les chevaux Amazighs (Barbe)

Anchou

Member
Juste une lecture du soir pour les noctambules!Ce texte est inspiré d'un document sur internet.

En Numidie, les chevaux amazighs étaient particulièrement réputés. Comme le relate Strabon en 58 avant JC, les cavaliers Numides étaient particulièrement remarquables. Ils montaient à cru de petits chevaux rustiques et particulièrement fougueux, qu'ils dirigeaient en parfaite harmonie, sans mors dans la bouche, avec seulement une corde autour de l'encolure, ce qui leur valait de la part des romains le qualificatif d'infrenatus, ce qui signifiait sans frein (sans mors).

Les pratiques amazighs diffèrent considérablement de ce que nous ont appris d'autres découvertes archéologiques qui font état en Nubie (entre la Haute Egypte et le Soudan) d'une civilisation vivant dans les premiers siècles de l'ère chrétienne.

La civilisation Nubienne et les tombeaux de Qostol ont ainsi révélé des chevaux et des esclaves sacrifiés à la mort de leur maître et enterrés avec lui. De nombreux harnachements ont été exhumés et font état d'une culture différente, de type égyptienne. Contrairement à l'équipement plus que dépouillé des cavaliers amazighs, les chevaux Nubiens étaient richement harnachés et parés de matières et d'étoffes précieuses et étaient dirigés au moyen d'un mors extrêmement brutal, une sorte de tenaille qui enserrait la mâchoire inférieure du cheval. Cette civilisation rattachée à l'Egypte (leur sculpture en témoigne), est de toute manière d'une origine tout à fait différente des peuples amazighs.


Les premiers témoignages sur les chevaux Barbes nous proviennent des Romains, qui ont eu le mérite de consigner leurs observations et de codifier l'organisation de la société. Les romains ont envahi Tamazgha (l'Afrique du Nord) et ont achevé la conquête de l'Egypte dans le siècle avant J.C. Ils ont ensuite progressé en Afrique Septentrionale qui a été divisée en cinq provinces (l'Egypte restant en dehors, car rattachée d'un point de vue ethnique et culturel à l'Orient).

Ces provinces étaient placées sous l'autorité de proconsuls, de légats ou de procurateurs. Les romains désignaient les peuples présents sur ces territoires sous les noms de Numides, Lybiens, Maures, Gétules etc.

Les Romains avaient jusque là surtout utilisé des chevaux de grande taille et puissants, puisqu'ils ont importé de Gaule des Traits Ardennais pour assumer le transport de lourdes charges.

Mais les Romains apprécièrent à leur valeur les remarquables qualités des chevaux Barbes: les généraux romains Elien, Faliscus, Gratius et Héroditien en ont fait état dans leurs écrits lors de leurs campagnes en Afrique du Nord.

La qualité des chevaux Barbes n'aurait pu leur échapper. En effet, la cavalerie militaire romaine était insuffisante et médiocre, ce qui leur a valu bien des défaites, notamment celle de Cannes où les troupes romaines furent battues par Hannibal et sa cavalerie Numide. Les empereurs romains décidèrent de faire appel aux cavaliers Numides pour renforcer leurs armées lors de nombreuses autres campagnes. C’est ainsi qu’on relate qu’ils gagnèrent la bataille de Zama.

En plus du recrutement des Numides, les Romains organisèrent l'élevage des chevaux amazighs en Tunisie pour se fournir en montures de qualités pour leurs dignitaires et pour les missions militaires.

Le sens de l'organisation et de la conquête des Romains ne pouvait qu'être servi par de tels coursiers de guerre, capables de prouesses dans les combats, et qui permettaient, grâce à leur endurance et leur rapidité, de transporter les informations des postes de commandement jusqu'aux lieux de combat ou aux postes de reconnaissance.

Des mosaïques romaines retrouvées en Tunisie près de Sousse (Hadrumète), témoignent des Haras que les Romains consacrèrent aux chevaux amazighs

Il est capital de comprendre qu'il ne pouvait s'agir de chevaux Arabes, puisque l'invasion musulmane et l'apport des chevaux d'Orient ne s'est faite que bien après dans l'histoire.

D'autres mosaïques de l'époque romaine témoignent de ces chevaux, souvent de petite taille.

