Histoire de Ait baarmane

Najma

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Le texte d'origin est en espagnol, vous pouvez le consulter à l'adresse ci-dessous:

members.fortunecity.es/ae...i/Ifni.htm


sinon j'ai fait une traduction avec voila.fr en Français, bonne lecture

CAP.1 ; L'INFANTERIE DE MARINE DANS LA GUERRE D'IFNI

Commence une série de chapitres consacrés à la tâche inconnue de de la IM dans le conflit de l'AOE qui a eu lieu entre 1956 et 1958, mais dont les causes remontent à muchoa années avant et dont les conséquences nous affectent y compris de nos jours.

Évidemment qu'il arrête sa compréhension profonde, on va attentivement analyser tous les détails qui ont affecté les événements qui ont affecté ces territoires.

Souvent le conflit se présente de manière simultanée, en accord avec la chronologie historique, ce qui mélange les opérations en Ifni avec celles du Sahara, que bien qu'il soit une ressource excellente du point de vue historique, et de fait, il y avait unités (surtout navals et de l'EdA qui intervenaient simultanéement dans les deux territoires) au contraire je crois qu'il complique sa compréhension parce qu'ils n'ont pas cessé d'être de conflits assez différents de plusieurs points de vue (géo-stratégique, tactique et militaire).

Ce travail dispose une galerie d'images auxiliaires que qui peuvent être consulté à au complet, en GALERIE, ou partiellement chaque fois qu'apparaisse un lien le long du texte.

INTRODUCTION

Sous la dénomination de l'Afrique Occidentale espagnole (AOE) on exerçait souveraineté sur les territoires d'Ifni et du Sahara. , l'Ifni, a été d'abord la conséquence du Traité de Tétouan, 26 avril de de 1860, au moyen duquel le Sultán du Maroc accordait à l'Espagne "concession à perpétuité en Sainte Croix de Petite Mer d'un territoire suffisant pour former un établissement de pêcheries". Il s'agissait de récupérer ce que dans 1478 Diego García de Herrera fonderait et ce qui dans 1499 serait consolidé en jurant fidélité les chefs de tribu aux rois de l'Espagne. Ont peu duré fort serment et, parce que dans 1524 on a attaqué et on l'a détruit, en abandonnant le territoire. En n'étant pas connu l'ancienne situation de l'enclave, et en vertu du Traité de Tétouan, le colonel Oswaldo Capable tu Montes il a occupé le 6 avril 1934 une zone de côte où il serait peut-être le fort.

Ce territoire d'Ifni était une petite bande de terrain côtier de quelque 1800 km2, entourée de hautes montagnes qui étaient étendues vers la mer en faisant une espèce de demi-cercle. La côte est très abrupte, en prédominant les falaises, et il n'existait pas un port comme tel (il y devait des projets faire un en Sidi Ifni) et on manquait pratiquement d'abris naturels pour que les bateaux s'approchent à la côte. La plage d'Ifni était très sale, de sol pierreux, qui rendait très difficile l'échouement de de ce qui est barcazas k- 1 et k- 2, seules disponibles alors dans celle Armée.

Le territoire était occupé par une ethnie de d'origine beréber, de ce qui est baamaraníes, consacrés au pacage nomade et à la pêche.

Dans le contexte historique, la fin de la Seconde Guerre Mondiale finirait en entraînant dans une décennie, une série de convulsos processus de décolonisation qui finiraient par affecter les protectorats français et espagnol au Maroc. Dans leurs prolegómenos, éléments marocains de la zone de protectorat français ils ont été abrités dans les territoires de l'Afrique Occidentale espagnole et ils ont créé le climax du "Grand Maroc", lequel, entre autres, comprenait à Ifni et au Sahara, vision impériale maintenue par le, dans celui-là alors omnipotent, parti Istiqlal. Le 7 avril 1956 le Maroc obtenait l'indépendance, en restant sous la seule souveraineté du Sultán les deux protectorats.

On doit indiquer la position de Mohammed V, celui qui, en réunion préalable à la guerre, à le d'à obtenir peu au Maroc l'indépendance, avec le Général Franc, lui avait formellement demandé les territoires d'Ifni et du Sahara, extrémité qui a été rejeté de plan.

Franc, qui ne s'fiait pas du contrôle effectif par le Roi du Maroc, des frontières avec Ifni, a retenu la stratégique bande de Tarfaya, entre Ifni et le Sahara espagnol, pour éviter que sa domination par des éléments incontrôlés menace les territoires espagnols. Cette province marocaine, avait constitué le Protectorat Sud espagnol sur le Maroc et était soumise légalement au traité de de 1912 entre l'Espagne et la France, ce pourquoi c'était territoire qui devrait être inclus dans le processus d'indépendance marocaine le problème était que cette province frontalière avec le nord du Sahara espagnol occupait une position stratégique très importante, puisqu'elle était la voie d'entrée du Maroc vers celui-ci à travers la frontière naturelle qui suppose l'Uad Dra.

L'évolution des événements et l'infiltration d'agents nationalistes marocains créent en partie de la population indigène de l'AOE une atmosphère encline à son union avec le Maroc.

