Mrini, comme son nom en l'indique pas car c'est un nom amazigh, est le baâthiste le plus virulent du Palais. C'est lui qui avait écrit quelques années déjà dans le journal panrabe, Asharq Alwsat, que l'amazigh n'a même pas encore atteint le niveau du langage des signes et à plus forte raison celui d'un dialecte. Un très grand connaisseur de l'amazighité ce Mrini qui doit penser à changer de nom!!
Dans le matin, il a commis un texte élogieux de Hassan II. On y découvre que la langue arabe est une valeur sacrée pour la monarchie. Et l'amazigh, une valeur nulle!
Je vous demande de lire attentivement ce texte pour voir la bêtise qui peut parfois être royale.
L'école hassanienne a donné aux Marocains des leçons en matière de quête du savoir et de la connaissance, d'adoption des vertus de la patience et des hautes valeurs, d'attachement aux préceptes authentiques de l'Islam et à la citoyenneté véritable et de consolidation des fondements de la démocratie et d'égalité sociale, a affirmé M. Abdelhaq M'rini, directeur du Protocole Royal et de la Chancellerie.
Dans un article publié, mercredi, par le quotidien arabophone "Assahra al Maghribia", sous le titre "Ce que j'ai appris à l'école de Hassan II", à l'occasion du 6e anniversaire du décès du regretté Souverain, M. M'rini a souligné que l'école hassanienne a également présenté des leçons en matière d'acquisition de la clairvoyance politique et d'un sage leadership au plan national, de l'orientation, de la planification, et de la bonne gestion, ainsi qu'en matière de dépassement de toutes les causes du sous-développement et des entraves au progrès et au développement et celles empêchant l'instauration de la sécurité et de la paix.
"L'école de Hassan II est une école à part entière, celle du droit et de la fidélité, celle de la paix, de la hauteur de vue et de la vision d'avenir, celle de l'objectivité, de la sincérité et de l'honnêteté, celle du dévouement à Dieu et à la patrie. C'est l'école du plus grand dirigeant, du plus grand maître, du plus grand pédagogue et du plus grand guide ", a-t-il dit.
M. Abdelhaq M'rini a présenté un résumé des principes de l'école hassanienne tels qu'ils ont été analysés par le regretté Souverain dans son discours devant les membres de la Chambre des Représentants, à l'ouverture de sa première session en date du 12 octobre 1984, citant le défunt Souverain : " L'école hassanienne est l'école de Mohammed V --que Dieu l'ait en Sa Sainte Miséricorde-- et l'école de Mohammed V était celle du prophète Sidna Mohammed --que la prière et le salut soient sur lui--, l'envoyé, le législateur, le politique et le diplomate ".
M. M'rini a ajouté que les principes de "l'école véritable et historique du Royaume du Maroc" portent sur l'intransigeance quant aux valeurs sacrées : la religion musulmane, l'unicité du rite, la langue arabe, l'intégrité territoriale et l'allégeance entre la Nation et le Roi.
Ces principes consistent également, a-t-il dit, en une liberté organisée et non en une liberté conçue dans l'anarchie et en la non-contradiction dans la politique extérieure, ajoutant que l'école hassanienne ne comporte pas de niveaux primaire, secondaire ou supérieur. Il s'agit, a expliqué M. M'rini, d'un ensemble de valeurs dans lesquelles ont été éduqués les Marocains, que ce soit au bureau, dans leurs foyers, rencontres ou dans leurs rapports avec les amis et les proches.
"Le grand maître de cette école et guide de ses orientations n'est autre que le fils de feu S.M. Mohammed V, feu S.M. Hassan II, que Dieu ait son âme, qui était versé dans toutes les connaissances humaines, épousant les hautes vertus ", a dit M. M'rini, ajoutant que le défunt Souverain était un leader des marches historiques et l'architecte de réalisations dans tous les domaines politique, social, civilisationnel et international.
Feu S.M. Hassan II a pu relever grâce à son comportement perspicace, sa vision globale à long terme, sa sagesse et à son génie, tous les défis flagrants et faire face aux velléités vouées à l'échec, a-t-il souligné.