Les personnages romains disposant d’un statut social élevé se faisaient majoritairement représenter avec leur cheval, notamment sur leur vaillante monture de combat. La statue du Consul Marcus Monius Balbus (vers 40 avant JC) le représente montant un cheval réputé Barbe.

Les territoires d'Afrique du Nord ont ensuite subi les invasions musulmanes au VIème siècle. Le terme "Maghreb" qui a été retenu par l'histoire est un terme donné par les Arabes d'Orient et signifie "pays du soleil couchant" pour désigner cette colonie d'Afrique du Nord située à l'ouest de l'Egypte.

En colonisant Tamazgha avec leurs chevaux Arabes, les combattants de l’Islam purent apprécier ce cheval autochtone qui était un adversaire sérieux à leurs
propres montures.

Grâce à leurs chevaux, les Imazighen ont d'ailleurs longtemps résisté aux Arabes, car ils étaient les seuls à pouvoir tenir tête aux attaques guerrières des Musulmans.

L'histoire a retenu que les Imazighen ont même organisé leur résistance en créant une alliance entre tribus sous la direction de la reine Berbère Kahina, qui trouva la mort lors d'un combat contre les musulmans en 704/705 après J-C. La résistance guerrière des Imazighen n'eut toutefois pas raison des Arabes qui de plus en plus nombreux au fil des générations, réussir à imposer leur culture, leur religion et leur langue.

Mais les Imazighen avaient été les plus rudes ennemis que les Arabes aient eu à combattre. Leur indépendance, leur bravoure et leurs habitudes guerrières les rendaient encore redoutables pour l'autorité Arabe, qui n'était pas sûre de pouvoir les contenir de manière durable.

Plutôt que de lutter contre eux, les Arabes en firent des alliés en leur offrant des responsabilités militaires. En très large majorité, ce sont les Berbères et leurs chevaux qui furent chargés des conquêtes de l'Islam.

De fait, c'est une grande partie du cheptel Berbère qui fut déplacé tandis que ceux qui restèrent au Maghreb furent croisés avec les chevaux Arabes, ce qui permettait aux Arabes de conserver pour l'apparat leurs chevaux qu’ils considéraient comme plus nobles.

La conquête de la péninsule Ibérique et de la France :

L'Espagne avait subi environ 8 siècles de domination romaine, durant laquelle les Romains élevaient et utilisaient déjà des chevaux Barbes sur les territoires qu'ils occupaient. Après avoir été gouvernée par les Romains jusqu'au Vème siècle, la péninsule ibérique, avait connu les invasions des barbares du Nord, Vandales, Alains, Suèves.

Au VIème siècle l'Espagne était aux mains des Wisigoths qui en étaient maîtres lorsque les Arabes arrivèrent.

Les Wisigoths s'étaient adaptés à la culture latine qui s'était développée pendant l'occupation romaine au point de renoncer à leur culture initiale (langue et croyance) et de
s'être convertis au christianisme.

La première expédition Arabe en Espagne, suivant Ibn Khaldoun , eut lieu en l'an 711 de notre ère, et ne comptait que douze mille combattants, se composant presque exclusivement d'Imazighen et de leurs chevaux.

L'étymologie de Gibraltar viendrait d'ailleurs de Djebel Tarik, du nom du lieutenant Amazigh Tarik Ben Ziad, qui dirigeait la conquête sous les ordres du général Arabe Mouza.

La population autochtone de serfs passa de l'autorité des Wisigoths à celle des Arabes sans réelle résistance puisque finalement les Arabes ne leur imposaient pas de conditions plus dures : quelques provisions et un tribut d'argent raisonnable à payer.

Mais surtout, les Arabes faisait preuve d'une grande tolérance et laissaient au peuple local leurs biens et leurs églises, et même le droit d'être jugés selon leurs lois. Le code légal, d'origine wisigothe resta d'ailleurs en vigueur jusqu'au XIIIème siècle, malgré les huit siècles de domination musulmane. Les chefs Wisigoths furent donc repoussés au Nord dans les montagnes d'Asturies.

La conquête fut donc extrêmement rapide. En moins de deux années, il n'y avait plus de réelle opposition, alors qu'il avait fallu plus de cinquante ans aux Arabes pour soumettre Tamazigha.

