femme de Sidi.
"Sacrilège ! pensa t’il, elle se fout de notre honneur ! , la garce !".
Pensant n'être vue de personne, Chadia bailla et s'étirait à en mourir de plaisir , exhibant l'epaule droite nue .
<!-- google_ad_section_end -->à suivre !![]()
16/12/2007 15h54
Adrar-n-illouz
Date d'inscription: January 2004
Messages: 1 715
Bonjour Jilla!
En tant qu amazighe je ne crois pas qu il ya un vrai cherif aussi bien en algerie qu au Maroc.
J me permets de te critiquer sur l usage du lexique dans ce paragraphhe si dessous:
Tu ne maitrises pas le lexique francais pour exprimer les sons et les bruits et comme tu sembles prendre des plaines pour des montagnes
je crois que tu prends des oiseaux pour des mamiferes
.Depuis quand un oiseau crie?
Tu as des problemes d etymologie en geographie physique tu prends la Plaine pour montagne et un torrent est nomme torrent parceue justement l ecoulement de ses eaux font un bruit.
On ne traverse pas un torrent en crue sauf evidemment si on est emporte par la crue des orages d ete si frequents en afrique du nord.
c'est trés savant ça !
bigre !
et dire que je suis berger !
avons nous des torrents en afrique du nord ou avons nous des torrents temporaires qui durent la duree d une giboulee ou la fonde des neiges ou le temps d un orage.
Je ne pousse pas plus loin la critique,car il n y a pas matiere critiquer.C est un delire pour le moment
j'ai dit que j'avais besoin de commentaires ou de critique pas litteraire au sens du moot car je sais que certains n'ont l'etoffe de la charge , mais des critique comme clleci suir les cris d'oiseaux c'est bien et uje vcais changer en gazouillis d'oiseaux .
Merci pour la correction .