La marche hassanienne triomphante et victorieuse est partie de cette école "vénérable" sous la conduite de son illustre leader, puisant son authenticité dans la glorieuse histoire du Maroc et sa force dans le génie marocain authentique, a-t-il dit, citant parmi les enseignements appris auprès de feu S.M. Hassan II, l'idéalisme et l'abnégation dans le travail continu et persévérant, le courage intellectuel pour affronter les événements inattendus avec une forte détermination et une ferme volonté, tout en s'acquittant des missions avec sincérité, intégrité, abnégation et minutie, perspicacité, objectivité et une profonde réflexion. L'objectif étant de trouver à tout problème inattendu une solution qui soit conforme à la conscience, à l'éthique et au droit, a-t-il dit.
"J'ai appris comment persévérer dans la bonne gestion, le rendement et la communication sans pour autant toucher aux fondements des choses ou à la mission qui m'est confiée ", a dit M. M'rini, ajoutant qu'il a également appris à s'exprimer dans un langage clair et transmettre le contenu des idées dictées à des personnes précises et à l'ensemble de la population par des phrases concises et correctes, à percevoir, en un clin d'œil, quand il faut avancer ou reculer et à prendre congé chaque fois que cela était nécessaire.
Il a également affirmé avoir appris à s'adapter aux circonstances et à choisir le moment opportun pour poser des questions et celui d'informer et de transmettre, tout en étant "armé des explications nécessaires pour tout sujet que j'évoque, je discute et j'analyse".
M. M'rini a appris à accepter tout reproche avec sagesse et bonne intention et de "me taire quand cela est nécessaire et à parler quand il le faut", et à fréquenter toutes les catégories humaines quel qu'en soit leur rang social.
"J'ai appris à dire oui quand il le faut sans soumission et à dire non quand il le faut en toute neutralité et avec audace", a-t-il souligné, ajoutant qu'il a appris à être poli et courtois avec les gens, fin dans ses comportements, sage dans ses gestes et poli dans ses paroles et à répondre à toutes les questions qui n'ont aucune relation avec sa mission précise : " Je ne sais pas".
Il a affirmé avoir appris à garder le secret de l'Etat et à ne le divulguer à personne, à ne dire que la vérité, "même à mes dépens, et à avoir foi en ce que je dis et en ce que j'écris " et à faire face avec fermeté, pondération et détermination aux situations embarrassantes et aux manifestations de trahison, de déloyauté et de transgression de la légitimité, " m'en remettant à Dieu ".
Il a également appris à "demeurer attaché à ma religion et à mes principes dans les situations prêtant à l'errance et à l'égarement, ne permettant à quiconque de les atteindre que ce soit par son arme, sa plume, ses paroles ou son autorité, à ne pas dévier du droit chemin dans mon travail, résistant à toutes les pulsions humaines et tentations diaboliques, à défier ceux qui érigent en profession l'immersion dans l'eau trouble et ceux, dépourvus de sincérité, qui chargent les gens de mensonges, à taire ma colère devant les stupides et les ignorants parmi les gens et à leur dire dans mon esprit : mon cœur se resserre, ma bouche ne souffle mot, guidé en cela par la parole de Dieu: " Ecarte-toi des ignorants " et " Si les ignorants s'adressent à eux, ils disent " paix "".
Ne pas plier aux flagorneries des hypocrites, aux ruses de ceux qui se jouent des valeurs et aux manœuvres des intrus, être l'assistant sincère et le serviteur fidèle dans l'heur et le malheur, être dévoué à " mon Dieu, à ma religion, à la patrie, à mon Roi, aux valeurs sacrées consacrées par la Constitution et aux constantes nationales ", sont autant d'enseignements appris de l'école hassanienne, a-t-il dit.
M. M'rini a également appris à être "fier de la civilisation de mon pays enracinée dans l'authenticité, à défendre sa gloire et à encourager tout ce qui est de nature à en pérenniser la grandeur et à en magnifier la renaissance", à tirer profit des causeries hassaniennes nationales "dont j'ai puisé à la source et vécu le cheminement, allant dans le sillage tracé par son illustre initiateur, Sa Majesté le Roi Hassan II, que Dieu l'ait en Sa Sainte Miséricorde ".
