Mon peuple s'asphysxie, se meurt, faute de son souffle vital, sa langue originelle... Ne plus hésiter, ni se poser de questions captieuses: de la maternelle jusqu'à lenseignement supérieur, dans tous les domaines de la connaissance, il faut généraliser l'enseignement du tamazight... l'imposer, comme une opération de sauvetage, comme un bouche à bouche à une personne qui étouffe et qui est en train de mourir.
Enseigner le tamazight non seulement de façon timide, parcimonieuse, mais de façon systématique, joyeuse et enthousiaste, soutenue par tous les moyens financiers, intellectuels et pédagogiques.
Une véritable révolution linguistique dans tous les pays amazighophones, où l'arabe classique est " langue d'Etat" et la langue arabe dialectal " langue de communication".
Le Tamazight possède tous les avantages sur la langue arabe archaïque, empesée, sclérosée, langue morte qui ne doit sa survivance qu'à l'Islam, religion dominatrice impérialiste, et à un nationalisme oriental orgueilleux, conquérant et chauvin, soutenu par des milliards de pétrodollars et une fierté moyenâgeuse dépassée.
Tamazight, langue vivace et résistante, a survécu depuis le Néolithique à toutes les vicissitudes de l'Histoire, à toutes les conquêtes successives qui n'ont jamais réussi à la supplanter. Le Tamazight a tous les avantages d'authenticité, de vigueur et de simplicité, d'adaptabilité et de modernité; elle seule correspond véritablement à l'âme des habitants de l'afrique du nord, à leur identité ancestrale, à leur mentalité spécifique, fruits d'un terroir unique.
Aucune autre langue ne peut résoudre le marasme socio- psychologique de tout un peuple coupé de ses racines et de sa langue originelle, véritable expression de tout son être profond.
Ainsi, tous les pays d'afrique du nord sont condamnés à toujours végéter et à ne jamais progresser, si on leur impose des langues qui ne sont pas les leurs: impossible d'écrire, de s'exprimer, de créer et de produire une civilisation digne de ce nom tant que notre langue est niée, mise à l'écart, voire combattue; le problème de l'analphabétisme qui atteint chez nous des proportions considérables ne sera vraiment combattu et éradiqué que si les Imazighens ont accès à l'information, à l'écriture et à la lecture dans leur langue maternelle.
Enseigner le tamazight non seulement de façon timide, parcimonieuse, mais de façon systématique, joyeuse et enthousiaste, soutenue par tous les moyens financiers, intellectuels et pédagogiques.
Une véritable révolution linguistique dans tous les pays amazighophones, où l'arabe classique est " langue d'Etat" et la langue arabe dialectal " langue de communication".
Le Tamazight possède tous les avantages sur la langue arabe archaïque, empesée, sclérosée, langue morte qui ne doit sa survivance qu'à l'Islam, religion dominatrice impérialiste, et à un nationalisme oriental orgueilleux, conquérant et chauvin, soutenu par des milliards de pétrodollars et une fierté moyenâgeuse dépassée.
Tamazight, langue vivace et résistante, a survécu depuis le Néolithique à toutes les vicissitudes de l'Histoire, à toutes les conquêtes successives qui n'ont jamais réussi à la supplanter. Le Tamazight a tous les avantages d'authenticité, de vigueur et de simplicité, d'adaptabilité et de modernité; elle seule correspond véritablement à l'âme des habitants de l'afrique du nord, à leur identité ancestrale, à leur mentalité spécifique, fruits d'un terroir unique.
Aucune autre langue ne peut résoudre le marasme socio- psychologique de tout un peuple coupé de ses racines et de sa langue originelle, véritable expression de tout son être profond.
Ainsi, tous les pays d'afrique du nord sont condamnés à toujours végéter et à ne jamais progresser, si on leur impose des langues qui ne sont pas les leurs: impossible d'écrire, de s'exprimer, de créer et de produire une civilisation digne de ce nom tant que notre langue est niée, mise à l'écart, voire combattue; le problème de l'analphabétisme qui atteint chez nous des proportions considérables ne sera vraiment combattu et éradiqué que si les Imazighens ont accès à l'information, à l'écriture et à la lecture dans leur langue maternelle.