comment je peux accepter d'etre un francophone et je refuse d'etre un arabophone?
on ait pas des arabes mais des arabophones pour conserver la langue du coran car la traduction des écritures saintes qui ont amenés à des contradictions comme l'évangile. L'évangile original est ecris en aramein la langue de Jesus 3alahyi assalame.
les contradictions dans les évangiles:
Pour ce qui est du texte des quatre Evangiles canoniques, on note aussi certaines contradictions. En voici quelques-unes…
• "Ayant appris que Jean [il s'agit de Jean-Baptiste] avait été livré, Jésus se retira en Galilée (Matthieu 4/12, voir aussi Marc 1/14 et Luc 4/14). Comme il marchait le long de la mer de Galilée, il vit deux frères, Simon appelé Pierre et André, son frère, en train de jeter le filet dans la mer : c'étaient des pécheurs. Il leur dit : "Venez à ma suite et je vous ferai pécheurs d'hommes." Laissant aussitôt leurs filets, ils le suivirent." (Matthieu 4/18-20). Or voici ce que Jean l'Evangéliste relate : "Le lendemain, Jean [= Jean-Baptiste] se trouvait de nouveau au même endroit avec deux de ses disciples. Fixant son regard sur Jésus qui marchait, il dit : "Voici l'agneau de Dieu." Les deux disciples, l'entendant parler ainsi, suivirent Jésus (Jean 1/35-37). "André, le frère de Simon-Pierre, était l'un de ces deux qui avait écouté Jean et suivi Jésus. Il alla trouver avant tout son propre frère Simon et lui dit : "Nous avons trouvé le Messie" – ce qui signifie le Christ. Il l'amena à Jésus" (Jean 1/40-42, plus une partie de 43). D'après la narration de Jean, c'est alors que Jean-Baptiste n'avait pas encore été arrêté que André et Simon suivirent Jésus, alors que d'après les écrits attribués à Matthieu, Marc et Luc, c'est alors que Jean-Baptiste avait déjà été arrêté qu'ils le suivirent.
• "Et les disciples l'interrogèrent [= Jésus] : "Pourquoi donc les scribes disent-ils qu'Elie doit venir d'abord ?" Il répondit : "Certes Elie va venir et il rétablira tout ; mais, je vous le déclare, Elie est déjà venu, et, au lieu de le reconnaître, ils ont fait de lui tout ce qu'ils ont voulu. Le Fils de l'homme lui aussi va souffrir par eux." Alors les disciples comprirent qu'il leur parlait de Jean le Baptiste" (Matthieu 17/10-13). Or voici ce que Jean relate : "Et voici quel fut le témoignage de Jean lorsque, de Jérusalem, les Juifs envoyèrent vers lui des prêtres et des lévites pour lui poser la question : "Qui es-tu ?" Il fit une déclaration sans restriction, il déclara : "Je ne suis pas le Messie." Et ils lui demandèrent : "Qui es-tu ? Es-tu Elie ?" il répondit : "Je ne le suis pas." – Es-tu le Prophète ?" Il répondit : "Non"" (Jean 1/19-21). La narration de Jean fait dire à Jean Baptiste qu'il nie être Elie, alors que la narration de Matthieu fait dire à Jésus que Jean Baptiste est bien Elie. Aucun de ces deux personnages ne peut avoir dit faux : le problème doit venir de la question de l'authenticité de l'attribution de chacun de ces deux propos.
• "Alors, prenant la parole, Pierre lui dit : "Eh bien, nous, nous avons tout laissé et nous t'avons suivi. Qu'en sera-t-il donc pour nous ?" Jésus leur dit : "En vérité, je vous le déclare : Lors du renouvellement de toutes choses, quand le Fils de l'homme siègera sur son trône de gloire, vous qui m'avez suivi vous siégerez vous aussi sur douze trônes pour juger les douze tribus d'Israël" (Matthieu 19/27-28). Il est peu probable que les douze disciples auxquels il s'adresse alors siègent un jour sur douze trônes pour juger les douze tribus d'Israël : en effet, parmi eux se trouve Judas l'Iscariote, celui-là même qui trahira Jésus : comment pourrait-il juger les autres ? Jésus n'est pas un menteur : le problème, ici encore, vient de l'authenticité de l'attribution de ce propos.
• Les Evangiles canoniques relatent que Jésus fut crucifié, et qu'il le fut avec deux bandits, l'un à sa droite et l'autre à sa gauche (Matthieu 27/38, Marc 15/27, Luc 23/33, Jean 19/18). Matthieu relate que "les bandits crucifiés avec lui l'insultaient de la même manière" que des passants (Matthieu 27/44), et Marc relate chose semblable (15/32). Or Luc, lui, relate que l'un de ces deux bandits l'insulta tandis que l'autre prit sa défense (Luc 23/39-42).