M.PA.I.A.C
Entre le 23 et 25 de ce mois de janvier, il aura lieu dans la capitale du Soudan, Khartoum, le VIeme. Sommet ordinaire des Chefs d’État de l’Union Africaine (JA), pour discuter sur la situation de notre continent et déterminer, qui doit assumer la présidence en exercice de l’UA.
La tenue de ce sommet dans la capitale soudanaise, va devenir un problème pour les pays africains et pour les Mouvements de Libération Nationale comme le notre, celui de l’Archipel Canarien, dernière colonie de l’Espagne en Afrique, car l’Espagne a toujours entretenue de bonnes relations avec le Soudan, depuis qu’en juillet 1978, le gouvernement soudanais contacté par le gouvernement de Madrid a essayé de faire passer sous silence le problème colonial des Canaries, surtout dans un moment où le gouvernement colonial espagnol, s’était lancé dans une manoeuvre de terrorisme d’état et d’assassinat contre le Secrétaire Général du MPAIAC à Alger, le 5 avril 1978. En ce moment le gouvernement soudanais, membre de l’OUA, n’avait pas condamné cet attentat et dans son mandat d’un an, a suivi les conseils bien payés, du gouvernement colonial de Madrid.
Le gouvernement arabo-musulman soudanais du président Omar el-Béchir, est connu par sa politique d’agression contre les populations chrétiennes du sud et du Darfour et jusqu’à présent n’a pas expliqué la mort, dans un accident organisé, du leader chrétien des populations du sud Soudanais, John Garang.
Pour nous, Mouvement de Libération Nationale des îles Canaries, le MPAIAC, dernière colonie de l’Espagne, en Afrique, la célébration du sommet de l’UA à Khartoum, ne doit pas servir à nommer le président de notre organisation. En juillet 2004, à Addis-Abeba, il avait été souligné bien clairement, que 1’accueil du sommet par le pays hôte, ne faisait pas de lui, le futur président de notre organisation africaine. Lors des sommets de l’OUA à Libreville, Gabon, et à Freetown, ces états et leurs présidents ont été touchés économiquement par le gouvernement espagnol, pour empêcher que le MPAIAC puisse informer les chefs d’état africains, de la situation aux Canaries. En 1982, lorsque le président socialiste espagnol, Felipe González, a gagné les élections, il a dit publiquement à une revue espagnole, que la première personne qui lui avait téléphoné, était le président du Gabon, Bongo, pour lui réclamer 500.000 $, que 1’Espagne lui devait encore, car le précédent président espagnol, Calvo Sotelo, lui avait promis 1.500.000 $, pour empêcher la délégation du MPAIAC, de prendre la parole devant les chefs d’états à Libreville. M. Calvo Sotelo avait payé seulement Un million de dollars comptant et M. Bongo, a réclamé le reste à M. Felipe González, dès qu’il est arrivé au pouvoir.
Nous pensons qu’un président de l’UA doit être avant tout, une personnalité africaine. L’Organisation lors de sa création en 2002 à Durban, et surtout à l’esprit de lutte contre le colonialisme de 1963, date de la fondation de l’OUA. II faut que l’UA devienne un outil politique au service de la libération totale du continent africain et du colonialisme espagnol et français, et le respect des droits de l’homme, et on ne l’obtiendra pas si on choisi un président arabe comme Omar Hassan el-Béchir, président actuel d’un pays responsable des terribles guerres contre les populations africaines du sud du Soudan et du Darfour.
Cela fait déjà quatre ans que l’UA n’a pas encore résolue le problème de la décolonisation totale de 1’Afrique et et des problèmes comme celui du Sahara occupé par le gouvernement marocain. Le Maroc, continu à avoir des enclaves espagnols dans son territoire, ce qui est honteux car il n’est pas capable d’expulser l’Espagne de notre continent. Le Sommet de janvier doit étudier à nouveau le problème de la décolonisation totale de l’Afrique, les respect des droits de l’homme et des peuples ainsi que des croyances et promouvoir le développement du continent en exigeant de tous les pays européens qui se sont enrichis avec le trafic d’esclaves africains pendant des siècles, comme l’Espagne, le Portugal, la France, l’Angleterre, l’Allemagne, la Hollande, le Danemark et la Suède, de payer une dette historique à’Afrique en aidant le développement de notre continent.
Le MPAIAC souhaite aux chefs d’État africains de pouvoir choisir un nouveau président qui soit capable de représenter correctement les idéaux de l’Afrique et lutte pour finir une fois pour toutes, avec le colonialisme sur notre contient.
¡ VIVE L’AFRIQUE ! ¡ L’AFRIQUE AUX AFRICAINS ¡
Fdo. : Maítre Antonio CUBILLO, Secrétaire Général du MPAIAC. Tenerife, Archipel des Canaries, Afrique.
mpaiac@elguanche.net
acubillo@ctv.es
cubilloantonio@hotmail.com
Entre le 23 et 25 de ce mois de janvier, il aura lieu dans la capitale du Soudan, Khartoum, le VIeme. Sommet ordinaire des Chefs d’État de l’Union Africaine (JA), pour discuter sur la situation de notre continent et déterminer, qui doit assumer la présidence en exercice de l’UA.
