affaire de pornographie au Maroc
- Thread starter aksel
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Tu es vraiment bête...Je ne sais même si tu as compris ce que j'ai dit. Mais bon, cela ne m'étonne d'un Arabe...
ZEWAID a écrit :
pathétiques!!!!!! on le comprendrai vite juste en lisant ta réponse mon pauvre!
si tu veux qu'on parle de ce point je dirais même que le maroc n'est pas un pays arabe et non plus musulman mais notre sujet c l'affaire pornographie au maroc ,pauvre arabe
qui ta dit k je suis un arabe!!!!je suis un chleuh mais je n'est rien contre les arabes . tu sais, ton attitude ne m étonne pas non plus, et je te comprends tres bien, tu es surement un zmigri et ça te fait mal qu' on te traite d'un arabe, car ce terme est souvent utilisé entant qu'insulte dans les pays francophone, chez nous au maroc ce n'est pas pareille, si par exemple quelqu'un me confond avec un arabe,ça ne me fait pas du tt mal , et il suffit juste de lui faire une petite remarque disant : non je ne suis pas arabe, je suis chleuh, et ça se passe tres vite sans rancune.
tu doit avoir un esprit beaucoup plus ouvert a gma ;-)
tu doit avoir un esprit beaucoup plus ouvert a gma ;-)
ajmak_wabiba
New Member
He ZEWAID, si je te dis que le Maroc est un pays hispanique et que tu me dis que c'est pas vrai, c'est pas pour ca que je vais te traiter de raciste envers les Espagnoles ou que je vasi te dire que pour toi "espagnole" c'est comme une insulte.
waggag il parle pas sur les arabes en tant que personnes mais sut ton appelation
"Le Maroc est un pays arabe".
Alors que c'est pas vrai, il a été déclaré comme ça artificiellement, ils ont mis l'arabe partout d'une facon pas naturel, ils ont foutu les Amazighes sur la touche et hop la baguete magique, le Maroc est devenu un pays arabe à l'indépendance.
Faut pas soutenir une propagande, c'est juste ca que waggag il dit.
waggag il parle pas sur les arabes en tant que personnes mais sut ton appelation
"Le Maroc est un pays arabe".
Alors que c'est pas vrai, il a été déclaré comme ça artificiellement, ils ont mis l'arabe partout d'une facon pas naturel, ils ont foutu les Amazighes sur la touche et hop la baguete magique, le Maroc est devenu un pays arabe à l'indépendance.
Faut pas soutenir une propagande, c'est juste ca que waggag il dit.
Le producteur des photos et du CDR est, selon les deux filles impliquées, un certain P. Serfati qui se présente comme journaliste belge travaillant dans le journal « Le Soir ». Selon les déclarations des jeunes filles, toutes les deux célibataires, l’intéressé leur promettait le mariage, couchait avec elles. Une fois familiarisé avec elles, il leur demande de prendre des photos souvenirs. Les rencontres se sont passées en 2001 et 2002.
Il s’agit, bien sûr, de photos pornographiques à 100%, dans différentes positions sexuelles dignes de films pornographiques professionnels. La seule différence est que l’auteur utilisait un appareil photo numérique. Pour cela, le fameux producteur belge louait un appartement du côté du boulevard Hassan II, avec 300 dh par jour.
Les deux jeunes filles se sont reconnues effectivement dans le CDR qui contient plus de 190 photos toutes prises à Agadir, avec elles, avec d’autres filles et une femme divorcée qui ne se rappelle même pas de l’homme l’ayant filmée dans des positions sexuelles pornographiques. « Je sors tellement avec plein d’étrangers que je ne me rappelle pas exactement avec qui j’ai été filmée. Je suis une prostituée professionnelle depuis mon divorce ; c’est mon gagne-pain... ».
Il est à signaler que c’est bien sûr le soi-disant journaliste belge qui exige les positions sexuelles à exécuter. Dans certaines photos, on voit une fille portant un habit traditionnel marocain (un kaftan) avec un foulard sur la tête en guise de hijab, dans des positions pornographiques, évidemment. Le tout ayant pour objectif une utilisation sur un site internet spécialisé. L’objectif est clair.
