Il est établi que la région de Tiznit est l¹une des régions du Maroc les plus répulsives vis-à-vis de ses habitants. On estime que 20 % de la population active de la zone quitte la région pour s¹établir soit dans les autres villes du Royaume, soit à l¹extérieur du pays.
Par ailleurs, les apports de nos M.R.E en devises pour le Maroc s¹élèvent, selon des chiffres officiels, ses dernières années, à 4 milliards de dollars ou 40 milliards de DH. Les régions de Nador et de Tiznit accaparent la part du lion dans ces rentrées.
Il est question maintenant de bien fructifier ses apports de la région de Tiznit dans des activités productives et génératrices de valeur ajoutée. D¹autant plus qu¹il est admis que les populations de Tiznit jouissent d¹une force d¹épargne peu commune au Maroc.
Jusqu¹à présent, les capitaux de nos émigrés sont investis essentiellement dans le bâtiment et les activités de commerce. On investit notamment dans la pierre et le béton. On assiste à Tiznit à un gonflement et une inflation du secteur tertiaire. Au moment où il est demandé d¹encourager les activités génératrices d¹emplois. On sait que la petite et moyenne entreprise sont un atout indéniable pour les petites villes de la taille de Tiznit.
Il est capital d¹informer nos M.R.E sur les possibilités d¹investir dans des activités productives tels l¹artisanat et le tourisme sans oublier les premiers jalons d¹une industrie qu¹on voudrait naissante. Il est aussi primordial de bien encadrer nos investisseurspotentiels et de trouver des cadres juridiques et opérationnels pour le suivi des dossiers et des initiatives.
La part des campagnes et du milieu rural qui est importante dans la région serait d¹une première importance pour promouvoir des activités rentables dans les centres ruraux. Il est question d¹établir des relations équilibrées entres nos villes et nos campagnes et de cesser les relations déséquilibrées entre elles.
Lahoussine Nafai
albayane.ma
Par ailleurs, les apports de nos M.R.E en devises pour le Maroc s¹élèvent, selon des chiffres officiels, ses dernières années, à 4 milliards de dollars ou 40 milliards de DH. Les régions de Nador et de Tiznit accaparent la part du lion dans ces rentrées.
Il est question maintenant de bien fructifier ses apports de la région de Tiznit dans des activités productives et génératrices de valeur ajoutée. D¹autant plus qu¹il est admis que les populations de Tiznit jouissent d¹une force d¹épargne peu commune au Maroc.
Jusqu¹à présent, les capitaux de nos émigrés sont investis essentiellement dans le bâtiment et les activités de commerce. On investit notamment dans la pierre et le béton. On assiste à Tiznit à un gonflement et une inflation du secteur tertiaire. Au moment où il est demandé d¹encourager les activités génératrices d¹emplois. On sait que la petite et moyenne entreprise sont un atout indéniable pour les petites villes de la taille de Tiznit.
Il est capital d¹informer nos M.R.E sur les possibilités d¹investir dans des activités productives tels l¹artisanat et le tourisme sans oublier les premiers jalons d¹une industrie qu¹on voudrait naissante. Il est aussi primordial de bien encadrer nos investisseurspotentiels et de trouver des cadres juridiques et opérationnels pour le suivi des dossiers et des initiatives.
La part des campagnes et du milieu rural qui est importante dans la région serait d¹une première importance pour promouvoir des activités rentables dans les centres ruraux. Il est question d¹établir des relations équilibrées entres nos villes et nos campagnes et de cesser les relations déséquilibrées entre elles.
Lahoussine Nafai
albayane.ma