COMMENCENT LES INCIDENTS EN IFNI

L'année 1956 commence avec un épisode sanglant : le 2 janvier, dans celui peuplé de Sidi Inno (Ifni), un groupe de d'indigènes hisse le drapeau marocain dans la mosquée ; à force vive on leur déloge et inonde un tel drapeau, mais avec le bilan de trois indigènes morts et plusieurs prisonniers, entre eux plusieurs activistes de l'autre côté de la frontière.

Par ordre de la Présidence du Gouvernement de du 9 mars 1954, entre en vigueur dans l'AOE le règlement pour la Perception Impôts indirects, transmission de biens, timbre, valeurs mobilières, paiements à l'administration, transports marchandises et droits entrée et sortie de de ces dernières, ainsi qu'impôts indirects pour diverses matières et aliments de première nécessité : ceci était embarqué à rassembler des impôts du minéral de fer qui était extrait en Mauritania, qui était prévu utiliserait un certain port de l'AOE pour son embarquement, bien que les autorités françaises aient décidé, postérieurement, que la sortie à la mer de ce matériel était depuis Mauritania elle-même.

Distinct on essaye d'imposer un système d'impôts directs sur les personnes, le bétail, les propriétés urbaines et agricoles, rendimeientos du travail, etc., qui causent un grand rejet entre la population.

Les jours et les semaines passent tendus. Le Maroc obtient son indépendance. Devant le manque de résultats dans la collecte d'impôts, et la résistance passive des indigènes, on essaye une collecte par la force, en coïncidant inopportunement avec l'indépendance du Maroc. Le 25 mars un incident sérieux se produit en Tantan (le Sahara) ; le volume de la Compagnie à Camello du II Groupe Nomade du Dra et une Section de Tireurs d'élite d'Ifni refusent d'exécuter des ordres reçus relatifs à la réquisition de bétail, et doivent être désarmés pour éviter la sedición, ce pourquoi on envoie à toute rapidité au moyen de deux Ju-52, une section d'infanterie européenne ; depuis Las Palmas sont transportée par avion une compagnie de Canariennes du 50, et d'une autre du Fuerteventura à Ville Bens. En même temps, les unités de de celle Armée patrouillent dans l'embouchure le Dra, le Port Fatigué, la plage de Tantan et l'Extrémité Juby.

En prévision dont il dégénère dans un confuse et pour soutenir aux autorités locales, le vice-amiral Pascal Cervera, Commandant Général de la Base Navale des Iles Canaries, ordonne les 27 les sorties de la corvette Découverte avec une section d'Infanterie de Marine du Groupement Indépendant des Iles Canaries à la commande du lieutenant Angel Abia Gómez, en croisière de surveillance, prestos à débarquer et intervenir si le demandait le gouverneur d'AOE. Calmée la situation, retourne la corvette à Las Palmas le 3 avril.

En Ifni les esprits sont chauffés de nouveau en s'informant ce qui est indigènes que le 7 avril Maroc a obtenus l'indépendance. La Découverte est faite récemment à la mer le 9 avril de de celui-là "déplacé" 1956 en demande de Sidi Ifni, en transportant une section d'Infanterie de Marine à la commande du lieutenant Antonio Sánchez Pastor, pour protéger la plage, seul "port" du territoire. Après avoir débarqué, et à demande du Général Gouverneur d'AOE, Ramón Brun de Santayana Suárez, la section fait une "promenade" par la ville à la fin
lever l'esprit de la population chrétienne, assez enfoncé par les vacarmes et les menaces des promarocaiux pendant les derniers jours. Tant la présence de la corvette, comme le parcours par la ville de la section, obtiennent le but proposé, en calmant la situation sans effusion de sang. La section met à être en garnison à la plage, seul accès par mer à Ifni et dont le mouvement navire -
plage l'effectue l'Unité de Mer AOE, unité composée indigènes, avec cárabos (bateaux beaucoup de longueur, de peu de douille et fonds plat utilisé par ce qui est indigènes pour la pêche, ce qui est barqueo et le cabotage ; il pouvait avoir de d'un à trois bois, avec le plus grand très tombé vers poupe, avec une bougie à le tiers, et aux autres avec des bougies latines) et un véhicule amphibie vétéran de DUKW, bien qu'il y ait des sources qui parlent de de deux.

Devant les rapports frénétiques défavorables face à la politique fiscale vorace, envoyés par le gouverneur de l'AOE, le général Brun de Santayana, à Madrid, Direccion Générale du Maroc et Colonies rectifie le 12 avril et communique la suspension de la perception d'impôts.

La déclaration d'indépendance du Maroc, entraîne des forts tensions en Ifni, où on essaye d'effacer les frontières, des grèves les commerçants avantage- marocains, de sabotages se produisent de lignes téléphoniques, et de tentatives de caravanes de camions, de traverser la frontière, de Tabelcut.

l'Istiqlal marocain puissant organise ses agents pour créer de facto un état d'indépendance dans les territoires espagnols. Ses agents ont assumé des compétences qui étaient de l'État, en essayant d'imposer des immatriculations de voitures avec désignation marocaine, collecte d'impôts dans zocos, imposition d'amendes, boycottage de postes frontaliers, et y compris des détentions avec mise à la disposition d'autorités marocaines des prisonniers. Depuis Madrid, Carrero Blanc ordonne qu'on divulgue exactmente les termes de la déclaration d'indépendance pour éclairer clair le fait qu'ils n'affectaient pas les territoires de l'AOE ni Tarfaya, bien qu'on commence à émettre des ordres dans le sens de concentrer les forces les bases centrales, et Sidi Ifni, en laissant dans le domaine des policiers indigènes avec des instructions peu de claiux.

