Prostitution des Marocaines en France

wak_wak

New Member
Les prostituées marocaines en France... D'où viennent-elles? Qui sont-elles? Où vont-elles?
Proposé par TQa, dimanche 23 janvier 2005 à 13:26 :: SOCIÉTÉ :: #233 :: rss

Des réseaux de prostitution de filles marocaines ont élu place en France. Ces filles publiques, blasées et sans ressources sont en général issues de milieux pauvres, Elles ont déjà eu des antécédants au Maroc avant d'aller se prostituer outre mer. -Par Mustapha TOSSA

Il y a la légende qui veut que par un matin froid de novembre 93,descendit d'un bus anonyme des voyageurs aux portes de Paris, une jeunefille potelée comme une pêche, les cheveux teintés d'une couleur blonde bon marché, le regard hésitant qui trahit ses 22 ans. Avant de héler un taxi, elle prit soin de se faire composer un numéro de téléphone. Aubout du fil, elle entendit un cri de joie à la fois endormi, mais bien féminin. Puis il y a la réalité, Malika est originaire d'un douar au nom imprononçable dans la banlieue de Casablanca. Après avoir connu très tôt les cafés chics de la ville et les hôtels cinq étoiles, une de ses fréquentations lui susurra dans l'oreille qu'avec vingt mille francs français, sans passeport, sans visa, elle pourrait se retrouver à Paris où les affaires sont plus florissantes. Pour la convaincre, on lui cita des exemples de réussite», telle patronne d'une célèbre pâtisserie, d'un enviable salon de coiffure, d'un réputé lotissement trop bien placé pour être invisible.

La fausse blonde

Malika voyagea à côté du chauffeur qui la couvait de ses yeux gourmands, lui lançant de temps en temps, à voix basse, desplaisanteries salaces, histoire de détendre l'atmosphère. C'est ainsi que sur fond de musique populaire marocaine (un mélange de sheikhate dechâabi et de Raï), le trajet se passa sans incident. Comme par enchantement , aucun garde frontière, aucun douanier, ni Marocain, ni Espagnol, ni Français, ne songea à demander ses papiers à cette fausseblonde au regard ténébreux.

Malika commença l'exercice de son métier parisien dans les night-club orientaux de la capitale. Les affaires marchaient si bien qu'il était rare qu'elle soit obligée de passer la nuit dans la minuscule chambre de bonne que son amie louait dans le 16ème arrondissement. Son premier contact avec les autorités françaises dût arriver quelques mois plus tard. Alors qu'elle opérait dans un petit hôtel de la périphérie d'une célèbre chaîne hôtelière (Campagnile), une descente de police impromptue: vérification d'identité, papiers déclarés perdus... À la grande surprise de Malika, la police se contenta d'établir une fiche de renseignements sur la foi d'informations qu'elle-même a données, une prise d'empreintes et elle est relâchée. Entre-temps, Malika a ouvert un compte dans une banque marocaine qu'elle alimente presque quotidiennement.

Aïcha peut faire l'économie des tracasseries de la clandestinité. Elle est arrivée en France par un circuit classique d'étudiant pour effectuer un troisième cycle dans une obscure discipline. Cheveux noirs très longs, la taille amincie par des années de privations volontaires, le regard pétillant, si elle remplaçait Souad Hamidou dans les séries policières françaises, on n'y verrait que du feu. Après des études suspendues et éternellement recommencées, elle épouse un vieux françaisà la retraite dont elle divorce le temps d'accéder à la nationalitéfrançaise. Aïcha fréquente exclusivement le milieu arabe de Paris et plus particulièrement oriental. Elle parle le libanais, le saoudien et l'égyptien avec une aisance déconcertante, comme une vraie polyglotte. Les proies de prédilection sont particulièrement les gens du Golfe sur lesquels elle sent exercer un magnétisme certain. Elle travaille pour un proxénète tunisien pour qui, semble-t-il, du temps où elle fréquentait le campus universitaire, le coup de foudre était immédiat. Lui, se charge de trouver les clients, de fixer les prix qui peuvent varier selon l'immédiateté des besoins et du standing approché et elle du reste. La commission de son proxénète peut atteindre 50%. Aïcha ne fréquente pas les endroits chauds de la capitale, ne sort pas, ne sefait pas draguer sur les lieux publics. Elle attend patiemment que le téléphone sonne, que tout soit organisé, pour entrer en scène. Une vraie professionnelle. Récemment, elle a fait venir son jeune frère et lui paie des études coûteuses dans un établissement technique privé.

