pour les filles

Avis

Il a bien mérité la paire de chaussures,
Qu'un inconnu lançait dûment sur sa figure,
Exprimant l'opinion des peuples en pature,
Massacrés et ruinés par l'arrogante allure
D'un président sortant,vantant toutes bavures!
L'histoire va noter sa pire investiture.
 
Re : Avis

Il a bien mérité la paire de chaussures,
Qu'un inconnu lançait dûment sur sa figure,
Exprimant l'opinion des peuples en pature,
Massacrés et ruinés par l'arrogante allure
D'un président sortant,vantant toutes bavures!
L'histoire va noter sa pire investiture.

 
L'Echec et mât

"Pathait"était un roi Indien,sage et puissant
Il reignait autrefois sur le sous continent.
Sa reigne n'a connu ni guerres ni souffrances
Il instaurait la paix partout en bienveillance

Un jour il a groupé autour de lui sa cour
Demandant aux ministres d'entreprendre un concours
Pour inventer un jeu de stratégie de guerre
Afin de n'oublier qu'elle peut toujours se faire

Deux courants de pensées préoccupaient les gens
La première censée que les humains sont libres
De leurs choix et leurs gestes!Quant à l'autre courant
Fustigeait que tout homme est contraint et lugubre!

Aprés un certain temps,parmi les jeux présents
Un choix intéressant attira l'attention
Présenté par Sassa philosophe du royaume
Et le roi demanda faire une initiation

Et Sassa commença à expliquer l'action:
"Cet échiquier mon Sir représente la vie
Soiçante quatre cases c'est l'age de raison
Les couleurs sont en fait celles des jours et nuits

Les quatre coins ne sont que les coins cardinaux.
L'armée du mal essaie de conquérir la terre
Mais la bonne armée s'oppose dans des combats vitaux
C'est ainsi noirs et blancs sont constamment en guerre

Les pions de chaque armée ressemblent a ces gens
Ici prédestinés à vous servir mon roi
Et chacun dans son rang se sacrifie en joie
Pour préserver la vie de notre roi clément..."

Une fois initié à ce jeu attrayant
Il a fort apprécié l'action et sa portée
Voulant récompenser Sassa pour l'invention
En lui offrant ce que sa volonté optait

Sassa n'a réclamé qu'un petit grain de blé
Pour la première case,puis qu'il soit bien doublé
La somme en traversant d'un carré au suivant
Jusqu'à la fin des cases,il ne veut pas d'argent

Le jeune roi a cru que cet homme est phobique
Alors il faut payer pour ce choix trés pudique
Appelant le trésor pour faire le calcul:
Il s'est avéré que la somme n'est pas futile!

Le calcul de la somme a été terrifiant(1)
Si dix grains vaut un gramme,comptez le poids qu'ils font:
Après maintes calculs le trésorier disait
Qu'il vous faut pour suffir les récoltes de mille ans!
Etonné le roi dit de choisir autre don!

Le sage a répliqué d'aider les pauvres gens
Qui n'ont rien à manger toujours en leur offrant
Du travail pour qu'ils puissent bien vivre dignement .
Et le voeux de ce sage a été gratifiant!

Aprés un certain temps un illustre penseur
Pour contrer le courant que l'homme est le maître
De ses choix inventa sur le même conteneur
Un autre jeu des dames prouvant le joug des êtres:

Notre marge d'agir dans toutes sociétés
Ne pouvait contredire et toujours limitée
On ne peut que subir obligé à dompter
Au destin nos désirs loin de nos volontés

-------------------
(1)-soient 18 446 744 073 709 551 615 grains,sachant qu'un grain
de blé pèse 0,10 g Ou 1 844 674 407 371 tonnes de blé.
 
Au bal masqué

Je n'ai vu que ses yeux luire sous masque noir.
Ils étaient azurés,et d'un éclat notoire.
J'ai voulu voir son corps,entre mes bras se choir,
Mais l'envie ne suffit jamais d'avoir la gloire !

J'ai vu deux longues mèches pointer des deux côtés.
Coloriées pure pêche ou du miel importé,
Ondulantes mais pêchent d'un mouvement sauter.
Et les parties très fraîches,du corps,je les ratais!

Sa bouche un beau joujou qui glorifie l'orfèvre.
Ses lèvres des bijoux m'ont jetée dans la fièvre.
Sans oublier le cou fin un joli chef-d'œuvre.
L'épaule me rend fou,balançant comme pieuvre.