Le général Arabe Mouza ne voulut pas laisser aux Imazighen la gloire d'une telle victoire et arriva ensuite avec une armée arabe de vingt mille hommes, mais qui comprenait également huit mille Amazighs.

Les Imazighen s'installèrent de manière durable, appréciant de trouver des terres plus accueillantes que celles de leurs origines. L'assimilation avec le peuple local fut d'autant plus aisée que les mariages entre musulmans et chrétiens étaient fréquents. La veuve chrétienne du roi Rodérik fut même épousée par le fils du général arabe Mouza.

Nombre d'esclaves, achetés par les Arabes, étaient affranchis s'ils présentaient quelques mérites, au point même que le mariage entre un esclave et la fille d'un Arabe était parfaitement reconnu et accepté dignement.

A leur culture raffinée, les arabes d'Espagne ajoutaient une grande tolérance et des moeurs très chevaleresques. Respecter les faibles, être généreux envers les vaincus, tenir religieusement sa parole finirent pas s'imposer comme une éthique puissante qui trouvait un écho dans les milieux chrétiens, ce qui explique qu'il n'y ait pas eu de véritable conflit de cultures.

Au début de la conquête, la péninsule ibérique était sous l'autorité du khalifat d'Orient, l'empire des khalifes de Damas.

Mais en 756 soit 45 ans après la conquête, elle se détacha de l'autorité d'Orient et forma un royaume indépendant, le khalifat de Cordoue, ville qui était sa capitale. Intérieur de la Mosquée de Cordoue.

A dix kilomètres de Cordoue, le Khalife Abd er-Rahman III édifia en 936 le palais de Medinat az-Zahre pour une de ses concubines et ce palais a l'architecture typiquement omeyyade abritait des trésors d'art oriental d'origines syrienne ou byzantine. L'Espagne Arabe faisait preuve d'un grand raffinement tant technique qu'artistique.

Le respect des populations conquises et la grande tolérance du khalifat de Cordoue permit même aux évêques chrétiens de tenir des conciles, dont celui de Séville en 782 et celui de Cordoue en 852, alors que la ville était pourtant la capitale du Khalifat !

De même, l'Espagne Arabe était un des rares lieus où les juifs étaient protégés.


Les Arabes originaires d'Orient constituaient l'aristocratie intellectuelle de l'invasion arabe, tandis que les Berbères, eux mêmes soumis, restèrent à des positions subalternes, se mélangeant progressivement aux couches moyennes et inférieures de la population ibérique d'origine autochtone et wisigothe.

Entre Berbères (originaires du Maghreb) et Arabes (en provenance de l'Orient), l'histoire européenne n'a toutefois pas retenu la différence, tous étant appelés sous le vocable "Arabes" (Maures et Sarrazins).

La présence majoritaire de peuples Berbères a notamment son importance pour expliquer la constitution du cheptel équin.

A l'instar de leur peuple, les chevaux Barbes étaient beaucoup plus nombreux et destinés à toutes les utilisations (conquêtes, attelages, travaux agricoles). Ainsi, le type Barbe qui était déjà présent, amené par les Romains, est -il devenu prééminent sur toute la péninsule ibérique, jusque dans les provinces reculées marquant même de son influence le poney descendant des Tarpans (Sorraïa) à qui il donna plus de taille et d'élégance.

Statue du roi Joseph 1er - Lisbonne

Les Arabes réussirent en quelques siècles à transformer l'Espagne et à la conduire au rang d'une des plus brillantes civilisations d'Europe. Les Berbères étaient doués pour
le commerce, et les Arabes étaient les maîtres de la Méditerranée, marquant la terminologie marine française d'un nombre impressionnant de mots directement tirés de l'arabe (par exemple "amiral" vient de "amir al-bahr" signifiant prince de la mer).

Leur influence dans le Sud-Ouest est largement établie, notamment par le port de Narbonne qui voyait se côtoyer et commercer de multiples ethnies, dont les Berbères et les Juifs.

Il faut tenir compte du fait que la région occitane ne faisait alors pas partie du royaume de France. Tout comme l'Espagne Arabe, l'Occitanie manifestait un art de vivre très moderne pour son époque, ouvert et cosmopolite.