Les trois jeunes femmes ont été arrêtées par les services de police, après la plainte de l’une d’entre elles, habitant au quartier Sidi Youssef à Agadir, après avoir visualisé le CDR en question. « Je me sens offensée par la production de ce CDR. Pourtant, les photos ont été prises avec mon consentement car je pensais que le journaliste belge allait me demander en mariage. Je pensais sérieusement qu’il allait tenir sa promesse... ».
Le fameux journaliste n’a pas encore été arrêté. Allez savoir s’il porte vraiment le même nom et prénom utilisés pour piéger les filles. Une remarque, dans ce contexte, pourtant s’impose : Comment se fait-il que des citoyens louent des appartements à des étrangers, sans leur demander des pièces d’identité ? C’est le gain aveugle, bien sûr. Lorsque ces propriétaires d’appartements sont au courant de ce qui se passe, via les gardiens de l’immeuble qui touchent une commission en conséquence, par jour de location ; cela s’appelle de la complicité, tout court.
Les autorités compétentes doivent revoir leurs procédures et exiger que les loueurs d’appartements déclarent officiellement les personnes qui louent pour la journée, qu’elles soient marocaines ou étrangères. Dans une ville touristique, le tourisme sexuel fait partie de l’environnement. Mais tout de même, on peut le circonscrire avec des mesures claires et réglementaires.
Quant à ce qui se passe dans les grands hôtels, mais aussi dans des résidences touristiques, cela est une autre historie.
Tant au niveau des chambres prises individuellement qu’au niveau des cabarets spécialisés dans le sexe et les veillées roses, jusqu’à six heures du matin.
Les habitants sont souvent scandalisés par l’existence d’un tourisme sexuel féminin un peu trop voyant, principalement du côté du secteur touristique et balnéaire. Mais il y a pire. C’est l’existence d’un tourisme sexuel pédophile qui commence à s’afficher en plein jour, le soir aussi dans des restaurants.
Certains Européens sont connus dans le milieu, notamment des Italiens, Anglais et Allemands. Si on ne réagit pas à temps, ils finiront par faire un bon ravage, si ce n’est déjà, particulièrement face à des jeunes en chômage, vivant dans des conditions sociales très désavantagées.
Il n’est pas impossible qu’un jour un autre scandale du genre, mais cette fois-ci réservé aux gais et homosexuels, éclate au grand jour, à Agadir. Les villes touristiques, c’est comme le miel, il est bien sucré, mais il attire aussi les mouches...
Tourisme sexuel ?
"j'ai eu l'occasion de voir les photos (le cd circule malgré tout) et on se demande comment ces filles on pu accepter ca aussi facilement... car même les sites pornos ont du mal à trouver des beurettes, et souvent, celles qu'ils presentent n'en sont pas....
certaines photos sont vraiment hard, mais le plus grave c'est que cela ne ressemble pas aux "videos de vacances" en thailande qu'on met sur internet pour montrer ses exploits...
l'objectif est tout autre il est de "faire mal", de destabiliser... ainsi, le visage de l'homme est soigneusement masqué pour empecher son identification. Il a conscience du mal qu'il a causé, et des risques qu'il prend en faisant passer son message...
le message ? il est clair : la bande sonore qui accompagne les photos a une conotation religieuse, on y entend souvent "allah", et les filles sont souvent en hijab... d'abord habillées, comme pour dire "voyez cette bonne musulmane..." puis nues pour dire "voyez ce que j'en fait...", enfin pas tout a fait nues car elle ont gardé le hijab ! hijab sur lequel il n'hésite pas à "se lacher" voire à uriner...
visiblmement ce monsieur n'aime pas l'Islam et il le montre à sa facon"
Il s’agit, bien sûr, de photos pornographiques à 100%, dans différentes positions sexuelles dignes de films pornographiques professionnels. La seule différence est que l’auteur utilisait un appareil photo numérique. Pour cela, le fameux producteur belge louait un appartement du côté du boulevard Hassan II, avec 300 dh par jour.
Les deux jeunes filles se sont reconnues effectivement dans le CDR qui contient plus de 190 photos toutes prises à Agadir, avec elles, avec d’autres filles et une femme divorcée qui ne se rappelle même pas de l’homme l’ayant filmée dans des positions sexuelles pornographiques. « Je sors tellement avec plein d’étrangers que je ne me rappelle pas exactement avec qui j’ai été filmée. Je suis une prostituée professionnelle depuis mon divorce ; c’est mon gagne-pain... ».