Les seins dans les sursauts divaguaient comme houle,
Pointés dans un air haut,très peu cachés des foules.
Et un pantalon gros, d'en bas mais le haut moule,
Montrant l'amphore beau:qui enchante et saoule.

Sa voix qui raisonnait:une flûte enchantée,
Laissait emprisonner mon cœur et l'empâter,
Le charme qui sonnait de ses propos jetés
Dévie les cantonnés ermites et piétés.

Je n'ai pu retenir mes élans sensuels,
Et je n'avais des yeux que pour ma demoiselle:
Comme une libellule accrochée par ficelles
A ses mains je tournais constamment autour d'elle!

J'aurais payé un an de ma vie pour l'avoir
Dansée collée à moi et beaucoup plus pour voir
Ses seins contre ma bouche,seules dans une foire .

Je me suis rapprochée d'elle pour l'accoster,
Mais j'étais empochée par quelqu'un à côté,
Et je n'ai pu lâcher un mot pour l'affréter!

C'était une soirée avec quelques amis,
Et j'ai bien regretté d'être nombreux venus:
Si j'étais,vraiment seule,je l'aurais sûr suivie,
Pour découvrir la meule tapie sous ses habits!
 
La force de l'amour

Chaque fois que tes yeux parcourent mon visage,
Je me sens emportée dans une étanche cage;
L'effet de tes regards engourdit tous mes plages,
Et je me sens coincée dans un beau sarcophage.

Parfois je me demande,d'où cherches-tu la force
Pour disloquer mon corps et causer des entorces!
Moi qui croyait solide assez pour toute amorce:
Livide devant toi comme une vile écorce !

Quand je pense à toi,même en étant absente,
Ma dissension s'accroit et l'émotion ardente
Envahit mes parois,pour vivre dans l'attente
De te voir près de moi et exhausser la pente!

Ce mal qui m'affaiblit n'acquiert aucun remède;
Tu es la vraie potion de tout ce que je plaide,
En étant à la fois ma douleur et mon aide:
Alors reste comme ça mon heur et mon heurt raide!​
 
Re : pour les filles

pour les femmes de ce forum, je viens de creer, le groupe timgharines, en facebook, pour l'echange des idées, des suggestions entre femmes marocaines chleuhs, qui aiment se connaitre, et faire des loisirs, des arts....etc.
vous etes toutes les bienvenus, veuillez contacter ce lien:
Sirene Lamya | Facebook
 
Chéri aux yeux verts

Mon beau chéri aux yeux verts
Rien ne sera comme avant
Que m'as-tu vraiment offert ?
Pour fêter le nouvel an?

Dans ma tristesse je perds,
Je me sens vider du sang.
Mes yeux te pleurent,trés cher!
Mon corps te cherche souvent.

Je sens mon coeur qui se serre,
Quand je pense à toi,mon grand:
J'avoue je n'ai plus de nerfs,
Et supporte mal les gens

Les entendre: ma galère;
Tout devient noir et pourtant,
Nous étions heureux sur terre,
Enviés pour notre engouement.

Je n'ai jamais cru défaire,
Plonger de détresse aux fonds:
La mort d'un cher est amère!
Je vais te pleurer longtemps.​
 
Ma perle noire

Assise auprès du feu,crépitant d'étincelles,
Ressemblant aux regards de ses yeux qui harcellent,
Ou ses lèvres trés douces,dessinées au pastel.
Et la chaleur diffuse d'un corps assez cruel,
Incitant aux envies des touches sensorielles.

Son visage apparait dépassant toute braise,
Par l'éclat rayonnant de sa beauté à l'aise.
Une peau d'un mélange de chocolat et fraise.

J'ai encore aux mains,la chaleur de son corps.
Et je me vois entrain de réveiller qui dort,
Des atouts féminins,ressuscitant les morts.
Mais tout ça s'est enclin par volonté du sort!

Son corps qui est tout noir tel ces bouts de charbons.
Il me manque ce soir:chocolat sur bonbon.
J'ai bien dit au revoir supportant l'abandon,
Je l'ai fait pour sa gloire et malgré mes tourments.

Ma bien aimée je souffre,sans pouvoir oublier.
Tu m'as mis dans un gouffre, et je dois me plier.
Dans ma gorge le soufre,je subis sans crier.

