Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la télév

imal

New Member
Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la télévision marocaine...



Voir la liste des signataires Signer la pétition de soutien à ces artistes



Suite à la diffusion de l'émission scandaleuse et discriminatoire animée par Hassan El-Fad concernant le «Film industrie » à la première chaîne de télévision marocaine, le 29 septembre 2007, les acteurs, les réalisateurs et les cinéastes du Souss et de Ouarzazate, syndiqués ou non, et le syndicat des artistes plasticiens du Souss :

- protestent, vivement et énergiquement, contre « Ali n Production » et son président Nabil Ayouch pour avoir délibérément, probablement dans un accès d’amazighophobie et de racisme, censuré les interviews et les extraits des films en tamazight.


Nabil Ayouch son entreprise Ali n'Production

- s’insurgent , unanimement, contre la manipulation de « Ali n Production » et la mauvaise foi de son patron, qui a utilisé allègrement l'argent du contribuable du pauvre citoyen marocain pour éliminer, au vu et au su du monde entier, la langue et la culture amazighes dans la bande d'annonce des 30 films réalisés entièrement à Agadir et dans sa région.

- décrient également le manque de respect par rapport aux acteurs amazighs invités à cette même émission produite d’ailleurs par « Ali n Production ». A rappeler qu’ils ont été fait venir, spécialement, d'Agadir à Casablanca par autocar, pour participer à l'enregistrement de la bande d'annonce des films dans lesquels ils ont tourné en langue amazighe.

- crient avec véhémence leur colère contre la Maison de Production de Ayouch pour le manque de considération et de respect à leur égard. Pour preuve, ils n’ont même pas eu droit à un « ftour », comme tout le monde, pour la rupture du jeûne du ramadan lors du dernier jour d'enregistrement. En fait, une fois que l’on n’a plus besoin d’eux, leur sort n’a plus intéressé personne. Et surtout pas Nabil Ayouch et ses amis.

- rappellent aux responsables gouvernementaux qu’il faut absolument contrôler et vérifier, et le cas échéant diligenter une enquête en bonne et dure forme, pour savoir où et comment a été dépensé l’énorme budget alloué à « Ali n Production ». Il faut savoir qu’il y a eu aucune transparence dans la gestion de ce gros pactole d’autant plus que les acteurs, les techniciens et les décorateurs n'ont eu que des miettes parce qu’ils ont été, injustement, sous-payés et parce qu’ils ont travaillé dans des conditions pour le moins lamentables et dégradantes.

- lancent un appel pressant et urgent pour protéger notre patrimoine audiovisuel en interdisant, tout simplement, le doublage des films amazighs en arabe ou tout autre langue. Le sous-titrage n’est-il pas fait pour pallier à ce genre de difficultés? A moins que les sonorités du tamazight n’indispose les oreilles délicates de certains !

- demandent, enfin, aux associations et au mouvement culturel amazigh (MCA) de se joindre à eux pour protester contre « Ali n production » et son président Nabil Ayyouch qui ont abusé de leur bonne foi pour mettre en valeur uniquement les films arabes au détriment de ceux produits dans la langue et la culture amazighes. Une inégalité de traitement qui en dit long sur l’intolérance et le racisme chez les responsables médiatiques marocains.



Fait à Agadir le 3-10-2007

Pétition de soutien aux artistes Amazighs
http://www.amazighworld.org/human_rights/petitions/index_show.php?Id=1153
 
Re : Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la

On n'explique même pas en quoi consiste le problème...

Mais y a pas de problème. Business as usual.
Encore une fois ces chleuhs qui veulent passer à la télé à une heure de grande écoute, et qui veulent pas qu'on vole leur travail et qu'on les arabise eux et leur films.
 
Re : Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la

On n'explique même pas en quoi consiste le problème...


Tout est expliqué dans cette dénonciation.Toutes les causes qui ont poussés les artistes amazighs à dénoncer le comportement de Nabil ayouch et des autres fassis qui cessent pas d'éxploiter l'homme amazigh ont été citées .