"Ce n'est là qu'une infime partie d'un tout et qu'une goutte dans l'océan, que j'ai consignée pour que l'histoire l'immortalise. C'est là l'unique appréciation honnête qui peut être faite de ceux qui ont quitté ce bas monde pour l'au-delà et qui ont laissé des empreintes indélébiles gravées sur les pages de l'éternité", a-t-il conclu.
| MAP
Dans le matin, il a commis un texte élogieux de Hassan II. On y découvre que la langue arabe est une valeur sacrée pour la monarchie. Et l'amazigh, une valeur nulle!
Je vous demande de lire attentivement ce texte pour voir la bêtise qui peut parfois être royale.
L'école hassanienne a donné aux Marocains des leçons en matière de quête du savoir et de la connaissance, d'adoption des vertus de la patience et des hautes valeurs, d'attachement aux préceptes authentiques de l'Islam et à la citoyenneté véritable et de consolidation des fondements de la démocratie et d'égalité sociale, a affirmé M. Abdelhaq M'rini, directeur du Protocole Royal et de la Chancellerie.
Dans un article publié, mercredi, par le quotidien arabophone "Assahra al Maghribia", sous le titre "Ce que j'ai appris à l'école de Hassan II", à l'occasion du 6e anniversaire du décès du regretté Souverain, M. M'rini a souligné que l'école hassanienne a également présenté des leçons en matière d'acquisition de la clairvoyance politique et d'un sage leadership au plan national, de l'orientation, de la planification, et de la bonne gestion, ainsi qu'en matière de dépassement de toutes les causes du sous-développement et des entraves au progrès et au développement et celles empêchant l'instauration de la sécurité et de la paix.
"L'école de Hassan II est une école à part entière, celle du droit et de la fidélité, celle de la paix, de la hauteur de vue et de la vision d'avenir, celle de l'objectivité, de la sincérité et de l'honnêteté, celle du dévouement à Dieu et à la patrie. C'est l'école du plus grand dirigeant, du plus grand maître, du plus grand pédagogue et du plus grand guide ", a-t-il dit.
M. Abdelhaq M'rini a présenté un résumé des principes de l'école hassanienne tels qu'ils ont été analysés par le regretté Souverain dans son discours devant les membres de la Chambre des Représentants, à l'ouverture de sa première session en date du 12 octobre 1984, citant le défunt Souverain : " L'école hassanienne est l'école de Mohammed V --que Dieu l'ait en Sa Sainte Miséricorde-- et l'école de Mohammed V était celle du prophète Sidna Mohammed --que la prière et le salut soient sur lui--, l'envoyé, le législateur, le politique et le diplomate ".
M. M'rini a ajouté que les principes de "l'école véritable et historique du Royaume du Maroc" portent sur l'intransigeance quant aux valeurs sacrées : la religion musulmane, l'unicité du rite, la langue arabe, l'intégrité territoriale et l'allégeance entre la Nation et le Roi.
Ces principes consistent également, a-t-il dit, en une liberté organisée et non en une liberté conçue dans l'anarchie et en la non-contradiction dans la politique extérieure, ajoutant que l'école hassanienne ne comporte pas de niveaux primaire, secondaire ou supérieur. Il s'agit, a expliqué M. M'rini, d'un ensemble de valeurs dans lesquelles ont été éduqués les Marocains, que ce soit au bureau, dans leurs foyers, rencontres ou dans leurs rapports avec les amis et les proches.
"Le grand maître de cette école et guide de ses orientations n'est autre que le fils de feu S.M. Mohammed V, feu S.M. Hassan II, que Dieu ait son âme, qui était versé dans toutes les connaissances humaines, épousant les hautes vertus ", a dit M. M'rini, ajoutant que le défunt Souverain était un leader des marches historiques et l'architecte de réalisations dans tous les domaines politique, social, civilisationnel et international.
Feu S.M. Hassan II a pu relever grâce à son comportement perspicace, sa vision globale à long terme, sa sagesse et à son génie, tous les défis flagrants et faire face aux velléités vouées à l'échec, a-t-il souligné.