Je ne sais si je peux oublier ton sourire,
Le regard de tes yeux, et l'éclat de ton rire,
Ton parfum,heureuse,que je sentais venir
Me chatouiller un peu, et derriere toi courir.
Tes caprices et tes voeux de pouvoir tout m'offrir,
Sans jalousie et mieux sans rancunes des dires.
Je pense sous ces cieux,sans toi je vais souffrir!



 
Papa Noel

Petit Papa Noël,
Je ne demande rien
Qu’un petit coin de ciel
Sans le gris du chagrin ;
Un petit bout de terre
Et un peu de silence,
Le bruit fort de la guerre
Me vole mon enfance ;

Petit Papa Noël
Je ne demande rien
Qu’un petit coin de ciel
Et un morceau de pain ;
Assis dans le désert,
Dans les bruits du silence,
Je fais une prière
Pour sortir de l’enfance ;

Petit Papa Noël
Je ne demande rien
J’offre mon coin de ciel
Aux enfants du chagrin.
 
Mon coeur un lac...

Mon coeur est un beau lac solitaire qui tremble,
Hanté d'oiseaux furtifs et de rameaux frôleurs,
Où le vol argenté des sylphes bleus s'assemble
En une nuit limpide où défaillent des fleurs.

La lune y fait rêver ses pâleurs infinies ;
L'aurore en son cristal baigne ses pieds rosés ;
Et sur ses bords, en d'éternelles harmonies,
Soupire l'orgue des grands joncs inapaisés.

Un temple est au milieu,tout en colonnes blanches,
Éclos dans les tiédeurs secrètes du jasmin ;
Des ramiers bleu-de-ciel s'aiment parmi les branches...
Et lequel peut se mettre le premier en chemin ?

Les gondoles sont là, fragiles et cambrées
Sur l'eau dormeuse et sourde aux enlacis mourants,
Les gondoles qui font, de roses encombrées,
Pleurer leurs rames d'or sur les flots odorants.

Les nefs d'amour, avec leurs velours de simarres,
Captives en tourment, se meurent sur les eaux...
Oh ! quels doigts fins viendront dénouer les amarres,
Un soir, parmi la chevelure des roseaux ?

Et lequel s'en viendra, quand sonneront les heures,
Voguer, pâle de lune et perdue en un ciel ?
Lequel au doux sanglot des musiques mineures
Dira sans ce mutisme les propos essentiels ?

Lequel-Edward ou Jacques-ou autre que t'en semble,
Me laissera aimer,le front sur ses genoux ?
Qu'importe...l'âme est triste et leurs baisers sont doux...
Mon coeur est un beau lac solitaire qui tremble,​
 
Coeur désarticulé

Je ne reviendrai pas dans ce paradis bleu,
Où j’allais retrouver mon tendre troubadour
Et je n’entendrai plus, sous la voûte des cieux,
Sa voix qui me berçait et me parlait d’amour.

Ce fut un jour maudit, qu’en houles déferlantes,
Ô Mer, tu vins dompter les chevaux du jusant,
Ce jour, où l’Océan, en trombes insolentes,
Vint se désintégrer entre des bras d’enfants.

Ô Mer que je chéris ! Ô Mer, toi que j’adore !
Pourquoi a-t-il fallu que tu rugisses, grondes ?
Quel vil toréador, quel assassin immonde
T’a planté son épée pour y semer la mort ?

Comme un taureau meurtri, sauvage et indomptable,
Mugissant de douleur, ta vague se cambra
Et l’eau, furieusement, bourreau impitoyable,
Courut s’écarteler en fougue et en fracas.

Quel sorcier, quel démon, quel ange délétère
A posé son regard sur ta croupe féconde ?
Satan s’est déguisé pour t’embrasser, ô Mer,
Et mieux t’abandonner tout en séduisant l’onde !

Voici que l’insolent, insensible et volage,
Tel un boa qui tord sa fourbe majesté,
Revint, fébrilement, pour inonder de rage
Cette plage où mon cœur fut désarticulé !​
 
Re : pour les filles

Combien de personne se ventera d’être Africain
Cette terre souillée par les vices humains
N’ayant pas l’esprit colonisateur
Il se défend par inertie contre l’envahisseur

O Anzar ! toi qui ne peut plus exister dans les cœur
Car l’Islam l’interdit et prend de l’ampleur
Quand les enfants du village t’appelant en chœur
Le monde est frappé soudain par une peur

Tu as avalé ta pomme d’Adam de ton arabisme
Tu as avalé ta pomme d’Adam de ton islamisme
Les écoles coraniques se transformeront en poule amazir
Gobeuses et pondeuses du bien sans mourir
 
Sexe symbole

Toi,pantalon très cher
Constat amère!
D'égalité,
Sexe symbole,
Conquis longtemps par équité aux pères,
Avec galère,
Et ras le bol!