Si tu comprends pas bien le francais,tu trouves si dessous l'integrité du texte en arabe

بلاغ

بعد البرنامج الإقصائي و الفاضح الذي أذاعته القناة الأولى، و الذي أسمته "فيلم أنديستري" و الذي قدمه حسن الفذ، بتاريخ 29 شتنبر 2007. نحن الممثلين و المخرجين والسينمائيين، المنتمين لجهة سوس ماسة درعة، نحتج بشدة على شركة عليان للإنتاج، التي أقصت عمدا و بإصرار و ترصد كل الحوارات باللغة الأمازيغية و كذلك مقتطفات من الأفلام الناطقة باللغة الأمازيغية.
إن الممثلين و المخرجين و السينمائيين المنتمين لنقابة سوس ماسة درعة، و غير المنتمين منهم، و كذلك أعضاء نقابة الممثلين بورزازات ، و نقابة الفنانين التشكيلين بسوس ماسة درعة، يشجبون بشكل موحد ما قامت به إدارة عليان للإنتاج و ما أسمته أسمته بصناعة الفيلم و بتكاليف باهضة، لكي تهمش في الأخير اللغة و الثقافة الأمازيغية، في شريطها الإعلاني لإنتاج 30 فيلم و غالبيتها تم إنتاجها بأكادير و منطقة سوس. و يحتجون كذلك ضد الإستبعاد و الإقصاء الذين تعرض لهما الفنانون الأمازيغ المدعوين للبرنامج التلفزي المذكور و الذي أنتجته شركة عليان للإنتاج و بثته القناة الأولى.
لقد تعمدت شركة عليان للإنتاج، لاستقدام الممثلين من أكادير إلى الدار البيضاء بواسطة حافلة، للمشاركة في تسجيل الشريط الإعلاني لافلام التي تم إرجاعها للغة العربية . و الذين تعاملت معهم الشركة بشكل لاأخلاقي و مستفز، حيث أبقتهم لمدة طويلة بدون إفطار بعد مرور ساعات من الصيام، و ذلك في اليوم الأخير من التسجيل.
و يطلب الممثلون و المخرجون السينمائيون و الفنانون التشكيليون، من الجمعيات الأمازيغية و الحركة الأمازيغية عموما، للوقوف إلى جانبعم، و الإحتجاج ضد الممارسات العنصرية لشركات الإنتاج من قبيل عليان للإنتاج، و الذين يستغلون طيبوبة الفن و الفنان الأمازيغي لصناعة الفيلم العربي الذي يضر باللغة و الثقافة الأمازيغية.
و من أجل حماية الموروث الثقافي الأمازيغي، فإننا لسنا بحاجة إلى سياسة دبلجة الأفلام الناطقة بالدارجة المغربية إلى اللغة الأمازيغية، و في نفس الوقت منع دبلجة الأفلام الأمازيغية إلى العربية و إلى اللغات الأخرى، و الإكتفاء بشريط الترجمة. و كذلك يعد بالأهمية بما كان إعادة النظر في الميزانية الممنوحة لنتج الأفلام، و التجربة التي عايشناها مع شركة عليان للإنتاج بشأن إنتاج 30 فيلما ناطقا باللغة الأمازيغية لتدل بشكل كبير جدا على غياب الشفافية.
الميزانية ضخمة جدا، يحتمل أنها لم ينلها أي منتج سينمائي في تاريخ السينما بالمغرب قبل اليوم، لكن مع ذلك، لم ينل منها الممثلون و التقنيون و المكلفون بالديكور لم ينالوا منها غير الفتات، و المثير للشفقة و الغير إنساني في نفس الوقت.

أكادير 3 أكتوبر 2007




Rachid BOUKSIM

Directeur du Prix ISSNI N’OURGH
- Artiste du Sud -
N47 Bloc 14 Amicales Agadir
80000 -MAROC
Tel :00212(0)68624288
Fax :00212(0)028224454
drama1988@yahoo. fr
bouksim@gmail. com
 
Re : Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la

Pauvre imazighenes, leurs bonnes volontés ne meritent pas ces engences comme cocitoyens
l'histoire de ce types chez nous est une suite d'arnaques dont nous sommes toujours
les victimes.
Ce Ayouch a exploité l'amour des imazighenes
de leurs culture pour ce remplir ces poches :
adas'guin tawka ghou 7bodn's amine.
 