Il est à signaler que c’est bien sûr le soi-disant journaliste belge qui exige les positions sexuelles à exécuter. Dans certaines photos, on voit une fille portant un habit traditionnel marocain (un kaftan) avec un foulard sur la tête en guise de hijab, dans des positions pornographiques, évidemment. Le tout ayant pour objectif une utilisation sur un site internet spécialisé. L’objectif est clair.
Les trois jeunes femmes ont été arrêtées par les services de police, après la plainte de l’une d’entre elles, habitant au quartier Sidi Youssef à Agadir, après avoir visualisé le CDR en question. « Je me sens offensée par la production de ce CDR. Pourtant, les photos ont été prises avec mon consentement car je pensais que le journaliste belge allait me demander en mariage. Je pensais sérieusement qu’il allait tenir sa promesse... ».
Le fameux journaliste n’a pas encore été arrêté. Allez savoir s’il porte vraiment le même nom et prénom utilisés pour piéger les filles. Une remarque, dans ce contexte, pourtant s’impose : Comment se fait-il que des citoyens louent des appartements à des étrangers, sans leur demander des pièces d’identité ? C’est le gain aveugle, bien sûr. Lorsque ces propriétaires d’appartements sont au courant de ce qui se passe, via les gardiens de l’immeuble qui touchent une commission en conséquence, par jour de location ; cela s’appelle de la complicité, tout court.
Les autorités compétentes doivent revoir leurs procédures et exiger que les loueurs d’appartements déclarent officiellement les personnes qui louent pour la journée, qu’elles soient marocaines ou étrangères. Dans une ville touristique, le tourisme sexuel fait partie de l’environnement. Mais tout de même, on peut le circonscrire avec des mesures claires et réglementaires.
Quant à ce qui se passe dans les grands hôtels, mais aussi dans des résidences touristiques, cela est une autre historie.
Tant au niveau des chambres prises individuellement qu’au niveau des cabarets spécialisés dans le sexe et les veillées roses, jusqu’à six heures du matin.
Les habitants sont souvent scandalisés par l’existence d’un tourisme sexuel féminin un peu trop voyant, principalement du côté du secteur touristique et balnéaire. Mais il y a pire. C’est l’existence d’un tourisme sexuel pédophile qui commence à s’afficher en plein jour, le soir aussi dans des restaurants.
Certains Européens sont connus dans le milieu, notamment des Italiens, Anglais et Allemands. Si on ne réagit pas à temps, ils finiront par faire un bon ravage, si ce n’est déjà, particulièrement face à des jeunes en chômage, vivant dans des conditions sociales très désavantagées.
Il n’est pas impossible qu’un jour un autre scandale du genre, mais cette fois-ci réservé aux gais et homosexuels, éclate au grand jour, à Agadir. Les villes touristiques, c’est comme le miel, il est bien sucré, mais il attire aussi les mouches...
Tourisme sexuel ?
"j'ai eu l'occasion de voir les photos (le cd circule malgré tout) et on se demande comment ces filles on pu accepter ca aussi facilement... car même les sites pornos ont du mal à trouver des beurettes, et souvent, celles qu'ils presentent n'en sont pas....
certaines photos sont vraiment hard, mais le plus grave c'est que cela ne ressemble pas aux "videos de vacances" en thailande qu'on met sur internet pour montrer ses exploits...
l'objectif est tout autre il est de "faire mal", de destabiliser... ainsi, le visage de l'homme est soigneusement masqué pour empecher son identification. Il a conscience du mal qu'il a causé, et des risques qu'il prend en faisant passer son message...
le message ? il est clair : la bande sonore qui accompagne les photos a une conotation religieuse, on y entend souvent "allah", et les filles sont souvent en hijab... d'abord habillées, comme pour dire "voyez cette bonne musulmane..." puis nues pour dire "voyez ce que j'en fait...", enfin pas tout a fait nues car elle ont gardé le hijab ! hijab sur lequel il n'hésite pas à "se lacher" voire à uriner...