Des Berbères s'installèrent durablement, comme l'indique l'origine étymologique de bien des noms tels que Castelsarrasin, Castelmaurou, Castelnau-Barbarens et autres lieux-dits Mauries qui marquent les endroits où ils s'étaient durablement établis.

D'autres Berbères, plus marqués par un caractère conquérant et guerrier étaient moins portés à commercer et à s'intégrer. Ils étaient alors employés aux conquêtes.

Si Narbonne fut conquise par les Arabes, par contre le siège de Toulouse en 721 fut un échec.


Les Arabes se redirigèrent soit vers le Sud en conquérant Carcassonne, Nîmes, puis remontèrent par la vallée du Rhône pour conquérir ensuite Lyon, Mâcon, Autun, le Dauphiné et la Bourgogne, soit vers le Nord Ouest en conquérant Bordeaux malgré la résistance des Aquitains et des Vascons.

Leur réussite tenait entièrement au fait d'une cavalerie mobile, rapide et très résistante qui
défiait et défaisait les guerriers Francs, pourtant bien armés mais montés sur des chevaux lourds qui n'arrivaient pas à progresser aussi vite qu'eux.

Un chroniqueur relate l'attitude de Charles Martel, maire du palais de Poitiers (qui représentait le pouvoir exécutif pour deux rois mérovingiens à faible autorité) : "Plusieurs seigneurs français (étaient) allés se plaindre à Charles de l'excès de maux occasionnés par les musulmans et (parlaient) de la honte qui devait rejaillir sur le pays si on laissait ainsi des hommes armés à la légère, et en général dénués de tout appareil militaire, braver des guerriers munis de cuirasses et armés de tout ce que la guerre peut offrir de plus terrible ".
Charles Martel ne pouvait pas plus lutter contre les Arabes et proposa une autre tactique. Il répondit aux seigneurs : "Laissez les faire, ils sont au moment de leur plus grande audace. (...) L'enthousiasme leur tient lieu de cuirasse, et le courage de place forte. Mais quand leurs mains seront pleines de butin, quand ils auront pris du goût pour les belles demeures et les aises de la vie, quand l'ambition se sera emparée des chefs, que la division aura pénétré dans leurs rangs, alors nous irons à eux, sûrs de la victoire".

Si le raisonnement de Charles Martel s'avéra judicieux, il faut aussi en déduire que c'est bien surtout l'impossibilité matérielle des guerriers francs à contrer ces guerriers et leurs chevaux si mobiles, rapides et résistants qui les a incités à une telle stratégie d'attente en les laissant d'abord prendre possession des richesses des régions traversées.

Sous la conduite de leur chef Abdéramane, les Musulmans se dirigèrent vers Poitiers où l'histoire de France a retenu leur défaite contre Charles Martel en 732. La Bataille de Poitiers : en 732 Charles Martel stoppe l'invasion des troupes musulmanes.

Une partie des Sarrasins implantés dans le Languedoc y restèrent en s'intégrant, d'autres conquérants revinrent en Espagne.

L'intégration en Espagne et la reconquête des Catholiques :

En Espagne, il y eut trois siècles de civilisation particulièrement brillante (architecture, littérature, mathématiques, astronomie, etc...), mais les souches aristocratiques chrétiennes autrefois repoussées vers le Nord finirent par renouer des alliances politiques et organisèrent une reconquête du territoire.

Pour résister et faire face à quelques défaites qu'ils avaient dû concéder à Alphonse VI, roi de Léon et de Castille, les Arabes appelèrent à leur aide en 1085 les Imazighen du Maroc, renforçant ainsi la présence majoritaire de Imazighen et accentuant encore l'influence génétique des Barbes sur le cheptel de l'Espagne. Plusieurs dynasties Amazighs vinrent donc en Espagne et s'y implantèrent durablement (Almovarides, les Almohades notamment).

L'assimilation des Imazighen qui s'unirent et s'adaptèrent aux peuples autochtones conduisit dans les cinq siècles suivants à l'amoindrissement du pouvoir des Arabes et l'Espagne put ainsi être reconquise progressivement par les Chrétiens, jusqu'à la chute finale du royaume nasride de Grenade à la fin du XVème siècle (1492).

