Moudawana 1 an aprés!!

Souss

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Y a t'il eu du changement depuis cette nouvelle Moudawana!

Est ce que les pouvoirs public inspectent nos campagne?

Et une derniere chose, La polygamie touche un bon nombre de famille dans le souss, est ce un pratique encrée dans notre culture ?
 
lz seul chengement que on vu c que ya plus de dévorce apar ça on a rien vu jusque oujourd'huit .On est dans une chute trés grave aka igue rbi sslamte
 
de tout fation je crois que la plus part des femmes sur tout les femmes ills sont mal compré la Moudawana .
 
agllid a écrit :
lz seul chengement que on vu c que ya plus de dévorce apar ça on a rien vu jusque oujourd'huit .On est dans une chute trés grave aka igue rbi sslamte

Tu racontes n'importe quoi,c'est totalement faux,depuis la mise en place de la nouveklle moudawana,les divorces sont plus difficile et ont par consequent chuté de plus de 10% en un an (avant il sufisait au mari de repudier sa femme et hop et tout est fini,maintenant on est reflechii à deux fois meme quand une petite jeunette a excité vos hormones).Il faut arreter de faire de l'intox monsieur le neo-conservateur
 
moi je raconte ce que j vu est ce que j entendu et ce que je vois sur les journaux é télé c vrai que les homme ils domandent moine le dévorce que avent mais la le problémes c que les femmes que domande pour avoir la moitié de la tune de sont marie . ta ka lire le journalle assabah de le 25/02/05 et libiration de 24/02
 
Attend mais heureusement que les femmes demandent des indémnités car généralement elles se retrouvent seules à éléver leurs enfants et qu'en plus de ça il leur est difficile de se remarier et les emplois pour les femmes au Maroc ne courrent pas les rues. C'est Kool la vie si l'on divorce et que l'on assume pas derrière. Le mariage se prépare à 2 et c'est normal que le divorce se prépare aussi à 2.

Vive la Moudawana!!!!
 
tjhalte adah ihfad rbi yak labasse ati issaka inssawalle our nmaghe aka igue rbi sslamte maratsskarmte ighte toumzmte
 
Htainki isaka saoular.

J'ai vu dans quelles situations sont les femmes qui ont été repudiées mais pas seulement elles mais aussi leurs enfants. Je dis ça car je suis heureuse que cette Moudawana existe maintenant c'est au juge de l'appliquer et de prendre en compte l'opinion de la femme mais aussi celle de l'homme. Un peu ce que nous avons en France. Maintenant lorsqu'une personne souhaitera se marier il pèsera "10 fois" le pour et le contre
 
la moudawana rencontre encore pas mal de'entraves. les juges qui sont censés appliquer les nouvelles lois sont même pas encore convaincus du fait que la majorité d'entre eux sont hostiles à cette moudawana car elle se heurte à des fondements de la mentalité machiste et dominante des hommes.alors comment peut on attendre que justice soit faite tant que le juge est à la fois juge et partie?
 
Je pense que nous avons regardé le même reportage sur France 2. Ce que tu viens de dire va permettre de rassurer notre confrère agllid qui pensent que les femmes en abusent dès maintenant.
 
toi et ton agellid vous êtes les ennemis jurés de la femme marocaine et des opposant farouches à réhabiliter ses droits , et je ne sais pas au nom de quoi. surement pas au noms de l'islam que vous chercher à intrumentaliser à tous prix.
saches que dans la societe berbere pre invasion des bédouins arabes, on a largement honnoré la femme nous imazighen. je te renvois à des simples exemples tels que la reine tihyya que les envahisseurs arabes ont surnomé al dahiyya ou encore kahina qui signifie la sorcière ou encore la déesé tanit, deése de fertilité. mais vous êtes malheureusement influencés par les traditions des tribus arabes de al jahiliya , characterisée par l'enterrement des filles vivantes et l'esclavage voire la chosification de cette dernière en tant que bien qui se transmet avec l'heritage, et qui ont débarquer sur tamazgha-la frique du nord- et y ont instauré leurs lois archaîques.

[ Edité par assif76 le 1/3/2005 18:53 ]

[ Edité par assif76 le 1/3/2005 18:54 ]

[ Edité par assif76 le 1/3/2005 18:57 ]
 
La Moudawana, un an après : un vœu pieux ?