Tu représentes bien
ma liberté.
Je ne veux pas te remplacer en robe.
Je suis trés probe,
D'affinité,
A ce défit!,
Sois alors phare de continuité
En netteté,
Et parti pris.

Toi mon symbole de toutes mes guerres,
Que j'ai menées,et puis entrain de faire!
Je suis trés fière,
De toi en somme,
Sur moi,tant pis si tu me serres ,
Ou tu me moules,
En rendant saoules,
Partout les hommes!
Ce n'est pas mon affaire!

Ma façon de contester leurs repères,
L'alter égo!Et ce qu'ils font et gèrent
De mes droits inéluctables de mère!
 
Aventure avec des triplées

J'étais au cinéma pour voir un film marrant,
Je riais aux éclats en suivant le roman;
Une histoire chouette racontait l'embarras
D'une femme coquette qui ressemblait à moi!

J'avais à mes côtés une mademoiselle,
Jeune qui s'éclatait de rire aussi formel;
Ce qui nous a aidées à d'échanges verbales,
Puis on s'est invité au café dans un hall.

En route vers le bar,après avoir fini,
Je l'ai bien regardée avec son air jeunôt
Belle et rigolotte,habillée en mini,
J'étais ainsi séduite avant d'avoir ce pot

Au bar à mes cotés,j'ai lorgné ses deux jambes,
Roses et bien moulées,attiraient ma hantise;
Des seins comme j'aimais,jolis en belle rampe;
Un visage parfait aux lèvres bien exquises

Ses cheveux en chataigne,vaguaient avec ses gestes,
Et ses yeux bleus foncés harcelants me traquaient
L'apparent m'a conquise,j'imaginais le reste
Caché sous ses habits:des trésors embarqués !

Nos langues s'affinaient en buvant quelques verres,
En racontant nos vies,tendances et amours
J'ai du confesser être charmée par sa beauté
Et le désir que j'ai pour elle sans détours
Elle écoutait rougie mais sans embarras guère
Et ses yeux bleus brillaient:signes d'alacrité!

Puis elle a avoué que j'étais à son goût
Avec mon corps sportif et tant d'autres atouts,
Qu'elle n'a d'expériences entre femmes du tout
Et qu'elle était curieuse des élans assez fous
Qui l'attiraient vers moi pour un rendez-vous doux

Ses lèvres en parlant frémissaient par envie
Et sa main s'approchait de la mienne en appui
Alors j'ai effleuré ses lèvres et j'ai pris
Sa main en la serrant pour calmer sa lubie

Ensuite j'ai proposé de l'emmener chez moi
Elle m'a dit chez elle serait plus adéquat
Sa maison n'est pas loin,et se serait sympa
D'y aller en marchant,elle est à quelques pas!

Je marchais impatiente de découvrir son corps.
La serrant par un bras,oubliant tout dehors
Embrassant ses deux lèvres,suçant sa langue fort
Caressant ça et là pour achever son sort .

Dans sa belle maison on s'est vite introduit
Dans sa chambre à coucher et dans son lit douillé
Elle a éteint la lampe allumant des bougies
Pour rendre poétique nos deux corps éveillés

Quand elle a vu mes seins,s'est vautrée comme folle
A sucer les deux grains réveillant ma nature
Et du coup j'étais prête pour elle et sa carure.
J'ai commencé mon jeu en renversant les rôles!

Je me suis emportée à toucher tous ses coins
Sucer et caresser ses centres de jouissance
J'ai voulu que l'ébat de nous deux dure loin
Mon libido parfait et ma concupiscence

J'avais la nuit entière pour profiter du charme
De son superbe corps:je n'étais pas hâtée
A avoir mon plaisir et après jeter l'arme?
Laissant ma belle jouir d'orgasmes répétés.

Elle ne pouvait enfin prolonger les ébats
Elle s'est excusée pour aller aux toilettes
Promettant revenir se blottir contre moi
Vite pour de nouvelles touches et amourettes.