Aïcha voyage souvent au Caire, à Ryad, à Londres ou à Amsterdam. Teldiplomate arabe, tel prince du pétrole, tel financier oriental,organise une soirée. Le proxénète tunisien se charge de l'inscrire aumenu des réjouissances. Loin de ces cimes, Leïla, figure de piètreouvrière. Ramenée en France par un mari marocain qui travaille à laSNCF (les chemins de fer français) à l'âge de 17 ans dans le cadre deregroupement familial, elle a eu un enfant dès sa première année de mariage. Son mari alcoolique la battait, l'enfermait toute la journée àla maison de peur d'être trompé. Un jour, les services sociaux s'ensont mêlés. Elle a obtenu le divorce et la jouissance du domicileconjugal. Le mari, fou de rage et de jalousie sombre dans l'alcoolismemeurtrier et finit par péter les plombs. Il est actuellement enfermédans une prison psychiatrique» avec interdiction formelle d'approcher Leïla et son môme.

Leïla, qui baragouine à peine le français, est de ces beautés paysannes du Maroc avec juste ce qu'il faut de vulgarité pour pimenter un rapportet réveiller les fantasmes et juste ce qu'il faut de docilité pourexciter une envie dominatrice. Leïla ne travaille pas pour un mac maispour une marquerelle marocaine d'une cinquantaine d'année qui a ses quartiers à la porte-de clichy au nord de Paris. C'est cette femme qui, un jour, l'a rencontrée dans un hammam et qui l'a initié à ce métier rentable en la sortant des interminables heures de ménage qu'ellefaisait en noir.

Leïla est devenue une nature prédatrice, le genre de femme qui al'illade fatale. On la voit souvent attablée à longueur de journée dansles cafés chics des champs-Elysées, fréquentées par une clientèle de touristes soucieuse de lever la lièvre rapidement. De son village du Moyen-Atlas, Leïla a gardé la démarche faussement fière, maisterriblement sensuelle. Certes, elle a appris à s'habiller et à semaquiller mais a conservé malgré elle cette maladresse à vouloirabsolument mouler un corps, habitué aux largesses du Kaftan, dans untailleur Chanel. Et si c'étaient ces contrastes involontaires qui larendaient dangereusement efficace?

La prostitution marocaine est devenue ces derniers temps une rubrique obligatoire du charme parisien. Que seraient les champs Élysées sansces dizaines de filles basanées agglutinées autour des tables du Madrigal» ou du Deauville» à coquette comme despoules et à jeter des regards incendiaires aux alentours? Que seraient les grands hôtels de Paris sans que, dans la lumière tamisée des Bars, le regard lourd d'une brune à la poitrine généreuse, ne vienne clouer au sol un quinquagénaire aux cheveux grisonnants et à la respiration difficile?

Proxénitisme

Il est impossible de chiffrer le nombre de filles marocaines qui travaillent dans ce milieu ni de dire par quel miracle elles passent les frontières. Il est clair que beaucoup d'entre elles appartiennent à des réseaux structurés et protégés, susceptibles de leur offrir uneparfaite mobilité et de leur garantir une sécurité. Il n'est pas rareque lors d'une réception mondaine, un banquier ne se penche, sur votre épaule pour vous murmurer à l'oreille en gémissant heureusement qu'il y a les prostituées pour renflouer les «caisses», en vous faisant jurer de ne le répéter à personne. Ce milieu brasse énormément d'argent et les rabatteurs marocains qui s'y activent et dont on tait les noms par pudeur ont des fortunes diverses. On les trouve papillonnant dans les milieux de la banque, de la diplomatie ou des relations publiques.