Les tribunaux croulent sous la masse de travail. Les juges sont encore peu au fait du nouveau Code et de ses articles. Et les femmes toujours lésées. Comme avant ou presque.
Tribunal de la famille, quartier des Habous. A l'entrée de l'édifice, une barrière est érigée pour filtrer les visiteurs. A l'intérieur, c'est le grand brouhaha. La salle N° 1 abrite tous genres d'affaires : divorce, reconnaissance de mariage, pension alimentaire… La salle d'attente réservée aux couples mal dans leur mariage est tellement bondée qu'elle ne prête aucunement à la réconciliation. Les salles d'audiences sont combles. Les juges doivent traiter pas moins de 80 dossiers dans un laps de temps de trois heures. Dans les couloirs du tribunal, c'est l'anarchie. Les dossiers sont accumulés sur les bureaux des greffiers qui sont eux-mêmes assaillis par une nuée d'avocats et de citoyens. Les chaises manquent, les toilettes n'existent pas. Ces hommes et ces femmes qui ont la responsabilité d'appliquer le nouveau code de la famille n'en ont pas les moyens.



De chiffres qui vacillent…
Pourtant, quand la nouvelle Moudawana a vu le jour, tout le monde a crié victoire. Même les associations féminines, réputées être « difficiles », ont qualifié la réforme de « révolution pour la femme marocaine »… Un an plus tard, au début du mois de février, le ministre de la Justice « exhibe » ses chiffres, montrant que le Code de la famille a été un franc succès. Jugez-en vous-mêmes : Selon M. Bouzoubaâ, la polygamie aurait enregistré un recul de 10% : Il n'y aurait eu que 186 nouveaux cas en 2004. Mieux encore, le taux des divorces aurait reculé de 27% à 72% selon les régions. Enfin, preuve que les droits des femmes et des enfants sont de plus en plus respectés dans notre pays, le ministère de la Justice déclare que les dossiers liés à la « nafaka » (pension alimentaire) ont connu un bond de 40,85%. Il conclura triomphant : « les craintes exprimées lors de l'entrée en vigueur du Code étaient injustifiées ».
Excellent. Sauf que les autres intervenants du secteur ne partagent pas l'optimisme du ministère de la Justice... Ni les avocats, pas même les adouls (notaires) et encore moins les organisations féminines. « J'ai pris connaissance des chiffres. Je ne partage pas l'analyse. Comment peut-on faire des comparaisons alors que le ministère ne dispose pas de données statistiques ? », s'interroge Fouzia Asouli, présidente de la LLDF (Ligue démocratique des droits des femmes). Il y a pire : « Pour les cas de polygamie, nous avons recensé un chiffre proche de celui déclaré par le ministère, et ce juste entre les deux villes de Rabat et Marrakech. Cela veut dire qu'à l'échelle nationale, ce chiffre est largement dépassé », explique la militante des droits des femmes. La LLDF a réalisé des enquêtes dans dix régions du Royaume et collecté des données statistiques sur le mariage et le divorce au Maroc. Les chiffres de l'association contrastent avec celles de M. Bouzoubaâ. « Nous avons réalisé ce travail dans des conditions très difficiles. Dans les tribunaux, on se montre rarement coopératif. Nous avons même l'impression que dans certains cas, les chiffres sur les registres ne sont pas vrais. À Casablanca, nous n'avons eu accès qu'aux chiffres du troisième trimestre 2004 », fustige Mme Asouli.



« Expertise médicale, tu parles… ! »
Ceci pour les chiffres, quant à la réalité, celle dont les tribunaux sont le théâtre, les responsables des associations féminines nous la racontent en détails. « Un des grands acquis de la nouvelle Moudawana est la possibilité de reconnaître un enfant né hors mariage. Mais dans le cadre de notre travail, nous avons vu des hommes de bonne volonté abandonner au bout de quelques semaines à cause de la difficulté de la démarche et de sa lenteur », s'indigne Nabila Tbeur, présidente de Insaf. Et d'ajouter : « Même le divorce n'est pas encore un acquis de la femme. Il est encore entre les mains du juge et dépend largement de ses humeurs et de ses convictions. On se retrouve avec des délais de traitement des dossiers de divorce comparables à ceux d'avant la nouvelle Moudawana ». Autre contradiction avec le Code de la famille, le mariage des filles de moins de 18 ans. « Les familles font appel à l'expertise médicale. Et ça marche presque à tous les coups », raconte Mme Tbeur. Pour Fouzia Asouli, la situation est bien plus dramatique. « Le mariage des mineurs est la règle alors qu'elle devrait être une exception. Dans notre enquête, nous avons constaté que la majorité des demandes est exaucée. Quant à la fameuse expertise, elle n'existe tout simplement pas. La consultation est faite par un généraliste alors qu'elle devrait être réalisée par des spécialistes en physiologie et en psychologie », s'indigne-t-elle.
Le dossier de la polygamie n'est pas encore clos. Dans le nouveau Code de la famille, trois conditions doivent être remplies pour permettre un mariage polygame : le demandeur doit avoir des arguments exceptionnels et objectifs, l'accord de son épouse et les moyens financiers.
Pourtant, « les juges se penchent surtout sur la situation matérielle du demandeur. L'interdiction reste encore exceptionnelle. Selon nos chiffres, les refus représentent 25 % du nombre des demandes », explique Fouzia Asouli. Quant au tutorat, la présidente de la LDDF affirme qu'il n'a pas été entièrement aboli. « Des juges et des adouls refusent de procéder à des mariages en l'absence de tuteur », confirme-t-elle.