visiblmement ce monsieur n'aime pas l'Islam et il le montre à sa facon"
" le message ? il est clair : la bande sonore qui accompagne les photos a une conotation religieuse, on y entend souvent "allah", et les filles sont souvent en hijab... d'abord habillées, comme pour dire "voyez cette bonne musulmane..." puis nues pour dire "voyez ce que j'en fait...", enfin pas tout a fait nues car elle ont gardé le hijab ! hijab sur lequel il n'hésite pas à "se lacher" voire à uriner...
visiblmement ce monsieur n'aime pas l'Islam et il le montre à sa facon"
visiblmement ce monsieur n'aime pas l'Islam et il le montre à sa facon"
Il est plus que temps de se remettre en question et de cessez de vouloir appliquer des modèles qui marchent ailleurs parce que pouvant se le permettre économiquement et culturellement à un pays ou l'analphabétisme et le chômage dépasse le seuil des 50%.
Mais bon ne rêvons pas le pays est orienté par quelques dizaines de milliers de petites merdes qui ne sont pas prêt à voir recadrer un univers dans lequel ils se trouvent.
Mais bon ne rêvons pas le pays est orienté par quelques dizaines de milliers de petites merdes qui ne sont pas prêt à voir recadrer un univers dans lequel ils se trouvent.
ajmak_wabiba
New Member
Bon rien n'est moins sûr mais selon certaiens sources, il s'agirait peut-être de ce monsieur
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:-D
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Agadir. La piste Servaty se précise
Servaty, bientôt démasqué (DR)
Le scandale de mœurs d'Agadir livre ses premiers secrets. La piste du touriste belge, auteur des photos pornographiques montrant de jeunes Marocaines, décrit par ses victimes comme étant "un journaliste belge, du quotidien Le Soir, répondant au nom de Philippe Sarfati", se précise. Le Soir emploie effectivement un Philippe Servaty ("Sarfati" en arabe), au service économique, connu pour ses déplacements au royaume. Nous l'avons joint au téléphone : "Oui, je me suis déplacé plusieurs fois au Maroc, depuis la fin des années 90 (…). J'y suis venu pour des raisons personnelles, une fois en mission officielle (...) J'ai été dans des soirées à Agadir (…)". Le même
Servaty nous a répondu, plus tard : "Je ne connais pas le Maroc, je n'y suis venu qu'une seule fois, pour accompagner le déplacement d'un officiel belge(…) Quelqu'un a dû emprunter mon identité pour me nuire". Au-delà des contradictions entre les deux versions, beaucoup d'indices sont troublants (les déplacements au Maroc, à Agadir, leur timing, les motifs non professionnels de ces voyages). La police marocaine a pour commencer, les moyens de dresser le portrait-robot du touriste et de le comparer à Servaty, d'effectuer des confrontations entre ce dernier et les filles en prison (neuf, sans parler du concierge). Au moins pour lever le doute… À signaler que 3 nouvelles victimes du belge pornographe auraient été arrêtées cette semaine, ce qui porterait le total des femmes emprisonnées, suite à cette affaire, à 12.
Tel-Quel
Servaty, bientôt démasqué (DR)
Le scandale de mœurs d'Agadir livre ses premiers secrets. La piste du touriste belge, auteur des photos pornographiques montrant de jeunes Marocaines, décrit par ses victimes comme étant "un journaliste belge, du quotidien Le Soir, répondant au nom de Philippe Sarfati", se précise. Le Soir emploie effectivement un Philippe Servaty ("Sarfati" en arabe), au service économique, connu pour ses déplacements au royaume. Nous l'avons joint au téléphone : "Oui, je me suis déplacé plusieurs fois au Maroc, depuis la fin des années 90 (…). J'y suis venu pour des raisons personnelles, une fois en mission officielle (...) J'ai été dans des soirées à Agadir (…)". Le même
Servaty nous a répondu, plus tard : "Je ne connais pas le Maroc, je n'y suis venu qu'une seule fois, pour accompagner le déplacement d'un officiel belge(…) Quelqu'un a dû emprunter mon identité pour me nuire". Au-delà des contradictions entre les deux versions, beaucoup d'indices sont troublants (les déplacements au Maroc, à Agadir, leur timing, les motifs non professionnels de ces voyages). La police marocaine a pour commencer, les moyens de dresser le portrait-robot du touriste et de le comparer à Servaty, d'effectuer des confrontations entre ce dernier et les filles en prison (neuf, sans parler du concierge). Au moins pour lever le doute… À signaler que 3 nouvelles victimes du belge pornographe auraient été arrêtées cette semaine, ce qui porterait le total des femmes emprisonnées, suite à cette affaire, à 12.