Le milieu de la prostitution partage avec celui du trafic de drogue oude l'activisme islamiste les mêmes règles de fonctionnement. Une arméede travailleuses laborieuses au service d'une ou d'un caïd. Souvent ces mondes s'entrechoquent au point où souvent l'un instrumentalise les fruits de l'autre. En évoquant le sujet-tabou du Sida, n'importe quelle prostituée marocaine peut vous jurer devant les Dieux de l'Olympe quela préservation est de rigueur.

Sans doute est-ce vrai pour beaucoup, mais devant la terrible concurrence, avec l'arrivée sur le marché de nouvelles recrues souvent mal informées tant elles commenceront à exercer ce métier de plus en plus jeunes, il est permis de s'interroger et même de s'inquiéter. Comme le 13ème arrondissement de Paris ne peut être imaginé sans sa population asiatique, Paris entière ne peut être imaginée sans ses prostituées marocaines. Comme si, dans la géographie des activités marginales et illicites, tandis que certaines communautés monopolisent le trafic des drogues dures, d'autres, le gangstérisme et le racket, les Marocaines se sont accaparées celui de la prostitution. L'explication simpliste voudrait dicter le justificatif de la crise économique que traverse le Maroc. Il y est certes pour quelques chose mais n'explique pas à lui seul la totale domination des Marocaines de ce marché. Y a-t-il autre chose?

Par Mustapha TOSSA


Source : http://www.toxicoquebec.com
 
...

Trajectoires prostitutionnelles et immigration maghrébine: Une enquête pour améliorer les pratiques de prévention et d’accompagnement
Proposé par TQa, dimanche 20 novembre 2005 à 10:17 :: SOCIÉTÉ :: #881 :: rss

On associe volontiers prostitution et immigration, soit que l’on juge que certaines cultures offrent un terrain plus favorable que d’autres à la prostitution, soit que l’on considère que la population immigrée est davantage fragilisée économiquement, donc davantage susceptible de s’engager dans la prostitution. L’enquête -réalisée en 2000- et présentée ici démontre que s’il y a un lien à faire, il n’est ni strictement culturel ni strictement économique mais qu’il repose sur le décalage entre le modèle maghrébin de socialisation communautaire et le modèle occidental individualiste.

Le premier objet de cette enquête, menée par Saïd Bouamama, sociologue, a été l’approche des personnes prostituées issues de l’immigration, de leurs trajectoires et de leurs besoins. Mieux connaître la réalité vécue par ces personnes.

L’hypothèse générale était la suivante : la situation vécue par les personnes prostituées issues de l’immigration joue comme un miroir grossissant de la réalité vécue par l’ensemble des personnes ayant recours à la prostitution, toutes origines confondues. La catégorie fait fonction de révélateur d’une réalité plus ample.

Saïd Bouamama a tiré une seconde hypothèse : les perturbations des identités sociales de base d’un certain nombre de catégories sociales touchées par la crise destabilisent le processus de construction identitaire et peuvent être ainsi à l’origine d’une trajectoire prostitutionnelle.

Pour l’auteur, les éléments mis en évidence par cette enquête, soulignent à la fois des processus connus par l’ensemble des personnes prostituées et des facteurs plus spécifiques. Ces derniers, estime le chercheur, ne sont pas en référence à une culture mais à la dimension communautaire.

Troisième hypothèse, les trajectoires prostitutionnelles révèlent les souffrances correspondant à un sentiment de honte du fait d’un décalage entre un "vouloir être" et un "savoir être" suscitant des passages à l’acte illégitimes pour le groupe familial.