Toutefois les catholiques n'acceptèrent pas le maintien de populations "impures" ayant des ascendance Arabe et Berbère, pourtant bien souvent converties au christianisme. Il y eut une volonté de purification ethnique qui se termina dans des bains de sang.

Comme pour la soumission du Languedoc à l'Eglise de Rome et la destruction des Cathares, les dominicains attisaient la terreur et la haine.

Le Dominicain Bleda proposa de passer par le fil de l'épée tous les Arabes et leurs descendants, même convertis au christianisme, en assurant que Dieu reconnaîtrait les siens.

Le gouvernement ne suivit pas officiellement, d'autant que depuis 8 siècles, le clergé espagnol n'avait pas eu à souffrir de la domination arabe et avait pu conserver sa liberté de culte. Les Arabes furent simplement officiellement congédiés du territoire en 1610.

Le Dominicain Bleda put toutefois se satisfaire du fait que la très large majorité fut exterminée par les fanatiques catholiques de sorte que la Saint Barthélémy ou le massacre de Béziers ne sont, à côté, que de gentils petits amusements, toujours sous le couvert d'un dogme catholique qui revendique la hauteur et grandeur de sa morale (tout comme les hommes blancs ont massacré les tribus indiennes d'Amérique du Nord avec une volonté d'éradication haineuse).

Bien peu purent retourner à Tamazgha et l'Espagne perdit ainsi brutalement environ trois millions d'habitants, tandis que la majorité des chevaux Barbes restèrent en Espagne.

Force est de constater que si on compare d'une part la durée de la domination "arabe" sur l’Espagne et d'autres part les types de chevaux qui y ont stabilisé leurs caractères (Andalous et Lusitaniens), ceux ci sont manifestement plus marqués par le Barbe que par l’Arabe…et pour cause! Les influences Amazighs restèrent toutefois profondément ancrées.

L'Andalousie tient son nom de l'appellation "Al Andalus" que les Arabes utilisaient pour désigner les peuples dominés par "les Vandales".

La tribu des Zénètes, réputée pour ses qualités cavalières donna à ses chevaux le nom de Genêts d'Espagne (ce qui signifiait Barbes Zénètes élevés en Espagne), ainsi qu'à l'équitation "a la jineta" qui indiquait une monte en suspension à l'opposé de la monte Européenne de l'époque (assis en fond de selle les jambes tendues en avant).

A partir des origines amazighs, les espagnols effectuèrent une sélection sur le modèle et les robes. Les chevaux élevés dans des conditions moins rudes, bénéficiaient d'une alimentation plus riche et d'apport de sang de chevaux lourds en provenance d'Europe.

La race évolua donc, ce qui conduit maintenant à une définition autonome du standard du PRE (Pure Race Espagnole).

Ainsi, la connaissance de l'histoire nous permet de mieux comprendre les origines des chevaux que nous connaissons actuellement
 
secret toi qui est chleu et qui aime les cheveaux


en preparation de tournages au maroc "zaina" cavalère de l"atlas
avec Rochdy zhemm/ Gilbert Melki
tournée dans l'atlas et region de m'rakche...............sortie l'année prochaines
 
" Ainsi, la connaissance de l'histoire nous permet de mieux comprendre les origines des chevaux que nous connaissons actuellement "

Anchou, il serait utile et intéressant de donner les sources de ton article. En utilisant le pretexte de parler des chevaux barbes ( berbères) il s'agit en fait d'un article de propagande et de falsification historique, en hommage aux invasions arabes.

L'auteur glorifie davantage la " civilisation" arabe, leur esprit de " tolérance", " justice", " fraternité", raffinement" et autres démagogies entretenues par les hagiographes arabos- musulmans et autres orientalistes, que le sujet du cheval barbe dont il est question dans le titre.

Il y a énormément de falsifications dans cet article, bien que les rares passages concernant le cheval barbe sont exacts. Tour le reste est de la propagande et récupération: les arabes furent de cruels pillards, des voleurs et des assassins, dont le seul but était la razzia, le butin, le massacre. Les Imazighens qui les suivirent et leur obéirent furent leurs complices dévoués, dont Tariq, leur mercenaire fidèle.
 
Back
Top