aksel said:
Mouslimmachin, tu ne mérites même pas que je cite tes mots barbares et obscurs. Mais je tiens à te dire ceci: tes mots ne suscitent chez moi que le dégoût et la pitié. Tu fais honte à l'Islam; tu es à l'opposé de la miséricorde divine. Tu es la caricature absolue de l'état infâme dans lequel l'Islam s'est englué à cause de l'analphabétisme, de l'ignorance, de la misère intellectuelle et spirituelle où les " religieux" comme toi ont fait naufrage.
Apprends que Dieu est d'abord amour, miséricorde, compassion et pardon. Avant de profaner le nom de Dieu. Si tu n'as pas la moindre compassion pour ton frère humain, quel qu'il soit, quelque soit sa faute, tu ne mérites ni la compassion des humains ni celle de Dieu. Toi dont le coeur est méchanceté et obscurité, qui juges et qui condamnes, prends garde à ne pas être jugé et condamné. Et tes paroles te condamnent: tu n'as jamais connu la grâce et la bonté de Dieu.
Que Dieu ait pitié de toi.
mais bon dieu qu'est ce que aksel a dans sa tete. comment tu accepte quelqu'un revenir dans aljahiliyah enterer les bébés de sexes feminins vivants. relis mon post avant de faire rire de toi le monde.
en attendant que tu relis mon post voici mon analyse à l'apostasie en islam:
le verset 54 de la sourate 5:
les croyants! Quiconque parmi vous apostasie de sa religion... Allah va faire venir un peuple qu'Il aime et qui L'aime, modeste envers les croyants et fier et puissant envers les mécréants, qui lutte dans le sentier d'Allah, ne craignant le blâme d'aucun blâmeur. Telle est la grâce d'Allah. Il la donne à qui Il veut. Allah est Immense et Omniscient.
Le coran comme le montre le verset 54 de la sourate 5 ne dit pas qu'il faut tuer l'apostats, mais laisse la question ouverte selon le cas comme a jugé Abu Bakr juste après la mort du prophète. Il faut premièrement définir l'apostasie. Mohammed (SAAWS) a fondé un état avec une constitution pour combattre l'anarchie qui régnait en arabie:
A-
- ne plus enterrez les bébés de sexes féminins vivantes et leur donner le droit à la vie
- de prendre en charge les orphelins et leur remettre leur héritage une fois ils deviennent majeure
- ne plus manger l'héritage des femmes et les entretenirs
- résoudre le problème de l'esclavage en donnant aux Hommes leurs dignités sans ruiner les riches qui ont investit dans le commerce des esclaves pour unir toute les classes de la socièté: libération de ceux qu'on peut libérer, se marier avec les femmes esclaves, transformer le reste en ouvrier
-etc...............
Tout ce qui contredit
A-
remet l'arabie à l'ère de l'ignorance et considéré comme apostase et le jugement annoncé à leur égart était la peine de mort comme le cas du monsieur qui a tué 168 enfants lors de l'attentat d'oklahomacity aux états-unis d'amérique en 1995; commis par Timothy McVeigh, un ancien soldat modèle de la Guerre du Golfe. Reconnu coupable et condamné à mort en juin 1997
Alors doit-on abolir la peine de mort? lorsque les juristes du monde entier se mettent d'accord sur la peine de mort, ca va etre de meme dans le cas du jugement islamique.
La fatwa est donné par le cheikh Yussuf al-qaradawi du conseil islamique de al-azhar:
Quiconque renie l’une de ces directives « connues de la religion par nécessité », les méprise, ou les raille est un dénégateur pur et simple. Il est accusé d’apostasie de l’Islam. En effet, ces directives sont mentionnées dans le Coran dans des versets explicites ; elles font l’objet de hadiths authentiques largement transmis (mutawâtir) ; elles ont été consensuellement admises par la Communauté, de génération en génération. Quiconque les renie renie alors un texte du Coran ou de la Sunnah. Ce n’est ni plus ni moins que de la mécréance.
Ne fait exception à cette règle que l’individu récemment converti à l’Islam, ou celui qui a toujours vécu à la campagne, loin de toute civilisation musulmane et de tout accès au savoir religieux. De telles personnes sont excusées si elles renient ces nécessités religieuses, jusqu’à ce qu’elles soient instruites en Islam. Dès lors, elles subissent les mêmes règles que celles qui prévalent pour le reste des Musulmans.
fin de la fatwa: donc on comprend bien devenir apostase est etre contre les directives du coran: revenir à l'ère de l'ignorance: enterrez les bébés de sexes féminin, manger l'héritage des femmes et des orphelins adoptés etc.....