Plusieurs jours après l'indépendance du Maroc, sont arrivés à Sidi grand Ifni nombre de Marocains dans l'intention de visiter celui-là "ville marocaine", parce qu'il y avait un grand désaccord étant donné une politique desinformativa calculée du côté marocain, qui a fait courir le bulo dont Ifni et Tarfaya allaient dans le paquet de territoires descolonizados. En suivant des instructions de Madrid, on a reçu, de la prévenance et elle a accompagné dans sa visite à la ville à ces "touristes".

En prévision dont tels laisseraient de de sérieux, le vice-amiral Cervera a ordonné plus au Groupement d'Infanterie de Marine des Iles Canaries renforcer Sidi Ifni. Pour cela on a constitué une unité opérationnelle à la commande du lieutenant le colonel Antonio Lerma Gurtubay, en requisando pour son transport le navire marchand Leon et Château. Le 14 avril 1956 il est fait à la mer et cherche en Port du Rosaire le 16 dans l'attente d'ordres. Dominée, en partie, la situation, il paraît recommandable de retourner à Las Palmas pour ne pas chauffer plus les esprits de de ce qui est indigènes, ce qui est effectué.

Le général Brun de Santayana réduit avec une grande habilité le nombre de "touristes" marocains dans la ville. Par certain, qui un système très efficace pour calmer les esprits a été celui d'organiser comilonas ce qui est indigènes et étrangers avec assistance aussi de commissions de chrétiens. L'agneau avec beaucoup d'épices, les pâtes très sucrées et le thé dulcísimo, unis "à de répétées douches" de colonies et à d'incensaciones continues, causaient de sains effets de distension.

Une de ces festivités morunocristianas organisée par celle Armée dans la plage de Sidi Ifni et présidée par le Commandant Militaire de Marine, Capitaine de Frégate José López-Aparicio García, a servi à serenar les esprits exaltés à un groupe de "touristes" d'Agadir, à auxquels les ils avaient inculqué des idées troubles sur les crimes et maltratos à baamaranis par l'Espagne. Au milieu de la festivité tous étaient déjà "frères", et à son terme la "fraternización" est arrivée à des extrémités insoupçonnées.

Madrid ne s'fiait pas, et vu l'aspect des événements il décide de renforcer les garnitures d'AOE. Cela va supposer de transporter des troupes, véhicules, armement, munitions, équipements, vivres et combustible, ainsi que d'assurer des convois et des zones de débarquement. Il est à à celle Armée et à l'Armée de l'Air à auxquelles les il va revenir de développer une mission tellement vitale.

On peut affirmer que le renforcement a été entamé le 7 mai 1956, quand la croisière Amiral Cervera et la Mars minador transféreront au I Drapeau Parachutiste de l'Armée de Terre depuis Cadix à Fuerteventura, en arrivant à Port Rosaire le 9.

En juillet 1956 le I Drapeau Parachutiste est envoyé depuis Fuerteventura, où il attendait des ordres, à Ifni, pour renforcer le dispositif de défense dans ce territoire, en arrivant à Sidi-Ifni le 24 juillet à bord de la corvette Osée et de l'Eolo minador.



QUEL ÉTAIENT L'ENNEMI ?

Nou on peut comprendre le conflit d'Ifni-Sáhara dans 1957-58 sans avoir une petite idée de la situation au Maroc proche, durant les années précédentes à ces faits. En extrayant avec "le manifeste du parti de l'Istliqlal", les mouvements nationalistes marocains forment en février 1944 l'Armée de Libération, mouvement partisan qui groupait des gens très disparates, comme rifeños, berebéres, arabes des quartiers populeux les villes marocaines, et les montagnards de l'Atlas, unis par l'objectif commun de mettre fin au colonialisme, en principe français, en entamant une campagne violente terroriste contre des Européens et indigènes loyaux à la France. En principe, l'Espagne de Franc avait donné refuge dans sa partie du protectorat aux nationalistes marocains antifranceses.

