Où est la tenue honorable de l’Algérienne ? Où se trouve son charme disparu ?
Si vous baladez dans les rues de la capitale vous allez remarqués certainement une paradoxe dans la tenue des jeunes, soit de coté femmes, soit de coté hommes ; ils souffrent tous de la même épidémie !
C’est un mélange (tchekchtouka) de toutes les cultures, de la française, de l’américaine, de la chinoise, de yamanie, il existe même de l’afghani, et du pakistani, si c’était vraiment de leur culture ?? La question qu’on pose où est l’Algérienne ? Si vous avez la réponse vous n’avez que là transmettre…
C’est bien de posséder plusieurs cultures, de profiter le bon coté de ces dernières, mais le plus bon c’est de garder la notre et la préserver, ce qui n’est pas vraiment fait chez nous.
Notre culture se disparaître peu à peu, il n y a pas que la tenue qui se relâche mais toutes une société qui lève les mains devant cette influence qui frappe très fort, au jours le jours comme une tempête qui essaye d’exterminer ce qu’elle rencontre. Qu’est ce que y vous portent ? D’où vienne cette tempête ? Cette épidémie ?
Si on essaye d’analyser la situation et de donner à césar ce qui appartient à césar : certainement les médias a la part du lion qui est servit par la mondialisation dans une assiette en or (si ; tous ce qui brille de l’or !!).
Notre culture se balade toute nue dans les rues, nos chansons, nos mandoles, notre fierté, et notre honneur, il nous reste que leurs souvenirs de leur beaux vieux temps.
On est tous contribué soit du prés ou du loin pour ce qui devienne notre société, ça commence de la cellule de base, la famille, et se développe au niveau de l’école fondamentale, et donne ces fruit juste après et voila ce qui nous sommes devenus.
La famille qui souffre de la situation misérable de l’économie, l’école qui donne des cours imposé, et une société qui ferme les yeux et applaudir la situation, qui dit toujours oui, oui et ouih.
Jusqu'à quand ? Et on s’adresse à qui ?
A toutes personnes qui portent le sang d’un algérien, qui ont la foi de la liberté mais pas une liberté comme celle-là, une liberté qui a des racines d’une société civilisée et non vulgarisé ?
Si vous baladez dans les rues de la capitale vous allez remarqués certainement une paradoxe dans la tenue des jeunes, soit de coté femmes, soit de coté hommes ; ils souffrent tous de la même épidémie !
C’est un mélange (tchekchtouka) de toutes les cultures, de la française, de l’américaine, de la chinoise, de yamanie, il existe même de l’afghani, et du pakistani, si c’était vraiment de leur culture ?? La question qu’on pose où est l’Algérienne ? Si vous avez la réponse vous n’avez que là transmettre…
C’est bien de posséder plusieurs cultures, de profiter le bon coté de ces dernières, mais le plus bon c’est de garder la notre et la préserver, ce qui n’est pas vraiment fait chez nous.
Notre culture se disparaître peu à peu, il n y a pas que la tenue qui se relâche mais toutes une société qui lève les mains devant cette influence qui frappe très fort, au jours le jours comme une tempête qui essaye d’exterminer ce qu’elle rencontre. Qu’est ce que y vous portent ? D’où vienne cette tempête ? Cette épidémie ?
Si on essaye d’analyser la situation et de donner à césar ce qui appartient à césar : certainement les médias a la part du lion qui est servit par la mondialisation dans une assiette en or (si ; tous ce qui brille de l’or !!).
Notre culture se balade toute nue dans les rues, nos chansons, nos mandoles, notre fierté, et notre honneur, il nous reste que leurs souvenirs de leur beaux vieux temps.
On est tous contribué soit du prés ou du loin pour ce qui devienne notre société, ça commence de la cellule de base, la famille, et se développe au niveau de l’école fondamentale, et donne ces fruit juste après et voila ce qui nous sommes devenus.
La famille qui souffre de la situation misérable de l’économie, l’école qui donne des cours imposé, et une société qui ferme les yeux et applaudir la situation, qui dit toujours oui, oui et ouih.
Jusqu'à quand ? Et on s’adresse à qui ?
A toutes personnes qui portent le sang d’un algérien, qui ont la foi de la liberté mais pas une liberté comme celle-là, une liberté qui a des racines d’une société civilisée et non vulgarisé ?
