Tifnit est interdite aux populations d’Achtouken
Les représentants de l’organisation marocaine des droits de l’homme ont demandé aux autorités d’ouvrir immédiatement une enquête afin de savoir ce qui se passe réellement dans un festival, rythms of peace, qui est organisé dans ce petit village balnéaire. Les rumeurs circulant parmi les populations locales tendent toutes à confirmer l’idée que ce festival sert à encourager le tourisme sexuel dans la région. Aussi injuste que cela puisse être, la région a été totalement quadrillée et il est interdit aux populations locales d’y accéder sauf s’ils payent la coquette somme de 1400 DH. Par voie de conséquence, les pêcheurs et les habitants se trouvent subitement et automatiquement interdit d’y accéder.
L’organisation marocaine des droits de l’homme dénonce ce genre de pratiques qui sont pour le moins irresponsables et contraires à la loi .A notre que le droit de circuler librement est stipulé par les lois locales et toutes les conventions internationales ratifiées par le Maroc.
-selon le journal assabah-
Les représentants de l’organisation marocaine des droits de l’homme ont demandé aux autorités d’ouvrir immédiatement une enquête afin de savoir ce qui se passe réellement dans un festival, rythms of peace, qui est organisé dans ce petit village balnéaire. Les rumeurs circulant parmi les populations locales tendent toutes à confirmer l’idée que ce festival sert à encourager le tourisme sexuel dans la région. Aussi injuste que cela puisse être, la région a été totalement quadrillée et il est interdit aux populations locales d’y accéder sauf s’ils payent la coquette somme de 1400 DH. Par voie de conséquence, les pêcheurs et les habitants se trouvent subitement et automatiquement interdit d’y accéder.
L’organisation marocaine des droits de l’homme dénonce ce genre de pratiques qui sont pour le moins irresponsables et contraires à la loi .A notre que le droit de circuler librement est stipulé par les lois locales et toutes les conventions internationales ratifiées par le Maroc.
-selon le journal assabah-