Re : Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la

Pourtant c'était gros comme une maison, on l'a vu venir depuis l'année passée en en discutant sur ce forum.

D'abord ces 30 films ont été attribués sans appel d'offre. Bonjour le népotisme.

Ensuite, on sait que ce Ayouch fait partie d'un environnement (pour pas dire une caste) qui hait l'amazighe, il avait beau endosser ahidor il gardait la queue d'uccen.

Voici les discussions que l'on avait eu dès avril 2006 :

http://www.souss.com/forum/espace-c...ndustrie-cocotte-minute.html?highlight=ayouch

http://www.souss.com/forum/espace-c...-30-films-tamazight-fin.html?highlight=ayouch

http://www.souss.com/forum/espace-c...yl-ayouch-produit-longs.html?highlight=ayouch
 
Re : Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la

Ce Ayouch a exploité l'amour des imazighenes
de leurs culture pour ce remplir ces poches :
adas'guin tawka ghou 7bodn's amine.

:-D

La belle expression !
Celle là, je la connaissais pas !

Mais je suis tout à fait d'accord avec toi : AMIN !!!!
 
Re : Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la

<table border="0" cellpadding="1" cellspacing="2" width="95%"><tbody><tr><td class="titrerougegrand">Trente films marocains bientôt en DVD</td> </tr> <tr> <td>
</td></tr> <tr> <td class="textearticle"> · Une nouvelle vague d’artistes sur les écrans

· Un contrat de distribution signé avec Altadis


Film Industry vient d’accoucher de son 1er bébé(1). Le nouveau-né pèse 30 téléfilms et a été tourné en totalité dans la région du Souss-Massa-Drâa. Il aura fallu vingt mois de tournage, dix réalisateurs et une centaine d’acteurs, cascadeurs, techniciens… Cette «naissance» artistique a été parrainée de bout en bout par Alin’ productions. Une société audio-visuelle dirigée par le réalisateur de Mektoub, Nabil Ayouch. La 1re chaîne a mis la main à la pâte en tant que coproductrice et partenaire média. Les longs métrages de Film Industry se répartissent en 6 genres: comédie, horreur, action, film historique, drame et comédie musicale.
«Notre public adore la diversité des genres. Mais il aime aussi des films qui lui parlent, surtout s’il existe un fonds culturel inexploité», argumente Nabil Ayouch. L’un des films relate d’ailleurs l’histoire du guerrier arabe, «conquérant de l’Andalousie», Tarik Ibnou Zyad.
«Une demande de dérogation déposée en novembre 2006 auprès du Centre cinématographique marocain pour exploiter les films dans les salles obscures, vient d’être refusée», souligne le producteur Nabil Ayouch. Car au départ, ces productions été conçues pour la télé et non pour le cinéma (www.leconomiste.com). Téléfilms ou long métrages alors? Les deux à la fois car certaines productions sont déjà sélectionnées pour des festivals de cinéma, notamment celui de Casablanca.
Les films en DVD (49 DH l’unité) seront proposés sur le marché à raison de deux nouveautés par mois. Ils contiennent des menus interactifs avec bonus, interview, making-off, bandes-annonces…
Un contrat de distribution dans les 2.000 points de vente d’Altadis a déjà été signé. «La même formule sera dupliquée avec l’opérateur télécom Meditel», précise le représentant de Film Industry. Le but est de parer au piratage en lançant un circuit de distribution alternatif. Actuellement, le marché est cannibalisé par l’informel, la copie illégale… L’émergence d’un circuit (création, production, distribution, exploitation) qui tourne financièrement est quasi impossible dans de telles conditions. Vendre des DVD d’origines, comme un produit d’appel, avec une offre telecom par exemple, permet de relancer le circuit et donc le marché. Mais c’est insuffisant. Seule une action concertée, globale et durable entre les différents acteurs est salvatrice. La direction du Bureau marocain des droits des auteurs, par exemple, doit se recycler. La critique est valable pour l’Etat aussi qui se cache derrière des raisons sociales pour laisser faire les pirates.
Côté diffusion, le lancement a été entamé fin septembre. Quatre films, réalisés par Brahim Chkiri, seront diffusés sur Al Oula (ex-TVM) dont notamment «Tiwargua», un film d’horreur.
Ailleurs, la recette Film Industry fait des émules. Le festival de Damas, prévu pour novembre, «rendra un hommage au cinéma marocain». «Les Syriens souhaitent dupliquer le projet de Film Industry», a affirmé Ayouch. Reste à savoir à quel prix! L’essentiel, c’est que des ouvertures s’amorcent: notre cinéma est exploitable et exportable. Il faut juste y croire!
<hr>
<center>Portrait d’une génération sans utopie</center>