La marche hassanienne triomphante et victorieuse est partie de cette école "vénérable" sous la conduite de son illustre leader, puisant son authenticité dans la glorieuse histoire du Maroc et sa force dans le génie marocain authentique, a-t-il dit, citant parmi les enseignements appris auprès de feu S.M. Hassan II, l'idéalisme et l'abnégation dans le travail continu et persévérant, le courage intellectuel pour affronter les événements inattendus avec une forte détermination et une ferme volonté, tout en s'acquittant des missions avec sincérité, intégrité, abnégation et minutie, perspicacité, objectivité et une profonde réflexion. L'objectif étant de trouver à tout problème inattendu une solution qui soit conforme à la conscience, à l'éthique et au droit, a-t-il dit.
"J'ai appris comment persévérer dans la bonne gestion, le rendement et la communication sans pour autant toucher aux fondements des choses ou à la mission qui m'est confiée ", a dit M. M'rini, ajoutant qu'il a également appris à s'exprimer dans un langage clair et transmettre le contenu des idées dictées à des personnes précises et à l'ensemble de la population par des phrases concises et correctes, à percevoir, en un clin d'œil, quand il faut avancer ou reculer et à prendre congé chaque fois que cela était nécessaire.
Il a également affirmé avoir appris à s'adapter aux circonstances et à choisir le moment opportun pour poser des questions et celui d'informer et de transmettre, tout en étant "armé des explications nécessaires pour tout sujet que j'évoque, je discute et j'analyse".
M. M'rini a appris à accepter tout reproche avec sagesse et bonne intention et de "me taire quand cela est nécessaire et à parler quand il le faut", et à fréquenter toutes les catégories humaines quel qu'en soit leur rang social.
"J'ai appris à dire oui quand il le faut sans soumission et à dire non quand il le faut en toute neutralité et avec audace", a-t-il souligné, ajoutant qu'il a appris à être poli et courtois avec les gens, fin dans ses comportements, sage dans ses gestes et poli dans ses paroles et à répondre à toutes les questions qui n'ont aucune relation avec sa mission précise : " Je ne sais pas".
Il a affirmé avoir appris à garder le secret de l'Etat et à ne le divulguer à personne, à ne dire que la vérité, "même à mes dépens, et à avoir foi en ce que je dis et en ce que j'écris " et à faire face avec fermeté, pondération et détermination aux situations embarrassantes et aux manifestations de trahison, de déloyauté et de transgression de la légitimité, " m'en remettant à Dieu ".
Il a également appris à "demeurer attaché à ma religion et à mes principes dans les situations prêtant à l'errance et à l'égarement, ne permettant à quiconque de les atteindre que ce soit par son arme, sa plume, ses paroles ou son autorité, à ne pas dévier du droit chemin dans mon travail, résistant à toutes les pulsions humaines et tentations diaboliques, à défier ceux qui érigent en profession l'immersion dans l'eau trouble et ceux, dépourvus de sincérité, qui chargent les gens de mensonges, à taire ma colère devant les stupides et les ignorants parmi les gens et à leur dire dans mon esprit : mon cœur se resserre, ma bouche ne souffle mot, guidé en cela par la parole de Dieu: " Ecarte-toi des ignorants " et " Si les ignorants s'adressent à eux, ils disent " paix "".
Ne pas plier aux flagorneries des hypocrites, aux ruses de ceux qui se jouent des valeurs et aux manœuvres des intrus, être l'assistant sincère et le serviteur fidèle dans l'heur et le malheur, être dévoué à " mon Dieu, à ma religion, à la patrie, à mon Roi, aux valeurs sacrées consacrées par la Constitution et aux constantes nationales ", sont autant d'enseignements appris de l'école hassanienne, a-t-il dit.
M. M'rini a également appris à être "fier de la civilisation de mon pays enracinée dans l'authenticité, à défendre sa gloire et à encourager tout ce qui est de nature à en pérenniser la grandeur et à en magnifier la renaissance", à tirer profit des causeries hassaniennes nationales "dont j'ai puisé à la source et vécu le cheminement, allant dans le sillage tracé par son illustre initiateur, Sa Majesté le Roi Hassan II, que Dieu l'ait en Sa Sainte Miséricorde ".
"Ce n'est là qu'une infime partie d'un tout et qu'une goutte dans l'océan, que j'ai consignée pour que l'histoire l'immortalise. C'est là l'unique appréciation honnête qui peut être faite de ceux qui ont quitté ce bas monde pour l'au-delà et qui ont laissé des empreintes indélébiles gravées sur les pages de l'éternité", a-t-il conclu.
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