En mars- avril les 1956 Frances et l'Espagne ils accordent l'indépendance à ses territoires marocains respectifs, qui restent sous le gouvernement du roi Mohammed V, qui voyage inmediatmente à Madrid à se réunir avec Franc celui qu'il exige Ifni et Tarfaya, ce à quoi le dictateur espagnol refuse entièrement.

l'EdL avait dans sa composition variopinta plusieurs ailes qui allaient depuis les nationalistes monarchiques à à ce qui est révolutionnaires anti-monarchiques à image du Nasser égyptien, passer par des tribus méridionales indómitas qui voulaient simplement maintenir leur statu quo d'indépendance tribale face à des pouvoirs étrangers le parti nationaliste Istliqal entre dans les gouvernements de Mohamed V, uni au Roi par leur méfiance mutuelle vers ce qui est révolutionnaires panmagrebíes. l'État naissant est doté des Forces Armées Réelles puissantes, avec beaucoup de tableaux de commande des troupes coloniales françaises, et d'un service de Sécurité Nationale, à la commande du nationaliste Laghazaui. Il faut faire le compte rendu comment le nouveau royaume a une élite politique, intellectuelle et militaire, souvent très francophile, et comment le poids du Maroc "espagnol" est laissé remarquer très peu dans ce dernier, bien qu'avoir servi de contrepoint au protectorat français strict, et de refuge des nationalistes marocains face aux persécutions galas.

Mohamed V appelle à lui rendre fidélité aux chefs les plus monarchiques que l'EdL, en obtenant que beaucoup de d'eux accèdent, en les intégrant dans les FAR. Ensuite on entame une campagne d'élimination au moyen du terrorisme d'état des chefs non sumisos de propos EdL. Pour l'instant, les noyaux du nord et centraux de l'EdL restent sous contrôle (le mouvement independestista rofeño arriverait à exploser en 195 . Reste dans le sud une importante bourse de bandes armées de l'EdL, disposées à faire face en pouvant français colonial en Mauritania en se profitant du matelas qui lui offrait l'AOE, dont les autorités maintenaient la politique de "laisser faire"..

Vers le milieu de 1956, l'Istliqal exécute un jeu politique magistral en reconvertissant les théories "du Grand Maghreb" de différents secteurs (entre eux l'EdL) dans la théorie du "Grand Maroc", non exempt de faim sur les richesses minérales de l'Algérie, Mauritania, le Mali et le Sahara espagnol. Effectivement, le 7 juillet 1957 est publié dans le journal de l'Istliqlal un croquis du "Grand Maroc" qui comprenait Ifni, Tarfaya, le Sahara espagnol, la Ceuta, Melilla, les îlots, Mauritania, les Iles Canaries, part de l'Algérie, et du Mali. Cette idée n'est pas vue avec de mauvais yeux depuis le trône, que de l'assumer et triompher il signifierait la "gloire" de restituer des territoires inmesos et des richesses à la "mère patrie", et de manquer, il signifierait l'exterminio de de ce qui est extremistas des bandes de l'EdL du Sud, qu'ils avaient rejeté intégrer dans les FAR.

Ainsi, commencerait l'infiltration des agents de l'Istliqlal dans l'AOE et les campagnes, chaque fois plus agressives et effrontées de l'EdL du Sud contre les territoires coloniaux français depuis l'AOE.

En juillet 1956 un commandant de l'EdL appelé se présente devant les autorités d'Ifni Mohamed ben Hammuch, alias Ben Hammu, ex- sous-officier de l'Armée Coloniale française, qui avait été abritée dans le Protectorat espagnol par ses activités antifrancesas. Occupé par les autorités locales, il a manifesté son manque de mauvaises intentions vers l'Espagne et son intention de passer à travers l'AOE à la Mauritania française pour attaquer aux français.

Madrid essaye de gagner du temps et il leur donne tu lâches tandis qu'on dispose à compiler une information sur l'organisme des bandes de l'EdL dans le côté marocain de la frontière sont localisés d'importants effectifs en Tafnidilt et Aaiun de Dra, à l'autre côté de la frontière. On presse aussi au Maroc diplomatiquement sans recevoir une solution satisfaisante.

En septembre, Ben Hammu se et annonce son intention d'interner en Mauritania à travers la frontière du Dra en principe avec des fins propagandistes. Cyniquement, et devant le manque d'ordres clairs depuis Madrid, leur on autorise à transiter pourvu qu'ils le fassent avec des vêtements saharauis et dans de petits groupes.

L'implication alors du prince serait claire par les services d'information francoespañoles Muley Hassan (plus tard Hassan II) dans les agressions contre les puissances européennes dans la zone, celui qui arriverait à assumer dans le conflit d'Ifni la direction stratégique des opérations, en transférant des fonds et de l'armement (y compris de grandes quantités d'armes faites don par Franc pour armer aux FAR naissants) aux bandes, ainsi qu'à l'appui logistique et qui aurait beaucoup voir avec la retenue, jusqu'à mai 1959 de 40 Espagnols, entre eux les familles de la lumière d'Extrémité Bojador.

Non esde étonner qui le Maroc ne porterait jamais le cas de ses réclamations sur la province de Tarfaya au Tribunal International de Justice de Haye, comme lui a proposé l'Espagne, quand en août 1957 elle a publiquement exigé sa livraison avec l'enclave d'Ifni.

Le 14 octobre 1957, le Maroc présente le cas dans l'ONU, dans les veilles de l'attaque généralisée des bandes dans l'AOE, étant significatif qui s'opposerait déjà alors à ce que Mauritania, Ifni et le Sahara espagnol étaient considéré comme territoires non autonomes, en vue de la IV Commission de Décolonisation, en alléguant que des membres du Maroc sont des parties.