Tel-Quel
c'est inadmissible, que fait la société civile pour dénoncer les proxénètes, qui exploitent et abusent des jeunes filles des quartiers populaires.
Sûrement les autorités sont complices dans ce business.
quid des associations des droits de l'homme et des partis islamistes ?
tamazgha réveille toi, il est encore temps.
Sûrement les autorités sont complices dans ce business.
quid des associations des droits de l'homme et des partis islamistes ?
tamazgha réveille toi, il est encore temps.
Le pornographe belge à cause duquel 12 femmes marocaines sont en prison est à deux doigts de tomber. Philippe Servaty, le suspet n°1, a été entendu par la police de Bruxelles. Une inculpation devrait suivre.
http://www.telquel-online.com/181/couverture_181_1.shtml
http://www.france-echos.com/actualite.php?cle=5779
Maroc - Un journaliste belge mis en cause par plusieurs témoignages Les cibles d'un touriste sexuel mises en prison
Un scandale a caractère sexuel émeut le Maroc depuis plusieurs semaines. Des femmes ont été arrêtées et condamnées. Elles semblent avoir été victimes d'un touriste belge.
MARC METDEPENNINGEN
Douze femmes et jeunes filles âgées de 17 à 45 ans ont été condamnées ces dernières semaines par le tribunal de première instance d'Agadir (Maroc) à des peines de prison ferme allant jusqu'à un an pour s'être livrées aux jeux pervers d'un « touriste du sexe » de nationalité belge. Celui-ci a publié les images de leurs ébats sur des sites pornographiques du réseau internet, dont l'un « marocsluts » (littéralement « putes marocaines ») a été fermé.
Les images pornographiques publiées sur ce site ont également été diffusées dans la ville d'Agadir par le biais d'un cédérom contenant 193 clichés et vendu 1 euro dans des boutiques de la ville touristique. Les deux concepteurs du cédérom, qui ont apparemment piraté les images sur internet, ont été condamnés à 4 mois de prison.
Cette affaire, révélée notamment par l'hebdomadaire marocain « Telquel » et qualifiée de scandale majeur, fait grand bruit au Maroc où la presse s'inquiète de l'inflation du « tourisme du sexe » dans les centres de villégiature. Le tourisme, déclaré il y a quelques années priorité nationale par le gouvernement marocain, entend attirer ces prochaines années jusqu'à dix millions d'étrangers. L'affaire émeut également l'opinion marocaine, tant dans le royaume chérifien que dans les pays d'implantation de la diaspora marocaine, parce que les images diffusées par le touriste belge mettent notamment en scène ses victimes dans des postures impliquant des symboles musulmans. Des expatriés marocains promettent ainsi, sur certains forums de l'internet, de laver dans le sang l'injure faite à leur religion et à la femme marocaine.
L'affaire éclate le 22 avril dernier lorsque Samira, institutrice de 42 ans, apprend que les ébats qu'elle a consentis avec le touriste belge se retrouvent sur le cédérom vendu à Agadir. Elle dépose alors plainte et raconte que ces photos ont été prises lors d'une relation consentie avec le touriste : Il s'est présenté sous le nom de P.S. et se disait journaliste au quotidien Le Soir. Je l'ai connu via un chat sur internet. Il m'a proposé le mariage en Belgique. Je me suis pliée à toutes ses demandes. La jeune femme est rapidement condamnée à un an de détention pour « débauche et conception d'images pornographiques par l'exposition des organes et l'exercice d'activités sexuelle », un délit au Maroc. D'autres jeunes femmes et jeunes filles, dont les visages se retrouvent sur les photos du cédérom, sont identifiées par la police judiciaire d'Agadir. La plus jeune a 17 ans. Mariée à l'âge de 14 ans, elle était en situation de rupture avec son mari.