· «Os de fer», le film hors normes de Hicham Lasri


· Le quotidien castrateur d’une jeunesse qui se cherche


«Nous sommes une génération qui n’a aucune raison de se réveiller tôt: ni colons à mettre à la porte, ni Marche verte à faire… La Palestine est lointaine et l’Irak est perdu». Voilà un échantillon du scénario d’«Os de fer». Le dernier film hors normes du jeune réalisateur Hicham Lasri. Son opus a été projeté le 5 septembre à Casablanca, en avant-première chez Alin’ productions. Il fait partie des longs métrages produits par Film Industry et sera disponible, dans un premier temps, en DVD .
Une histoire urbaine simple mais percutante. Trois «potes», dont deux Hitistes (jeunes désœuvrés qui passent leurs journées adossés au mur) et un étudiant, se débrouillent pour dénicher 120 DH! Une somme qui n’est en fait qu’un prétexte pour s’accrocher à… un rêve. Celui d’avoir une existence qui ait un sens. Les temps sont durs pour les enfants du peuple. De scène en scène, cette quête financière se transforme en bain de sang. Violent, incisif, et sans compromis. «Os de fer» ose consommer la rupture. Une rupture revendiquée à la fois par l’image, le texte et le son.
Le film est un patchwork visuel. Sa marque de fabrique, des séquences à la MTV, chaîne musicale, malaxées à du documentaire. «Une sorte de docu-fiction qui explore d’autres formes de narration. L’idée est de plonger, sans préavis, dans la réalité des personnages», commente Hicham Lasri. Une approche qui, à première vue, déroute.
Les scènes s’enchaînent et finissent par convaincre. Car la trame de la fiction est bien cousue. Le réalisateur a fait des projections-tests. Question de tâter la réceptivité des spectateurs. «Ils finissent toujours par s’accrocher à l’histoire», précise le réalisateur.
La rupture se traduit aussi par le choix des acteurs. Leurs parcours dans le cinéma sont pratiquement vierges. Seul Tarik El Boukhari, s’appropriant ingénieusement le rôle d’étudiant muet, fait figure de «vétéran». Le scénario, quant à lui, brille par sa crudité.
L’argot de la darija préserve la «crédibilité» des personnages. Et la «vulgarité» de certains vocables dégage une poésie urbaine bannie. L’écriture du scénario a pris quatre ans. Il fallait à chaque fois «réécrire les dialogues pour avoir le ton juste», souligne le réalisateur d’Os de fer. Un ton qui risque de ne pas plaire aux censeurs. C’est un choix. «Je ne cherche pas à plaire, mais à provoquer… une réflexion», rétorque Hicham Lasri. Son film fait aussi un clin d’œil à une génération aux références culturelles communes.
Une génération bercée par les walkmans. Et pourquoi ce titre: «Os de fer»? «On mordillait les batteries du baladeur pour leur redonner du jus». Chacun s’agrippe à quelque chose pour exister. «C’est l’énergie du désespoir», lance Lasri.

Faiçal FAQUIHI
L'Economiste
----------------------------------------------------------------
(1) Pour rappel, Film Industry est le nom d’un projet cinématographique réunissant Alin’ productions et la SNRT.
</td></tr></tbody></table>
 
Re : Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la

«Notre public adore la diversité des genres. Mais il aime aussi des films qui lui parlent, surtout s’il existe un fonds culturel inexploité», argumente Nabil Ayouch. L’un des films relate d’ailleurs l’histoire du guerrier arabe, «conquérant de l’Andalousie», Tarik Ibnou Zyad.