Le 10 novembre 1957 on croit dans le Ministère de l'Intérieur marocain la "Direction Générale d'Affaires Sahariennes et Frontalières", à l'avant dont est placé Allal le Fassi, promoteur de l'idée du "Grand Maroc".

ESPIONS, MERCENAIRES et DÉSERTEURS

Il ne faut pas étonner qui l'immense départ d'échecs qui était joué dans tout le Maghreb et le Moyen-Orient, affecterait notre petite enclave. D'une part, la France et la Grande-Bretagne s'étaient opposée à la nationalisation égyptienne du Canal de Suez menée à bien par le régime panarabista égyptien de Nasser., et ont exécuté une opération ensemble- combinée contre Suez, entre octobre et novembre 1956, alliés circustancialmente à l'Israël, qui a obligé aux USA à exercer toute sa capacité de "persuasión" face à ses alliés occidentaux pour qu'ils renoncent devant les menaces soviétiques d'intervenir. Le retrait francobritánica a augmenté le prestige de Nasser devant ce qui est révolutionnaires de tout le Maghreb. Le conflit sauvage en Algérie menaçait d'arriver à déstabiliser le récemment libéré royaume de Maroc, parce que des secteurs extremistas, beaucoup de d'eux dans les files de l'EdL, plaidaient pour un appui décidé au FLN tandis que le régime se méfiait des guérillas algériennes.

Les services d'intelligence américains suivaient très près des événements dans le Maghreb, et n'étaient pas du plaisir d'un Maroc révolutionnaire qui offrirait sortie à l'Atlantique à à ce qui est soviétiques, qui ont toujours montré un grand intérêt pour les eaux canari- sahariennes.

Ainsi, Mohamed V était bien vu par les USA comme garant non de la infiltration communiste dans le Maghreb occidental. Bien qu'ils viennent de signer les Accords de Coopération les USA, il n'est pas moins certain que le régime franquiste n'était pas vu avec de bons yeux par de vastes secteurs américains, qui n'oubliaient pas leur alignement proEJE dans la première moitié de la SGM, et qui ne viennent pas de s'fier de Franc ou de la survie politique de leur régime ; a priori un Sahara Occidental n'était pas mauvais jeu entre les mains d'un contrôle alauí ferré. Les USA maintenaient des bases et des installations au Maroc, comme celle de Kénitra, et, certaines de ces installations "serait expoliada" accidentellement "" par l'EdL avant son attaque contre l'AOE ; les USA pouvaient parier au jeu de Mohamed V sans être impliqué le lui plus minimal.

Il n'était aucun secret qui le régime franquiste, porté par sa nécessité d'accords internationaux pour sortir de l'isolationnisme et du blocus à auquel on avait soumis après la SGM, avait réduit les minimum négociateurs avec les Américains, jusqu'à la limite de recevoir très peu (de moins que des pays comme la Grèce, la Turquie, le Brésil et y compris la Yougoslavie de Tito) au lieu d'offrir à l'US Navy et la l'USAF immenses facilités de transit et de règlement. Y compris un certain personnage aussi influent face à Franc que Carrero Blanc méfiait profondément des Américains.

Une autre "occasion" sera le veto du Président Eisenhower au déploiement dans l'AOE de du modernes chasses "sabre" et des voitures de combat cédées à l'Espagne en vertu des Accords de Coopération Bilatéraux.

Dans les mois bruyants qui vont depuis l'indépendance marocaine au début des opérations en Ifni-Sáhara, ils apparaissent divers commerçants d'armes par le Maroc, comme ex- le colonel du SUIV. Franz Wimmer, alias "Bubi", qui il a fait que tient celles appelées "bicyclettes de Bubi", - caisses de canons mitrailleurs -, et ses "caisses de citrons", chacune avec 1000 cartouches.

De même, les bandes de l'EdL sont nourries de déserteurs des armées français et espagnol, qui apportent leurs connaissances techniques à ce qui est guerilleros.

L'ÉQUIPEMENT de l'EdL

Les combattants des bandes de l'EdL ont employé souvent un armement caractéristiques égales ou supérieurs que les soldats espagnols ; canons Lebel de de 8 mm des excédents français livrés localement, quelque 600 fusils-mitrailleur de plusieurs types d'origine espagnole et qu'avaient été à l'origine fait don pour équiper les FAR, 60.000 cartouches de de 8 mm des poudres d'Agadir, mortiers de de 50 et 81 mm, six autoametralladoras semiorugas, plusieurs dizaines de camions GMC et de jeeps, présumément volés des bases américaines, divers véhicules volés localement, et un grand nombre d'armes collectives et individuelles de divers types ; quant à des vivres, disponíam de beaucoup gagné volé ou requisado, et, de nouveau le soupçon, de grandes quantités de lait en poudre "in made UTILISE".

LA BRIGADE DE PROFESSION DE MARIN D'IFNI

En retournant à Ifni, le territoire il était approvisionné par la plage de Sidi Ifni. l'Unité de Mer d'AOE, composée d'indigènes, il y avait le transport navire- plage. Étant faibles ses effectifs il était contracté par jour à à tout celui qui voudrait démontrer valeur en évitant les "sept vagues", tant à celle allée comme au retour. Celle "porte" vitale commence à se ressentir par les grèves des composants de l'Unité, qu'ils refusent de décharger déjà des approvisionnements militaires aider à débarquer des troupes.

