L’heure a-t-elle sonné pour les hommes de Driss Basri? On a tendance à répondre que «oui», à partir d’un fait, peut-être isolé, mais qui confirme que rien n’est définitif en politique, pour le meilleur et pour le pire. Le fait en question est la convocation et l’audition par la BNPJ, à plusieurs reprises, de deux hôtes de marque: Abdelmoughit Slimani, ex-président de la Communauté urbaine de Casablanca (CUC) et Abdelaziz Laâfoura, ex-gouverneur de la préfecture de Aïn Sebaâ-Hay Mohammadi. Accompagnés de Abdelmajid Bennis, ex-président de la commune de Sidi Moumen, ils ont été invités à s’expliquer sur plusieurs dossiers de leur gestion communale.
L’interrogatoire tourne autour de trois affaires qui, en leur temps, avaient défrayé la chronique. Il s’agit du sort réservé au don royal à la commune de Sidi Moumen destiné à la création d’une zone verte, devenue pâté d’immeubles. Il s’agit du complexe d’Ouled Ziane et du projet de relogement des bidonvilles des Carrières centrales à Hay Mohammadi, plus connu sous le nom de “projet immobilier Hassan II”.
A l’heure actuelle, les dossiers dans le cadre desquels seront poursuivis ces décideurs et d’autres personnes impliquées, de façon directe ou indirecte, ne sont pas clairement précisés.
L’interrogatoire tourne autour de trois affaires qui, en leur temps, avaient défrayé la chronique. Il s’agit du sort réservé au don royal à la commune de Sidi Moumen destiné à la création d’une zone verte, devenue pâté d’immeubles. Il s’agit du complexe d’Ouled Ziane et du projet de relogement des bidonvilles des Carrières centrales à Hay Mohammadi, plus connu sous le nom de “projet immobilier Hassan II”.
A l’heure actuelle, les dossiers dans le cadre desquels seront poursuivis ces décideurs et d’autres personnes impliquées, de façon directe ou indirecte, ne sont pas clairement précisés.