Afin d’éviter les dérives idéologiques, Saïd Bouamama a choisi de concentrer son étude sur l’aspect qualitatif du phénomène et non sur son aspect quantitatif : il ne s’agit pas de déterminer si le recours de personnes immigrées à la prostitution est quantitativement important, mais, simplement de remarquer que ce recours existe et qu’il est révélateur de difficultés sociales et personnelles qui dépassent le fait prostitutionnel en tant que tel.

Cette vision de la prostitution considère que l’on ne peut lutter contre la prostitution qu’en agissant sur ses causes sociales et économiques. En effet, la prostitution n’est pas un phénomène inhérent à la nature humaine, mais une réalité produite par un contexte historique et social. C’est en ce sens qu’elle est un révélateur de l’état d’une société donnée, le sommet émergé d’un iceberg.

Un révélateur des difficultés sociales des jeunes immigrées maghrébines

Elle est encore plus révélatrice lorsqu’elle touche les personnes issues de l’immigration, car ces dernières sont dans l’ensemble plus lourdement touchées par la crise économique et les processus de paupérisation. Toutefois, Saïd Bouamama n’entend pas rechercher les causes les plus profondes de la prostitution, mais comprendre pourquoi tel ou tel individu, ou telle ou telle catégorie d’individus a recourt à elle.

Dans ces cas particuliers, il apparaît alors que le recours à la prostitution n’est pas strictement déterminé par des facteurs économiques, mais qu’y concourent des circonstances non financières. La prostitution peut avoir aussi pour origine des déficits dans la construction de l’identité sociale de la personne, et donc traduire les difficultés de certaines catégories sociales à accéder à une reconnaissance sociale en continuité avec leurs formes traditionnelles.

Pour en revenir à l’immigration, il faut souligner que les milieux de l’immigration maghrébine, comme d’ailleurs dans une moindre mesure, les milieux occidentaux les plus populaires, participent à une construction de l’identité sociale où la communauté, notamment familiale, joue un rôle prépondérant, au contraire du modèle occidental moderne, largement individualiste.

Cependant, comme les jeunes issus de l’immigration aspirent au modèle individualiste tout en ayant été socialisés dans un modèle communautaire, la distorsion entre leur aspiration individualiste et leur socialisation communautaire les conduit peut-être plus facilement que d’autres à des actes transgressifs de rupture avec leur milieu d’origine, actes qui se vivent dans la honte de la "trahison".

Le poids des modèles de socialisation

La prostitution est sans doute l’un de ces actes qui révèlent le plus la souffrance du décalage entre un "vouloir être" individualiste et un "savoir être" communautaire. Par conséquent, le recours à la prostitution n’est pas un acte uniquement déterminé par la seule libre volonté de la personne concernée. C’est un acte qui résulte de la convergence et de l’interaction de plusieurs facteurs dont, au premier chef, les modes de socialisation et les représentations de chacun. La compréhension de la trajectoire qui conduit un individu à la prostitution requiert donc la prise en compte de l’ensemble de son histoire personnelle et sociale.

Ainsi, l’enquête menée par Saïd Bouamama l’a conduit à interroger les personnes aujourd’hui ou autrefois engagées dans la prostitution sur la manière dont elles comprenaient leur enfance, leur adolescence, leur identité, leur rapport au père et à la mère, leur passage à la prostitution, et le sentiment qu’elles en avaient. Lorsque les personnes issues de l’immigration et engagées dans la prostitution, relisent leur enfance à partir de leur situation actuelle, elles donnent, selon les cas, deux types de discours : l’un heureux, l’autre malheureux. Le discours heureux idéalise l’enfance, sorte de paradis d’insouciance et de bonheur avant le choc et la souffrance de la rupture et de la crise. Le discours malheureux, au contraire, décrit l’enfance comme une période très douloureuse, marquée par la violence et la séparation d’avec un parent. La rupture ici ne prend pas place à la fin de l’enfance, comme dans le premier cas, mais est partie intégrante et souffrante de l’enfance elle-même. Elle est comprise comme le premier pas du chemin qui a conduit à la prostitution.

