J'ai lu aujourd'hui dans la presse arabe du Maroc que les artistes amazighs sont traités comme du bétail par les responsables d'un festival qui se veut quand même amazigh. Par exemple, leurs cachets ( à diviser par 2000) sont extrêmement modestes par rapport à ce que perçoivent les artistes étrangers. Leur accueil dans l'hôtel est pour le moins froid. Les chambres sont le bas de gamme.
Une artiste amazighe a même piqué une crise de nerf lorsqu'elle a vu la chambre de l'une des participantes étrangères tellement qu'elle ressemble à un palais. De plus, par exemple, lors du fetival off à Tiznit on a même pas été capable de chercher une sono qui fonctionnne bien. Je vous laisse imaginer le bordel que cela peut être.
Voilà mes chers comment la bande d'arabistes, et à leur tête un débile du nom de Brahim El Manzd et son mentor Aziz Khikhouch, ils traitent les artistes amazighs, des faire-valoir. Le plus grave dans l'histoire, et encore une fois malheureusement, c'est que l'argent des Amazighs sert à humilier nos artistes. Il faut que ces derniers pensent à faire une action. Par exemple boycotter.
Ajoutons à cela le silence du syndicat des musiciens amazighs qui n'a pas pipé mot sur tous ces faits. Autrement dit, ces responsables ont été bien évidemment acheté par les colonialistes panarabistes et leur esclaves berbères qui se sont autoproclamés responsables d'un festival financés avec l'argent des Amazighs.
Une artiste amazighe a même piqué une crise de nerf lorsqu'elle a vu la chambre de l'une des participantes étrangères tellement qu'elle ressemble à un palais. De plus, par exemple, lors du fetival off à Tiznit on a même pas été capable de chercher une sono qui fonctionnne bien. Je vous laisse imaginer le bordel que cela peut être.
Voilà mes chers comment la bande d'arabistes, et à leur tête un débile du nom de Brahim El Manzd et son mentor Aziz Khikhouch, ils traitent les artistes amazighs, des faire-valoir. Le plus grave dans l'histoire, et encore une fois malheureusement, c'est que l'argent des Amazighs sert à humilier nos artistes. Il faut que ces derniers pensent à faire une action. Par exemple boycotter.
Ajoutons à cela le silence du syndicat des musiciens amazighs qui n'a pas pipé mot sur tous ces faits. Autrement dit, ces responsables ont été bien évidemment acheté par les colonialistes panarabistes et leur esclaves berbères qui se sont autoproclamés responsables d'un festival financés avec l'argent des Amazighs.