Mais ce type est malade !!

:grr::grr:
 
Re : Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la

Mais ce type est malade !!

:grr::grr:

"Le festival de Damas, prévu pour novembre, «rendra un hommage au cinéma marocain»"<o></o>
Ca va leur faire tout drôle d’avoir des nouvelles de Tarik, le natif du coin, après de si longues années.<o></o>
<o></o>
Plus sérieusement, en Chine, on dirait que cet Ayouch est simplement dans la droite ligne du parti. <o></o>
 
Re : Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la

Faut pas delirer ce gars ne fait que suive le contrat; je me demande si ce comité ne le fait pas expès il été deja stipulé que 29 films su 30 seont doublés biennnn avant le tournage!!!!
 
Re : Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la

et puis ce gars comme 99% des marocains et vous en êtes conscients se fou que Tarik soit arabe ou berbere ou que 33,4% de l'audimat soit amazighphones ou tachelhitophones ou qu'on soit en 007 en 1428 ou en 2956 ou je sais pas quoi, TOUS CA C EST DES DETAILS ET LE MAROC TEL QUE VOUS LE VOYEZ EN 2007 SERA L ANCETRE LOGIQUE DU MAROC DE 2057 SANS GRANDS BOULVERSEMENT DANS LES ORIENTATIONS
 
Re : Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la

ET LE MAROC TEL QUE VOUS LE VOYEZ EN 2007 SERA L ANCETRE LOGIQUE DU MAROC DE 2057 SANS GRANDS BOULVERSEMENT DANS LES ORIENTATIONS
Houla je nes avais pas que Abbas el-Fassi visitait notre site.

Maroc 2010, Orientations de sa Majesté blabla...

Tarik arabe ou berbère c'est un détail en soi. Ce qui est plus grave c'est que toutes ces petites phrases ne sont que le sommet de l'iceberg, un iceberg qui cachent des choses beaucoup plus importantes et choquantes.

Alors continues à naviguer vers Maroc 2057 en passant à côté du sommet de l'iceberg mais fais attention à la coque...
 
Re : Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la

Après avoir lu l'article, je remarque qu'en fait il y'a des reproches à faire à la société qui exécute la production de ces téléfilms. La production étant donnée celle de la Société Nationale de la Radio et Télévision. Cet organisme étatique confie la réalisation de ces œuvres de fiction à cette boite de production de Casablanca.
Quelques articles des journaux ainsi que les conférences et points de presse organisés par Nabil Ayouch, soulignaient au début des travaux de tournage que ce projet entre dans le cadre de l'encouragement de la production Nationale en général et la production d'expression Amazigh en particulier.
Or, la diffusion du téléfilm « Ouach » de Brahim CHKIRI en sa version arabe alimente vivement la polémique à propos de la volonté de la S.N.R.T à produire des programmes TV en langue Amazigh. La colère des artistes amazighs contre cette manipulation de mauvaise fois n’exprime que la voix de la majorité de la population qui attendait depuis un et demi la diffusion de ces téléfilm.

En fait il faut signaler ceci à la S.N.R.T: c'est l'organisme qui finance et qui diffuse et non pas AL'n production
qui exécute la production...et qui n'a rien avoir avec les orientations nationales du fait de son statut de socité de capitaux.
 
Re : Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la

" Houla je nes avais pas que Abbas el-Fassi visitait notre site. "

on lui a demandé son opinion sur l'officialisation
de tamazight , et il a repondu on verra dans 20
ans, il y'a 40 ans on a demandé au roi hassan 2 son opinion sur tamazight , et il leur a repondu on verra dans 30 ans : evidement
ces gens la misent sur le temps pour en finir
avec leur enmie seculaire l'amazighité ...