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une autre fatwa du Sheikh Sayyid Sâbiq:
un Musulman qui renie l’Islam sous la contrainte n’est pas un apostat, tant que son cœur demeure plein de la sérénité de la foi. Ainsi, `Ammâr Ibn Yâsir fut contraint malgré lui de renier l’Islam. Dieu révéla alors à son sujet : « Quiconque a renié Dieu après avoir cru... - sauf celui qui y a été contraint alors que son cœur demeure plein de la sérénité de la foi - mais ceux qui ouvrent délibérément leur cœur à l’infidélité, ceux-là ont sur eux une colère de Dieu et ils ont un châtiment terrible. » [2] Ibn `Abbâs dit au sujet de `Ammâr : « Les idolâtres l’enlevèrent, avec son père, sa mère Sumayyah, Suhayb, Bilâl et Khabbâb puis les torturèrent. Sumayyah fut attachée entre deux chameaux. On lui amena une lance et on lui dit : « Tu t’es convertie à l’Islam pour les hommes. » Elle fut alors tuée ainsi que son époux. Ce sont les deux premiers martyrs de l’Islam. Quant à `Ammâr, il prononça malgré lui ce qu’ils voulurent entendre. Il se plaignit alors auprès du Prophète - paix et bénédiction sur lui - qui lui demanda : « Comment sens-tu ton cœur ? » `Ammâr répondit : « Plein de la sérénité de la foi. » Le Messager lui dit : « S’ils reviennent vers toi, reviens-y [3]. » »
Le Musulman n’est considéré comme étant sorti de l’Islam et n’est accusé d’apostasie que si son cœur s’ouvre à la dénégation, y devient confiant et y entre effectivement. Dieu dit en effet : « mais ceux qui ouvrent délibérément leur cœur à l’infidélité » [1]. Le Messager - paix et bénédiction sur lui - dit : « Les actions sont jugées d’après les intentions, et il en sera tenu compte à chaque homme dans la mesure de son intention. » Ainsi, étant donné que ce qui est dans le cœur est un Inconnu (ghayb) que Seul Dieu connaît, il est nécessaire, avant de lancer une accusation d’apostasie, que ce qui prouve explicitement et de manière indubitable la dénégation d’un individu émane directement de celui-ci. On a rapporté d’après l’Imâm Mâlik l’avis suivant : « Quiconque émane de sa part ce qui implique la dénégation sous quatre-vingt-dix-neuf formes, et que la foi n’est impliquée que par une forme, sera considéré comme ayant la foi. »
Tout cela ne s’applique pas aux Musulmans récemment convertis qui ne connaissent pas encore les directives de l’Islam ni les limites qu’ils doivent observer. Si l’un d’eux nie par ignorance un élément de la religion, il n’est pas considéré comme un apostat. Par ailleurs, il existe des questions faisant le consensus des Musulmans mais que seuls quelques-uns connaissent. Celui qui nie une telle question n’est pas considéré comme un apostat : il est excusé à cause de son ignorance de ladite question qui n’est pas toujours portée à la connaissance du grand nombre. Parmi les exemples de ce type de questions, on peut citer l’interdiction pour l’homme d’épouser la tante paternelle ou maternelle de son épouse, le fait que le coupable d’homicide volontaire soit privé d’héritage, le fait que la grand-mère reçoive le sixième de l’héritage, etc.
le Docteur Cheikh Yussuf Alkaradawi ajoute:
Abd Ar-Razzâq, Al-Bayhaqî et Ibn Hazm rapportent qu’Anas, revenant de Tastur, se rendit chez `Umar. Ce dernier lui demanda : « Qu’ont fait les six de la tribu de Bakr Ibn Wâ’il qui ont renié l’Islam et qui ont rejoint les idolâtres ? » Anas répondit : « Ô Commandeur des Croyants, ce groupe de gens qui ont renié l’Islam et qui ont rejoint les idolâtres ont été tués sur le champ de bataille. » `Umar reprit : « Nous appartenons à Dieu, et c’est à Lui que nous retournerons. » [7] Anas dit : « Mais avaient-ils une autre issue que d’être tués ? » `Umar répondit : « Oui, j’allais leur proposer l’Islam et, s’ils refusaient, j’allais les mettre en prison. »