Pour résoudre une telle situation, le vice-amiral Cervera a disposé la création "de la Brigade de Profession de marin d'Ifni", dont la mission sera de compléter la tâche du mouvement navire- côte, ou d'effectuer lui seule par cas que l'Unité de Mer soit résistée. Le 13 juin arrivent quelque cent marins à la commande du lieutenant Antonio Sánchez Pastor pour développer une mission logistique tellement importante. Jours ensuite l'agent de maîtrise s'incorpore premier Fernando Bonachera Vázquez.

Les jours que la plage est "ouverte" les marins travaillent généralement, en ramant et ensuite en déchargeant, quatorze heures et trempés. Il dure suprêmement il est sa mission, mais est garantie que le combustible pour les avions et la centrale électrique la ville, ainsi que les vivres et pertrechos, ne manqueront jamais.

La logistique était essentiel, décisive : celle Armée le savait et s'occupe avec ses hommes, ce qui est barcazas k- 1 et k- 2, les remorqueurs RA-1 et RA-2, citernes (A 4), etc.... ainsi qu'avec les navires destinés dans la de base approbation de Las Palmas ; d'autres viennent renforcer : canonnière Magallanes, minadores Neptuno y Eolo.. haciendo se voir, des fois dans des missions de surveillance en traînant la côte et d'autres en effectuant des transports aux territoires.

LES FORCES ESPAGNOLES EN IFNI AVANT LA MANIFESTATION DE LA GUERRE

On trouvait les Tabores I, II, et IV du Groupe de Tireurs d'élite d'Ifni et un Groupe d'Artillerie de Montagne (quelque 1500 hommes), avec des détachements petits et peu pratiques distribués par la géographie du territoire, indépendamment d'unités de Policier Indigène, Unité de Mer, et de l'EdA dans l'aéroport de Sidi Ifni.

Le 24 janvier 1957 il embarque le II Drapeau Parachutiste en Cadix à bord du Neptuno minador et le transport Tarife, qui arrivent face à la plage d'Ifni le 26, en cherchant. Étant donné l'état de la mer, on n'entame pas les opérations de barqueo jusqu'à le 30, Deux compagnies (6ª et 9ª) du II Drapeau ont desmbarcaron le 31 janvier depuis le Neptuno, tandis que le Tarif se dirigé le jour précédent à Las Palmas pour carbonear et charger des vivres, en débarquant 156 parachutistes du II Drapeau, et en embarquant 76 du I. Le mauvais temps a obligé à suspendre l'opération, en effectuant postérieurement la décharge par l'intermédiaire d'aérienne depuis Gando, de sorte que la décharge des deux drapeaux ait duré 19 jours.

VERS LA GUERRE

Chaque fois ils étaient les plus grands les effectifs des bandes armées de l'EdL. Ils sont chiffrés, dans les débuts de de 1957, dans quelque 5.000 au guet à la frontière du Maroc avec Ifni.

Entre avril et juin il y a plusieurs tentatives que causent plusieurs morts entre les forces indigènes loyales à l'Espagne. Comme réponse, à plusieurs agents et dirigeants locaux de l'Istiqlal s'arrête qui sont étonné à Fuerteventura, en provoquant des grèves et des actions de protestation.

En juin 1957 on détecte la présence d'un fort départ de guerilleros des bandes de l'EdL en Ifni ; on envoie depuis Ville Cisneros une compagnie legionaria du IV Drapeau à bord de la corvette Osée.

Commencent les sabotages contre les lignes téléphoniques qui unissent les différents postes militaires de l'intérieur avec Sidi Ifni. Le 23 juin, en accomplissant l'âge réglementaire, cesse comme gouverneur le général Brun de Santayana, en nommant au général Mariano Gómez Zamalloa et de Quirce. Commencent les escaramuzas frontalières, comme celle de du 2 juillet 1956, quand un groupe d'hommes armés, alléguant agir aux ordres du gouverneur d'Agadir, arrêtera deux camions du Groupe de Tireurs d'élite d'Ifni, dont les chefs résolvent la situation après plusieurs gestions. Ces incidents augmentent progressivement à la frontière d'Ifnl avec le Maroc.

Le 27 juillet 1957 l'Assemblée de Défense Nationale, présidée par Franc, décide une série de mesures pour arrêter l'infiltration marocaine dans l'AOE, celui appelé "Plan Madrid", consistant une série de phases successives, qui allaient depuis la pression diplomatique à l'action armée, pour déloger aux bandes de l'AOE, mais il n'a pas beaucoup de du succès..

L'aube de du 4 août un incident foncé se produit quand malgré la surveillance on déclarera un incendie violent dans les réservoirs de boîtes de combustible de la Compagnie ATLAS dans la plage de Sidi Ifni. On manquait de modernes moyens d'extinction de cette classe d'incendies, en perdant 60.000 litres de différents combustibles.