Des pensions de 500 DH
Le problème de la pension alimentaire est loin d'être réglé. Maître Souad Sidki, consultante juridique à l'association marrakchie Annakhil, est catégorique : « Dans bien des cas, la justice ne garantit pas les conditions décentes de vie pour la femme divorcée et ses enfants. Une femme et quatre enfants ne peuvent pas vivre avec une pension de 500 Dh. C'est une invitation à la mendicité et à la prostitution ».
En effet, la Moudawana nouvelle version prévoit l'envoi d'une assistante sociale pour rendre compte des conditions de vie des enfants. « Ce qui n'est est jamais fait », souligne l'avocate. Le montant des pensions est laissé au seul pouvoir du juge. Le montant des pensions à verser est en général insignifiant puisque l'évaluation claire des revenus du conjoint n'est pas chose facile. Le nouveau Code de la famille prévoit qu'en cas de divorce, les biens « acquis durant la période du mariage soient partagés entre les conjoints ». Encore une clause qui n'est pas du tout appliquée.
Et quand l'époux refuse de payer la pension, il est emprisonné. « La punition physique du mari ne résout pas le problème de la femme divorcée et de ses enfants. Elle ne fait que créer plus d'hostilité », explique Mme Tbeur. La solution ? « On attend toujours la création du Fonds d'entraide familiale. C'est le seul moyen pour permettre à des femmes divorcées et à leurs enfants d'avoir une vie décente. Ce n'est pas un luxe. À Marrakech comme dans le reste du pays, les femmes divorcées, sans ressource aucune, alimentent les contingents de prostituées et de mendiants. Le Fonds est vital pour l'avenir de ce pays », s'insurge maître Sidki.



Lever les ambiguïtés…
Au ministère, près de 130 dossiers ont été déposés par les juges de plusieurs juridictions. Ils concernent des situations sur lesquelles ils ont eu du mal à statuer. De l'avis des ONG comme des avocats, la première cause est l'insuffisance de la formation des juges. L'autre cause est la résistance des magistrats au changement. « On assiste régulièrement dans les tribunaux à des jugements contradictoires avec l'esprit et le texte du Code », explique maître Abderahim Zitoun, du barreau de Casablanca. « Les nouvelles dispositions ne sont pas claires. Ce qui ouvre grande la porte aux interprétations des uns et des autres. La loi n'est pas précise sur de nombreux points. Il ne faut pas oublier toutefois que jusqu'en janvier 2004, une femme pouvait se faire répudier automatiquement par son mari. Si elle voulait prouver qu'il la bat, il lui fallait trouver 12 témoins sinon sa demande de divorce était refusée. Ce n'est plus le cas aujourd'hui heureusement », précise ce militant des droits des femmes.
Au-delà des chiffres et des réalités, tout le monde s'accorde qu'avec le nouveau code de la famille, la situation des femmes s'est améliorée. Un an après, il est trop tôt pour juger. Mais il est temps de modifier ce qui pose problème sur le terrain. « Il faut être clair dans les textes. Si, le Maroc veut devenir un pays sans polygamie et sans mariages de mineurs, il faut trancher dans le texte de loi. Tant que le Code de la famille comporte des brèches, on aura toujours des abus. Il faut également doter les tribunaux, des moyens pour permettre aux juges et aux fonctionnaires de faire leur travail dans de bonnes conditions », explique sans équivoque cet avocat de Casablanca. Le ministère est ainsi interpellé. Cela y va d'un Code de la famille qui a plus qu'une simple portée politique.
 
Hé mais je crois que tu ne m'as pas compris lit ce que j'ai répondu à Aglid. Je suis pour la moudawana bien au contraire!!!!! C'est Aglid qui en à peur c'est pour cela que j'ai dit que le faite que la moudawana n'est pas totalement mis en place ça va le réconforter (humour)!!!
 
mouai deja ke les jeunes se mariaent plus beaucoup ben la c'est sur que le mariage va encore reculer....
d ailleurs a quand la suite logique:la reconnaissance du concubinage?
 
là je pense qu'il ne faut pas pousser le bouchon trop loin. Malheureusement les mentalités n'évoluent pas aussi vite que l'on parle. laisse d'abord le temps à la gente masculine d'avaler la pillule concernant la moudawana après on verra la suite. Mais là je pense que le concubinage ne fera pas sa place: "nous sommes avant toute chose musulman".
 
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