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L’Histoire de l’écriture n’a pas varié depuis le 15e siècle à nos jours. La théorie selon laquelle les caractères scripturaux gréco-romains viennent exclusivement des signes d’écriture phénicienne lesquels dérivent des hiéroglyphes égyptiens semble une Vérité aux remparts inexpugnables.
L’écriture n’a pu naître que dans des zones aux civilisations grandioses en l’occurrence, l’Egypte et le Proche et Moyen Orient. Et si ces grandioses civilisations ne devaient leur grandeur qu’à des populations venues d’ailleurs - Afrique et Méditerranée occidentale - depuis des millénaires ?
Les signes géométriques formant l’alphabet latin et entrant dans l’alphabet phénicien n’apparaîtront en Orient - dominé alors par l’écriture cunéiforme akkadienne - qu’à la suite d’invasions massives déferlant de l’Ouest méditerranéen. Et c’est à la suite de cette submersion que se créeront les alphabets phonétiques en Phénicie, l’un cunéiforme et l’autre linéaire.
Peut-on considérer alors les signes comme U V C X N W I E Z L M S T des poteries berbères les plus anciennes, des gravures et peintures rupestres de l’Atlas, du Tassili, des mégalithes africains et européens comme de simples graffiti sans importance ou formaient-ils déjà des lignes d’écriture dédaignées car ignorées ?
Les théories sur l’évolution de l’Écriture évacuent un peu trop rapidement le Libyque - écriture nord-africaine antique, disparue de nos jours -, et le font dériver du phénicien. Et si c’était de l’écriture libyco-berbère qu’est né le phénicien le plus ancien, apparaissant vers 1400 avant Jésus-Christ suite à des invasions incontrôlables ?
Il est temps d’intégrer le Libyque dans l’évolution de l’Ecriture afin qu’une rigueur scientifique de tous les signes géométriques de la Méditerranée antique permette enfin une meilleure analyse et qui sait, peut-être un déchiffrement des écritures restées jusque-là muettes.
L’écriture n’a pu naître que dans des zones aux civilisations grandioses en l’occurrence, l’Egypte et le Proche et Moyen Orient. Et si ces grandioses civilisations ne devaient leur grandeur qu’à des populations venues d’ailleurs - Afrique et Méditerranée occidentale - depuis des millénaires ?
Les signes géométriques formant l’alphabet latin et entrant dans l’alphabet phénicien n’apparaîtront en Orient - dominé alors par l’écriture cunéiforme akkadienne - qu’à la suite d’invasions massives déferlant de l’Ouest méditerranéen. Et c’est à la suite de cette submersion que se créeront les alphabets phonétiques en Phénicie, l’un cunéiforme et l’autre linéaire.
Peut-on considérer alors les signes comme U V C X N W I E Z L M S T des poteries berbères les plus anciennes, des gravures et peintures rupestres de l’Atlas, du Tassili, des mégalithes africains et européens comme de simples graffiti sans importance ou formaient-ils déjà des lignes d’écriture dédaignées car ignorées ?
Les théories sur l’évolution de l’Écriture évacuent un peu trop rapidement le Libyque - écriture nord-africaine antique, disparue de nos jours -, et le font dériver du phénicien. Et si c’était de l’écriture libyco-berbère qu’est né le phénicien le plus ancien, apparaissant vers 1400 avant Jésus-Christ suite à des invasions incontrôlables ?
Il est temps d’intégrer le Libyque dans l’évolution de l’Ecriture afin qu’une rigueur scientifique de tous les signes géométriques de la Méditerranée antique permette enfin une meilleure analyse et qui sait, peut-être un déchiffrement des écritures restées jusque-là muettes.