Le 11 août est attaqués avec feu de canons des mitrailleurs depuis le poste de Tiguist Igurramen une patrouille militaire quand il protégeait à un équipement chargé de réparer une ligne téléphonique coupée. En étant su il détache de Sidi Ifni un Heinkel-111 en mission reconnaissance et attaque. Finie la mission et en évoluant pour atterrir est tombée à la mer, en disparaissant. Par Décret Réservé du Quartier général de l'État "on déclare zone d'opérations l'ensemble des territoires de l'Afrique Occidentale espagnole depuis les zéro heures de du 11 août 1957".

LA GUERRE

Dans les veilles le 23 novembre, les effectifs espagnols en Sidi Ifni étaient quelque 2700 hommes dans la ville, la plage, l'aérodrome et les installations, appartenant aux forces de des trois armées, et de quelque 600 dans les postes extérieurs le long du territoire, la majorité indigènes. Du total de ces forces, il y avait quelque 700 indigènes, dont la loyauté pourrait souvent être considérée comme incertaine. de fait, il pourrait postérieurement être vérifié comment des postes isolés, défendus par policier indigène, seraient livrés à l'ennemi sans lutte, bien qu'il y ait eu d'autres cas de résistance héroïque.

Le 21 novembre 1957 le soldat indigène nombre 3.651 du Groupe de Tireurs d'élite d'Ifni révèle à son chef de Compagnie, le capitaine Rosaleny, l'imminence d'une attaque au territoire par des bandes armées provenant du Maroc, confidence à son tour causée par une indiscrección de parent de de cet indigène. Les plans révélés prévoyaient une attaque massive aux 06:30 h du 23, étant ses objectifs les poudres, les réservoirs de combustible, et l'élimination physique des fonctionnaires européens dans leurs maisons. Le Général Zamalloa ne jette pas en couche cassée la confidence.

Le 22, devant les indices évidents d'une attaque imminente, on dicte un Ordre de Défense qui stipule que les Tabores de de Tireurs d'élite de 2º et 4º s'occuperont du périmètre extérieur ; le Groupe de Policier de la sécurité intérieure, et le II Drapeau Parachutiste comme réserve.

Ce même jour 22, Remigio Payent, commerçant de la ville, en retournant d'Agadir il est arrêté à la frontière par l'armée de libération marocaine, en requisando lui la voiture ; il obtient arriver à pied jusqu'au poste de Tabelcut, depuis lequel on informe au général Zamalloa.

Dans celle commencée à faire nuit de ce jour, dans le casino de Sidi Ifni, les lieutenants du Groupe de Tireurs d'élite fêtaient celle écartée de de célibataire de d'un de d'eux ; entre rapide le conducteur de l'autobus : "Les mes lieutenants - il dit -, qui montent urgemment au Groupe". Ils sont incorporés, ils s'habillent de campagne et mettent de leurs unités à occuper les positions prévues. Il manque de faibles heures pour qu'explose la guerre.

Aux zéro heures de du 23 novembre 1957 sont coupées toutes les lignes téléphoniques avec les postes de l'intérieur. Aux 05:30 h les premiers tirs se produisent en découvrant les sentinelles ombres qui essayaient de s'infiltrer dans les poudres (quelque 30 guérillas). Aux 07:00 h, on répète les attaques, 200 guérillas essayent de s'infiltrer dans la ville avec des camions, en arrivant à marauder par l'aéroport, tandis que la population indigène reste passive. Les attaquants sont rejetés, ils laissent une demi - douzaine de morts et on capture onze hommes. Ils manquent aussi dans leur tentative d'occuper posicionesen les hauteurs qui dominens la capital.

Le territoire d'Ifni est envahi par des bandes armées en provenance du Maroc. Les agresseurs encerclent les postes militaires Tiliuin, Tamucha, Tagragra, Tiugsa, Tenin d'Amel-Iu, Tabelcut, le Mesti, Hameidut et de Telata d'Isbuía; dans certains il y a des familles abritées ; ils peuvent seulement relier au moyen précaires de radios ceux qui disposent de d'elles. Quelques postes tombent en pouvoir de l'agresseur, les autres sont défendus dans l'attente d'aide.

Le 23 novembre 1957 on envoie par voie aérienne depuis l'Aaiun à Sidi Ifni la VI Bra. de la Légion. Le 27 on entame le pont aérien qui transférera au I Bra. PAC. depuis Getafe à Sidi Ifni. Arrivent deux compagnies d'infanterie du batallón de Fuerteventura.