La tenue de ce sommet dans la capitale soudanaise, va devenir un problème pour les pays africains et pour les Mouvements de Libération Nationale comme le notre, celui de l’Archipel Canarien, dernière colonie de l’Espagne en Afrique, car l’Espagne a toujours entretenue de bonnes relations avec le Soudan, depuis qu’en juillet 1978, le gouvernement soudanais contacté par le gouvernement de Madrid a essayé de faire passer sous silence le problème colonial des Canaries, surtout dans un moment où le gouvernement colonial espagnol, s’était lancé dans une manoeuvre de terrorisme d’état et d’assassinat contre le Secrétaire Général du MPAIAC à Alger, le 5 avril 1978. En ce moment le gouvernement soudanais, membre de l’OUA, n’avait pas condamné cet attentat et dans son mandat d’un an, a suivi les conseils bien payés, du gouvernement colonial de Madrid.
Le gouvernement arabo-musulman soudanais du président Omar el-Béchir, est connu par sa politique d’agression contre les populations chrétiennes du sud et du Darfour et jusqu’à présent n’a pas expliqué la mort, dans un accident organisé, du leader chrétien des populations du sud Soudanais, John Garang.
Pour nous, Mouvement de Libération Nationale des îles Canaries, le MPAIAC, dernière colonie de l’Espagne, en Afrique, la célébration du sommet de l’UA à Khartoum, ne doit pas servir à nommer le président de notre organisation. En juillet 2004, à Addis-Abeba, il avait été souligné bien clairement, que 1’accueil du sommet par le pays hôte, ne faisait pas de lui, le futur président de notre organisation africaine. Lors des sommets de l’OUA à Libreville, Gabon, et à Freetown, ces états et leurs présidents ont été touchés économiquement par le gouvernement espagnol, pour empêcher que le MPAIAC puisse informer les chefs d’état africains, de la situation aux Canaries. En 1982, lorsque le président socialiste espagnol, Felipe González, a gagné les élections, il a dit publiquement à une revue espagnole, que la première personne qui lui avait téléphoné, était le président du Gabon, Bongo, pour lui réclamer 500.000 $, que 1’Espagne lui devait encore, car le précédent président espagnol, Calvo Sotelo, lui avait promis 1.500.000 $, pour empêcher la délégation du MPAIAC, de prendre la parole devant les chefs d’états à Libreville. M. Calvo Sotelo avait payé seulement Un million de dollars comptant et M. Bongo, a réclamé le reste à M. Felipe González, dès qu’il est arrivé au pouvoir.
Nous pensons qu’un président de l’UA doit être avant tout, une personnalité africaine. L’Organisation lors de sa création en 2002 à Durban, et surtout à l’esprit de lutte contre le colonialisme de 1963, date de la fondation de l’OUA. II faut que l’UA devienne un outil politique au service de la libération totale du continent africain et du colonialisme espagnol et français, et le respect des droits de l’homme, et on ne l’obtiendra pas si on choisi un président arabe comme Omar Hassan el-Béchir, président actuel d’un pays responsable des terribles guerres contre les populations africaines du sud du Soudan et du Darfour.
Cela fait déjà quatre ans que l’UA n’a pas encore résolue le problème de la décolonisation totale de 1’Afrique et et des problèmes comme celui du Sahara occupé par le gouvernement marocain. Le Maroc, continu à avoir des enclaves espagnols dans son territoire, ce qui est honteux car il n’est pas capable d’expulser l’Espagne de notre continent. Le Sommet de janvier doit étudier à nouveau le problème de la décolonisation totale de l’Afrique, les respect des droits de l’homme et des peuples ainsi que des croyances et promouvoir le développement du continent en exigeant de tous les pays européens qui se sont enrichis avec le trafic d’esclaves africains pendant des siècles, comme l’Espagne, le Portugal, la France, l’Angleterre, l’Allemagne, la Hollande, le Danemark et la Suède, de payer une dette historique à’Afrique en aidant le développement de notre continent.
Le MPAIAC souhaite aux chefs d’État africains de pouvoir choisir un nouveau président qui soit capable de représenter correctement les idéaux de l’Afrique et lutte pour finir une fois pour toutes, avec le colonialisme sur notre contient.
¡ VIVE L’AFRIQUE ! ¡ L’AFRIQUE AUX AFRICAINS ¡
Fdo. : Maítre Antonio CUBILLO, Secrétaire Général du MPAIAC. Tenerife, Archipel des Canaries, Afrique.
mpaiac@elguanche.net
acubillo@ctv.es
cubilloantonio@hotmail.com