Toutes ces victimes racontent la même histoire : « P.S. m'a promis le mariage en Belgique. Il prenait des photos pour garder un souvenir de moi ». Plus de 80 jeunes femmes et jeunes filles, ciblées dans la rue ou dans un McDonald's d'Agadir, auraient été victimes du même homme. Selon les témoignages, il attirait ses proies dans un studio loué dans le centre d'Agadir, les hôtels marocains refusant de laisser entrer de jeunes locales en compagnie de touristes étrangers. Le concierge responsable de ce studio a lui aussi été arrêté.
La technique de recrutement (« blitzkrieg », soit prendre contact avec 20 filles par jour en espérant en « capturer » de 3 à 5), les photos prises par le touriste et ses conseils de drague sordides ont été diffusés sur un site international des touristes du sexe, sur lequel il commente ses « exploits », abreuvant les pornographes du monde entier (qui le qualifient de héros). Sur la base des PV d'audition des victimes présumées du touriste, la presse marocaine, dont les envoyés spéciaux sont présents à Bruxelles ces jours-ci, pense avoir identifié P.S. comme étant effectivement un journaliste du « Soir », dont elle cite le nom. La semaine dernière, celui-ci a présenté sa démission à la direction du journal, qui l'a acceptée. Contacté par nos soins, le journaliste mis en cause a préféré s'en tenir strictement aux termes du communiqué qu'il a fait diffuser à la rédaction : « Je fais l'objet d'une campagne de dénonciation qui risque, à travers moi, d'entacher la réputation du journal « Le Soir ». N'ayant commis aucun acte répréhensible, mais désireux de ne pas exposer le journal, j'ai pris l'initiative de donner ma démission en tant que journaliste. Je tiens à préciser que je ne fais pas l'objet de poursuites et que j'entends défendre ma vie privée et ma dignité. »
De source marocaine, on indique que « l'enquête se poursuit ». Les enquêteurs d'Agadir se sont fixé comme priorité d'identifier toutes les jeunes femmes présentes sur le cédérom et de s'intéresser ensuite à l'auteur des prises de vue, ce qui pourrait impliquer l'envoi d'une commission rogatoire en Belgique.
Source : Le Soir, 9 juin 2005
Maroc - Un journaliste belge mis en cause par plusieurs témoignages Les cibles d'un touriste sexuel mises en prison
Un scandale a caractère sexuel émeut le Maroc depuis plusieurs semaines. Des femmes ont été arrêtées et condamnées. Elles semblent avoir été victimes d'un touriste belge.
MARC METDEPENNINGEN
Douze femmes et jeunes filles âgées de 17 à 45 ans ont été condamnées ces dernières semaines par le tribunal de première instance d'Agadir (Maroc) à des peines de prison ferme allant jusqu'à un an pour s'être livrées aux jeux pervers d'un « touriste du sexe » de nationalité belge. Celui-ci a publié les images de leurs ébats sur des sites pornographiques du réseau internet, dont l'un « marocsluts » (littéralement « putes marocaines ») a été fermé.
Les images pornographiques publiées sur ce site ont également été diffusées dans la ville d'Agadir par le biais d'un cédérom contenant 193 clichés et vendu 1 euro dans des boutiques de la ville touristique. Les deux concepteurs du cédérom, qui ont apparemment piraté les images sur internet, ont été condamnés à 4 mois de prison.
Cette affaire, révélée notamment par l'hebdomadaire marocain « Telquel » et qualifiée de scandale majeur, fait grand bruit au Maroc où la presse s'inquiète de l'inflation du « tourisme du sexe » dans les centres de villégiature. Le tourisme, déclaré il y a quelques années priorité nationale par le gouvernement marocain, entend attirer ces prochaines années jusqu'à dix millions d'étrangers. L'affaire émeut également l'opinion marocaine, tant dans le royaume chérifien que dans les pays d'implantation de la diaspora marocaine, parce que les images diffusées par le touriste belge mettent notamment en scène ses victimes dans des postures impliquant des symboles musulmans. Des expatriés marocains promettent ainsi, sur certains forums de l'internet, de laver dans le sang l'injure faite à leur religion et à la femme marocaine.