Des navires de notre Flotte naviguent par des eaux proches aux territoires dans l'attente d'entrer en action. La Brigade de Profession de marin d'Ifni, envoyée par le lieutenant de navire Ricardo Saavedra Montero, continue avec sa mission dure, qui, chaque fois, atteint une plus grande importance pour la défense et pour préparer la contre-attaque liberador des postes encerclés.
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Devant la situation de guerre ouverte, le vice-amiral Cervera ordonne qu' une compagnie de mitrailleuses du Groupement d'Infanterie de Marine se transfère à Ifni pour défendre la plage à tout prix. Dans l'aube de du 30 novembre ils détachent de l'aéroport de Gando les avions t- 3, qui la transportent et, après bref vol, ils sont préparés pour l'attérrissage dans l'aérodrome de Sidi Ifni, sur lequel couraient des bruits qu'il était combattu par sa possession. Envoyait la compagnie le capitaine Francisco González Ibáñez ; les lieutenants Antonio Sánchez Pastor, Rafaël Vallée Rodriguez et Angel Abia Gómez. Comme il rapporte le Cte (IM) Sánchez Berger:

"Anecdotique a été l'attérrissage de la compagnie de mitrailleuses. Le mauvais temps régnant et le manque d'adéquat vestiaire de campagne ils ont motivé le pasmo du capitaine de l'État Plus grand du gouvernement d'Ifni, qui à recevoir à la compagnie et lui a donné des instructions. Il rodait encore les 3 de tête quand ce fonctionnaire s'est approché à l'avion et son étonnement n'a pas eu de limites en voyant sortir déjà de son intérieur à un capitaine un lieutenant en saisissant chacun des fusils-mitrailleur Z-45, avec des uniformes "gris uralita", bottes "chiruca" couleur grenat, la vareuse bleue sur laquelle ils installaient correaje marron, et couverts par le casque gris à auquel le vent essayait de couvrir avec la capucha de la vareuse, suivis par des soldats de gris, avec des vareuses bleues d'emblèmes rouges vifs, boutons dorés, casques gris et que portaient petates des blancs. "Mais vous à auxquelles c..vienen!" ça a été la phrase du capitaine surpris avec des yeux d'étonnement. On lui a expliqué que c'était le vestiaire réglementaire de l'Infanterie de Marine pour campagne. La compagnie est rapidement mise à occuper des positions dans la plage pour sa défense à tout prix, en occupant pendant un temps un quart consistant un caserón à pied de plage ".

Sont aussi envoyés les Batallones Soria 9, Pavie 19 et Cadix 41 plus un Groupe d'Artillerie pour renforcer le dispositif de défense et s'occuper des opérations ultérieures defensivas.parte de ces forces sont débarqué entre les 29 et 30 grâce aux boîtes de du Canarien, les moyens de l'Unité de Mer, et ceux propres d'un certain transport civil de de transméditerranéenne impliqué.

Le même 24 novembre, sale de Sidi Ifni dans trois camions, en escortant une ambulance avec personnel sanitaire, la section parcaidista du lieutenant Ortiz de Zárate, renforcée avec une section mitrailleuses et personnel transmissions et sappeurs, avec direction au poste de Telata, avec la mission de relier et évacuer aux blessés, en étant harcelé par l'ennemi jusqu'à un tel point que doit se rendre fort dans une position d'occasion dans le Sommet Agri, à quelque 3 km au nord de ce poste, en perdant la vie le lieutenant lui-même et plusieurs de ses hommes.

Entre les 24 et 25 tombent en pouvoir des bandes de l'Armée de Libération les postes Tabel-cut, Hameiduch, Bifurna, Tamucha, Sidi Borya, Sidi Uarsig, Sidi Mohamed ben Daud y Ug-Gug.

Depuis le même le 23 ont commencé les difficiles tâches d'abstecimiento desd l'air des positions assiégées, et il est commencé à faire la provision hommes et matériaux nécessaires pour sa libération.

Le 27 novembre, en naviguant à la longueur des côtes d'Ifni, la croisière les Iles Canaries il bombarde différents objectifs ennemis dans les contiguïtés de la côte.

Le 29 novembre on exécute l'Opération "Mouchoir" par laquelle sont lancées, avec un fort appui aérien, deux sections parachutistes plus un carré de mortiers depuis niveau très bas sur le détachement de Tiluin pour éviter leur tombée entre les mains de l'ennemi.

De de la 1 à au 5 décembre on développe l'Opération "Netol"; les colonnes motorisées avec appui aérien dégagent aux survivants de plusieurs postes, ainsi que ce qu'il restait de la section du lieutenant décédé Ortiz de Zárate, en retirant ensuite à Sidi Ifni

De des 5 à au 8 décembre on mène à bien l'Opération "Gento", en dégageant au prix de forts des combats aux défenseurs des postes Tiugsa et de Tenin. Le 8 décembre, fête de la Concepcióri lnmaculada, toutes les colonnes et ceux libérés se trouvaient en Sidi Ifni. Le reste du territoire est abandonné. L'artillerie des navires dans des missions d'appui de feu naval a coopéré dans ce que leur on a sollicité.

Le 7 décembre est envoyé depuis la péninsule le 1er. Nuée Parachutiste de l'Armée de l'Air.

Dans le matin le 9 décembre on reçoit par télégramme l'I.G. 357-15 de l'E.M.C.que ordonnait d'une façon excessivement détaillée, sans laisser lieu à la capacité de manoeuvre du Chef du Théâtre d'Opérations, est établissement d'une ligne de défense à à ce qui est rededor de Sidi Ifni qui devait être défendu à tout prix. On dit que ça a été le Franc, très studieux lui-même du combat de défense, celui qui a conçu la ligne. Le dispositif est entamé le 10, même si pour leur fonctionnement parfait on avait besoin postérieurement de plusieurs opérations qui rectifieraient le périmètre..
 
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