Après quelques minutes,elle revenait vers moi
Fraiche et pétillante avec son corps mignon
Pour recommencer tout,mais son corps était froid
Son approche et ses gestes:tout était différent

Je me suis dit peut être sa toilette a causé
Un certain changement dans sa façon d'agir
Puis j'ai laissé tomber les doutes qui pesaient
Pour se concentrer sur son corps et nos plaisirs

Acharnée pour avoir le maximum de joie
J'avais comme impression qu'elle n'est pas la même
Mais j'ai tout fait pour plaire ma déesse des fois
En calinant ses coins et fait tout ce qu'elle aime

Exténuée disait qu'elle revenait de suite
Je lui ai dit ok j'attendais son retour
Mais j'étais étonnée de penser dans sa fuite
Que j'avais approché d'autre femme en cours

Puis après quelque temps elle est bien revenue
je l'ai trouvée encore différente mais belle
j'ai pensé que mes doutes n'étaient jamais réels
Et j'ai laissé tout pour s'occuper du charnel

J'ai mis tout mon pouvoir pour assurer sa liesse
Mettre son corps à plat par actes et caresses
Ses plaisirs déferlants de nos ébats et messes
L'ont submergés de joie en saccade et sans cesse

Puis elle s'est retirée en me laissant au lit
Je me suis dit assez cette nuit ça suffit
Je me suis habillée attendant son repli
Et c'était la surprise illustre de ma vie!

Trois femmes rentraient ensemble dans la chambre
Une même beauté dupliquée sans encombre
Elles m'ont expliquées en s'excusant à rompre
Qu'elles étaient triplées partageant tout dans l'ombre

j'ai dit j'aurai aimé les avoir réunies
Dans le lit pour subir leurs charmes et défis
Les trois ont acquiessé qu'elles aimaient aussi
Me rencontrer plus tard où nous serons ravies!​
 
Ensorceleuse

Ses mots jetés si doux qu'ils m'ont déconcertée!
Son sourire charmeur m'a vite ensorcelée!
Son visage enjôleur,m’a ravie et flattée!
Et ses yeux de princesse,ont su me harceler!
Son corps tout en chaleur m’a crûment sabotée!

Je n'ai d'yeux que pour elle,tendre fille d'albâtre;
Elle a su perturber,mon pauvre coeur,de battre,
Et bouleverser mon âme:je ne peux plus m'ébattre:
J'étais hypnotisée,gisée comme du plâtre.
Elle est assez agile,et agit comme quatre:
Je n'ai pas pu la suivre,surprenante,folâtre!
Elle va m'épuiser joliment et m'abattre.​
 
Hypnose envoutante

Toi qui assois au chaud devant l'ordinateur!
Laisse tout haut ton esprit et ton coeur!
Lis lentement mes mots, en bonheur:
Me dans ce flot,dénudée en chaleur!
Mon corps offert en dot à tes yeux sans pudeur:
Il est à toi ma peau,défonce sans frayeur!

Ton regard qui me scrute me voit surgir des lignes,
Il reflète l'envie qui trame et culmine
Dans toutes les parcelles de ton corps,et fulmine:
Il ne te suffit point d'aviser l'opaline
De mon corps dénudé,exposé qui fascine:
Tu cherches le concret pour survoler ma mine,
Et tes lèvres tremblantes,un avant-coureur signe!

Tiens je te tends mes lèvres,à l'approche des tiennes,
Attends la douce fièvre se répandre des miennes.

dans mes yeux,pour sonder cette stress
D'attendre ton exploit couronnant ma promesse
De me livrer à toi corps et âme sans cesse;
Et prends soin du offert à tes caresses.

Mes lèvres reflètent mon désir
D'être atteinte,certes, par l'action à venir
De ta bouche mordante du miel à conquérir
Tapi entre mes lèvres mais prêt à t'assainir...
Alors suce les pentes, des kirs!

Si tu veux conquérir la poitrine alléchante,
Et voir les seins durcir sous tes mains convergentes:
Alors descends saisir mes poires fascinantes;
Malaxe leur textures par des touches savantes,
Suce les bouts dressés par l'envie aveuglante;
Passe les mains dessus de la grotte saillante
Et force la falaise à être accueillante
Aux touches et babines envahissant ses pentes

Te excité,pour faire un assaut,
Sur mes reins et porter un coup de ton flambeau:
Alors n'hésite pas je suis prête au saut,
Pour t'offrir une joie grisante du sursaut...
Maintenant clos tes yeux et rêve de mes mots.​
 
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