L'affaire éclate le 22 avril dernier lorsque Samira, institutrice de 42 ans, apprend que les ébats qu'elle a consentis avec le touriste belge se retrouvent sur le cédérom vendu à Agadir. Elle dépose alors plainte et raconte que ces photos ont été prises lors d'une relation consentie avec le touriste : Il s'est présenté sous le nom de P.S. et se disait journaliste au quotidien Le Soir. Je l'ai connu via un chat sur internet. Il m'a proposé le mariage en Belgique. Je me suis pliée à toutes ses demandes. La jeune femme est rapidement condamnée à un an de détention pour « débauche et conception d'images pornographiques par l'exposition des organes et l'exercice d'activités sexuelle », un délit au Maroc. D'autres jeunes femmes et jeunes filles, dont les visages se retrouvent sur les photos du cédérom, sont identifiées par la police judiciaire d'Agadir. La plus jeune a 17 ans. Mariée à l'âge de 14 ans, elle était en situation de rupture avec son mari.
Toutes ces victimes racontent la même histoire : « P.S. m'a promis le mariage en Belgique. Il prenait des photos pour garder un souvenir de moi ». Plus de 80 jeunes femmes et jeunes filles, ciblées dans la rue ou dans un McDonald's d'Agadir, auraient été victimes du même homme. Selon les témoignages, il attirait ses proies dans un studio loué dans le centre d'Agadir, les hôtels marocains refusant de laisser entrer de jeunes locales en compagnie de touristes étrangers. Le concierge responsable de ce studio a lui aussi été arrêté.
La technique de recrutement (« blitzkrieg », soit prendre contact avec 20 filles par jour en espérant en « capturer » de 3 à 5), les photos prises par le touriste et ses conseils de drague sordides ont été diffusés sur un site international des touristes du sexe, sur lequel il commente ses « exploits », abreuvant les pornographes du monde entier (qui le qualifient de héros). Sur la base des PV d'audition des victimes présumées du touriste, la presse marocaine, dont les envoyés spéciaux sont présents à Bruxelles ces jours-ci, pense avoir identifié P.S. comme étant effectivement un journaliste du « Soir », dont elle cite le nom. La semaine dernière, celui-ci a présenté sa démission à la direction du journal, qui l'a acceptée. Contacté par nos soins, le journaliste mis en cause a préféré s'en tenir strictement aux termes du communiqué qu'il a fait diffuser à la rédaction : « Je fais l'objet d'une campagne de dénonciation qui risque, à travers moi, d'entacher la réputation du journal « Le Soir ». N'ayant commis aucun acte répréhensible, mais désireux de ne pas exposer le journal, j'ai pris l'initiative de donner ma démission en tant que journaliste. Je tiens à préciser que je ne fais pas l'objet de poursuites et que j'entends défendre ma vie privée et ma dignité. »
De source marocaine, on indique que « l'enquête se poursuit ». Les enquêteurs d'Agadir se sont fixé comme priorité d'identifier toutes les jeunes femmes présentes sur le cédérom et de s'intéresser ensuite à l'auteur des prises de vue, ce qui pourrait impliquer l'envoi d'une commission rogatoire en Belgique.
Source : Le Soir, 9 juin 2005
Taboudrart94
New Member
c'est lhomme qui a gaché la nature des choses,
lui seul est responsable de ses actes.
ce qui m'enèrve a cette issue ses femmes Marocainnes qui ont accepter de mettre le foulard et on sait ts les symboles du foulard a notre culture soit amazigh ou Islam avant tt donc dérière ce travaille y a bcp d'inigmes il faut faire attention leur objet c'est de détruire l'Islam avant tt merde a ses femmes tfouuuuuuuuuuuu ollah je les détéste merde
au lieu de lancer des pierres à ses jeunes filles victimes, réfléchisons un moement, pourquoi des jeunes filles normales (non prostituées) ont recours à la prostitution ? à cause de la misère et de la pauvreté.
au lieu de réprimer encore une fois le sujet marocain, blamons les autorités et les politicards de mierda qui gouvernent ce pays. de toutes façon, ceux qui gouvernent ils s'en foutent. après tout c'est une terre qu'ils ont colonisés avec leurs habitants comme exclaves.
au lieu de réprimer encore une fois le sujet marocain, blamons les autorités et les politicards de mierda qui gouvernent ce pays. de toutes façon, ceux qui gouvernent ils s'en foutent. après tout c'est une terre qu'ils ont colonisés avec leurs habitants comme exclaves.