pour les filles

talozte

New Member
salam tout le monde je suis nouvelle ici et je me suis dit pourquoi commencer a faire connaissance avec les membres filles dici
 
Re : pour les filles

salam tout le monde je suis nouvelle ici et je me suis dit pourquoi commencer a faire connaissance avec les membres filles dici

salam & azul

pourquoi ?? tu es hommophobe??:))

je plaisante
bienvenue tazolte
je suis sygolene de tafraout;) imma kemine??
 
Re : pour les filles

Salut
Je suis Jade, française,30 ans,j'aime la musique et je fais beaucoup de poèmes comme passe temps;j'aime avoir d'amis partout dans le monde.
Bisous
 
Cris d'une femme

J'ai été créée mère
Pour maintenir la vie!
Et mon corps c'est à plaire,
Et susciter l'envie.

J'ai besoin de distraire,
Mais les coutumes me plient
A me cacher sous serres,
Des voiles et des habits.

Pour m'assurer,quoi faire?
Et c'est mon grand défi!
Il faut que tout je gère,
Faire entendre mes cris.

Je suis toujours en guerre,
Et c'est mon grand souci.
Pour que je me libère
Je lutte sans merci!

Pour les gardiens austères,
Des traditions pourries,
Je ne dois pas défaire
Ma lutte inaccomplie!
Tout ça ne me plait guère
D'être un objet de tri !​
 
Re : pour les filles

Je ne sais pas mais j'ai l'impression de déjà avoir lu ce type d'écrits quelque part ou du moins la manière de s'exprimer me rappelle quelqu'un...

En effet la vie est une lutte perpétuelle Jade....
 
Chantons l'amour

Ma plus grande patrie est la terre,
Et tous ses trésors sont les miens;
Ses peuplades entiers sont mes frères:
Qu'ils soient riches ou qu'ils n'aient rien!

Et si les couleurs de peau diffèrent,
Ca nous enrichit et fait du bien!
Avec nos religions qui prospèrent ,
Chacun croit que Dieu est le sien!

Comme croyants nous devons tous faire:
Nous aimer pour s'approcher du divin;
Evitons l'extrémisme qui déterre
La haine,et réveille les pires instincts.
Laissons loin les idées austères,
Et chantons tous l'amour en refrain.
 
Re : pour les filles

En effet mes écrits passent sur plusieurs forums et blogs, généralement sous le pseudo de jade et rarement d'autres;mais tout ce que j'écris ici ou ailleurs est ma propriété intellectuelle.
Bisous à vous tous.
 
La différence

J'étais chez un ami,
Blessé à l'hopital,
Transfusé d'un débi
Du sang qui est vital.

En observant ce sang
Qui peut sauver sa vie,
Le résultat d'un don
Offert par d'inconnus!

J'ai pensé à celui
Qui a dédié ce don.
Est-il de ce pays?
Est-il noir,jaune ou blanc?
Son genre,grand,petit?
Est-il un résident?
Un sage ou abruti?
Un juif ou musulman?
Un athé ou bouddhi...?
Et beaucoup de questions
M'ont sans cesse envahie...!

Je me suis dit pourquoi
Puisqu'on a dans nos veines,
Même sang, toutefois,
Qui alimente et draine
Nos corps,n'ayons la foi,
Pour rejeter la haine.

Nous avons mêmes corps,
Et de maintes couleurs:
Les caprices du sort
Ont différé les moeurs.

Immaginons un monde,
Où pousse même fleur!
Tout deviendrait immonde
Sans beauté ni valeur.
Immaginons un monde
Créé duplicateur
Ce serait une fronde
Sans grâce sans grandeur!
La ressemblance grande,
Des gens est un malheur!​
 
Soupir...

Soupir de mes nuits blanches!
Laisse mon rêve à part,
Loin des sanglots étanches,
Nippés de désespoir§

Où est passé l'amour
Vécu dans nos ébats?
Des échos froids et sourds
Disparus sans éclats.