maintenant marocain et fassi ! ( je me demande qu'est ce qu'il fait dans le coins il y'a
plein de boulots pour les fassis ce moment, on prepare l'avenir de la 3eme generation ... )
nous sommes tous marocains , non Monsieur
notre marocanité est specifique a nous meme
vous vous ne cherchez qu'a nous imposer votre propre concept de marocanité pour que
vous soyez les gagnants sur notre dot ...
un changement culturelle c'est comme une operation churirgical ca prends du temps pour
guerir cependant vous fortifiez davantage
vos privilége d'elites .... seulement l'autonomie et l'officialisation de tamazight
dans les regions amazighophone est la bonne solution pour les imazighenes.
on va nous repondre l'unité national ...
si cette unité doit etre fait seulement a mes depends qu'aille s'ourwass ...

pour revenir au sujet la diffusion des films en tachel7it en darija en premier est plein de symboles ... nanawn our tgim yat , our tswim
yat ... wa nkrat ighra tnkrm .
 
Re : Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la

Deux choses, je ne suis qu'un étudiant en deuxième année donc ce que tu as dit sur la Troisième génération c'est pas pour moi.
Ensuite en ce qui concerne l'identité marocaine, vous et moi sommes quoi que vous en disiez et quoi que peuvent en dire les extrémistes de tous bords, sommes tres proches historiquement(beaucoup de berberes soussis et riffis se sont instalés a Fès) culturellement... Nous partageons beaucoup de choses ce qui fait de nous des compatriotes.
Ensuite il faut que je vous dise que pour ma part l'autonomie de région tel que le souss ou le Rif va de pair avec le developpement du Maroc. Pour l'officialisation, là je n'ai même pas besoin d'être contre, la réalité s'imposera d'elle même, c'est ompossible et ça prendre trop trop de temps.
Donc ne croyez pas que j'ai peur que le Maroc se divise ou qu'il y'ai une guerre civile, ou quoi que ce soit de ce calibre, ça n'arriveras pas parceque l'autonomie des villes ou de régions n'amènera que le progrès economique et moral, et puis le Maroc et tres solide comme nation, pour beaucoup plus on a résisité.
 
Re : Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la

Faut pas delirer ce gars ne fait que suive le contrat; je me demande si ce comité ne le fait pas expès il été deja stipulé que 29 films su 30 seont doublés biennnn avant le tournage!!!!

personne n'est contre le doublage en arabe...mais au moins, question d'éthique, diffuser le film en sa version originale "tamazight" c'est ce que esperent beaucoup de marocains.
 
Re : Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la

<table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="555"> <tbody><tr> <td>Polémique. Ali N’ vs Amazighs ?

“Amazighophobie”, “manipulation”, “racisme”… les expressions rivalisaient de hargne dans le communiqué publié en Une de Libération du 6 octobre par un groupement d’artistes et de techniciens du Souss (une soixantaine selon Rachid Bouksim, l’un de ses membres), en colère contre l’émission Film Industry du 29 septembre sur Al Aoula. On y aurait “censuré” les passages en tamazight et privé de f’tour des participants amazighs lors de l’enregistrement, après les avoir “sous-payés”, pour travailler dans des conditions “dégradantes”. “Il est regrettable que la défense d’une langue et d’une culture (…) soit pour certains l’occasion de revenir sur des arguments d’ordre économique”, répond-on chez Ali N’ Production… fatigués du malentendu selon lequel FI serait censée glorifier l’amazighité. Et de préciser qu’il s’agit “d’un projet marocain dans toute sa diversité culturelle”, auquel chacun a participé “de plein gré en acceptant les conditions financières” inhérentes à des budgets qui seront incessamment “audités en toute transparence”.
</td></tr></tbody></table>
Tel Quel
 
Re : Maroc, Les artistes amazighs dénoncent le comportement de Nabil Ayouch et de la

"Le festival de Damas, prévu pour novembre, «rendra un hommage au cinéma marocain»"<O></O>
Ca va leur faire tout drôle d’avoir des nouvelles de Tarik, le natif du coin, après de si longues années.<O></O>
<O></O>
Plus sérieusement, en Chine, on dirait que cet Ayouch est simplement dans la droite ligne du parti. <O></O>


il parait que vous avez attrapé la maladie des arabes !
 
Retour
Haut