Avec des nuances différentes, le modèle parental et familial de l’enfance est positivement valorisé. Bien sûr, ceux qui disent avoir vécu une enfance plutôt heureuse ont partagé et intégré ce modèle. Il en va de même pour ceux qui ont vécu une enfance marquée par la rupture d’avec un parent maghrébin. Les valeurs que représente l’identité maghrébine de celui-là sont volontiers revendiquées, et l’attente vis-à-vis de ce qui est supposé être la culture maghrébine des parents est explicite.

Aussi, même dans le cas où la rupture d’avec le milieu d’origine est attribuée au modèle que véhiculait ce milieu, il n’en reste pas moins que la solitude consécutive à la rupture est mal vécue et que le modèle communautaire de la famille représente un idéal fortement ancré qui n’est pas remis en cause en tant que tel. Par-delà la rupture, c’est à une véritable quête des origines ethnico-culturelles que l’on assiste. Mais elle est d’autant plus difficile qu’elle est solitaire, parce que précisément, ces personnes ont, de facto, rompu avec leur communauté originelle.

La plupart du temps, la rupture prend place pendant l’adolescence. En effet, l’adolescence des enfants est fréquemment, pour les parents immigrés, l’occasion d’évaluer leur immigration et d’envisager un retour ou un renforcement des valeurs identitaires, ce qui peut être vécu par les adolescents comme un autoritarisme illégitime.


...suite

http://www.toxicoquebec.com/actus/i...res-prostitutionnelles-immigration-maghrebine

Source : Prostitution et Société
Aussi sur: www.prostitutions.info
 
niny607om.gif



Source : www.assabah.ma
 
Succès des cybercafés au Maroc

Au Maroc, comme en Algérie, les cybercafés attirent de plus en plus de jeunes à la recherche de flirts ou de relations plus sérieuses via l’Internet.
samedi 28 janvier 2006.

La plupart des filles qui chatent au cybercafé cherchent un mari à l’étranger, un passeport pour quitter le Maroc, assure Mounim.
"Chaque jour, sur une cinquantaine de clients, les trois-quarts viennent pour chater", assure Mounim, un responsable d’un cybercafé dans le centre de Rabat, la capitale du Maroc. La plupart d’entre eux sont des jeunes filles, souvent d’un milieu modeste, qui se lancent à la recherche d’un "ami et plus si affinité".

Des planches en contreplaqué séparent les ordinateurs. "C’est pour laisser une plus grande intimité à nos clients", explique Mounim, 21 ans. En face d’une web cam, un casque sur les oreilles, Leïla, jolie secrétaire de 22 ans en jean, cause presque tous les jours avec deux Français, de Lille et Toulouse. "On se parle de notre quotidien, de choses banales mais aussi sérieuses", dit-elle rougissante.

Leïla, comme deux-tiers des Marocaines de moins de 30 ans, selon un sondage publié fin janvier dans le quotidien l’Economiste, juge "compliqué" d’entretenir une relation amoureuse surtout à cause de la pression familiale. "Sur internet, au moins, je ne suis pas surveillée par mes frères", dit-elle. Elle assure chercher avant tout des amis sur le net, mais si l’un d’eux veut plus, pourquoi pas ? "Evidemment, ça me plairait beaucoup de me marier avec un Français", reconnaît-elle.

Témoin privilégié de la vie du cybercafé, Mounim avoue entendre souvent des mots doux que les uns et les autres susurrent comme les "je t’aime", "I miss you". Il met en avant l’anonymat de ces conversations qui simplifient beaucoup les choses au Maroc où la pression sociale semble peser sur les jeunes. La famille et le voisinage sont les principaux obstacles qui bloquent les jeunes dans les relations amoureuses. En outre, 90% des garçons et des filles de moins de 30 ans habitent sous le toit parental.

Synthèse de Kahina

Source : http://www.algerie-dz.com
D’après AFP
 
Back
Top