Ces photos colorées
Fanent dans ma mémoire,
Et ma vie s'avérait
Brouillée par notre histoire.

Le temps emporte tout,
En éteignant les flammes
D'un amour assez fou
Piquant comme une lame.

Que reste-t-il de moi?
Une épave perdue,
Dans un monde sans foi,
Où la joie est fendue!
 
Le lavoir d'amour

J'ai mis cette histoire en proses à la demande d'un grand'père qui me l'a racontée:

Un lourd soleil tombait d'aplomb sur le lavoir ;
Les canards engourdis s'endormaient dans la vase,
Et l'air brûlait si fort qu'on s'attendait à voir
Les arbres s'enflammer du sommet à la base.

J'étais couché sur l'herbe auprès du vieux linteau,
Où des femmes lavaient leur linge.Des eaux grasses,
Des bulles de savon qui se crevaient bientôt,
S'en allaient au courant, laissant de longues traces.

Et je m'assoupissais lorsque je vis venir,
Sous la grande lumière et la chaleur torride,
Une fille marchant d'un pas ferme et rapide,
Avec ses bras levés en l'air, pour maintenir
Un fort paquet de linge au-dessus de sa tête.
La hanche large avec la taille mince, faite
Ainsi qu'une Vénus de marbre, elle avançait
Très droite,et sur ses reins un peu se balançait.
Je la suivis, prenant l'étroite passerelle
Jusqu'au seuil du lavoir, où j'entrai derrière elle.

Elle choisit sa place, et dans un baquet d'eau,
D'un geste souple et fort abattit son fardeau.
Elle avait tout au plus la toilette permise ;
Elle lavait son linge ; et chaque mouvement
Des bras et de la hanche accusait nettement,
Sous le jupon collant et la mince chemise,
Les rondeurs de la croupe et les rondeurs des seins.
Elle travaillait dur ; puis, quand elle était lasse,
Elle élevait les bras, et, superbe de grâce,
Tendait son corps flexible en renversant ses reins.

Mais le puissant soleil faisait craquer les planches ;
Le linteau s'entr'ouvrait comme pour respirer.
Les femmes haletaient;on voyait,sous leurs manches,
La moiteur de leurs bras,par place transpirer.

Une rougeur montait à sa gorge sanguine.
Elle fixa sur moi son regard effronté,
Dégraffa sa chemise, et sa ronde poitrine
Surgit, double et luisante, en pleine liberté,
Écartée aux sommets et d'une ampleur solide.
Elle battait alors son linge et par coup
Agitait par moment d'un soubresaut rapide
Les roses fleurs de chair qui se dressent au bout.

Un air chaud me frappait, comme un souffle de forge,
A chacun des soupirs qui soulevaient sa gorge.
Les coups de son battoir me tombaient sur le coeur !
Elle me regardait d'un air un peu moqueur ;
J'approchai, l'oeil tendu sur sa poitrine,humide
De gouttes d'eau, si blanche et tentante au baiser.
Elle eut pitié de moi, me voyant très timide,
M'aborda la première et se mit à causer.
Comme des sons perdus m'arrivaient ses paroles.
Je ne l'entendais pas, tant je la regardais.
Par sa robe entr'ouverte, au loin, je me perdais,
Devinant les dessous et brûlé d'ardeurs folles ;

Puis, comme elle partait, elle m'a dit tout bas
De la trouver le soir au coin de la prairie
Tout ce qui m'emplissait s'éloigna sur ses pas ;
Mon passé disparut ainsi qu'une eau tarie !

Pourtant j'étais joyeux, car en moi j'entendais
Les ivresses chanter avec leur voix sonore.
Je regardais toujours,Vers le ciel embué
Et le soir semblait loin mais brillant comme aurore!...


 
Re : pour les filles

salam,
moi c tachelhit avec un pied en france et l'otre a issafen (mon bled.)..
MARHBABIKM A TALOZTE, brk marhba hati darm ayad lol....
 
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