Casablanca s'elébre son 12 eme festival de livre et d'edition, des centaines de pays y participe, les livres sont variantes de toute les langues, les plus principales : français , amazigh, arabe, espagnole, anglais.....des titres qui ont deja etaient les années précédentes et d'autres qui sont née cette année présente, des livres qui m'ont toujours plu, et des ecrivains qui etaient là, j'etais là aussi, entrain de contempler les couleurs des livres, quand j'ai apperçu une personne que je connais , et que j'apprécie, sans que jamais on s'est rencontrer, on a jamais parler, et nos mains ne se sont jamais saluer, car je le connais , mais il ne me connais pas, je le connais de loin, tout simplement il etait un ecrivain tout jeune au debut de sa carriére, et que mon pére etait l'homme qui l'avait soutenu pour editer ses premiér livres, d'aprés les paroles de mon pére à chaque fois que cet ecrivain apparu à la telé, j'ai pu avoir une solide idée de lui, de sa personne, et de sa vie familial, c'est le combattant, le pauvre issue d'une famille paysane, il a beaucoup sacrifié pour terminer ses etudes de la fac, et car lui et mon pére se sont connu dans les années soixantes, mon pére etait commerçant, lui etudiant ....son premiér livre etait edité graçe à l'assistance financiér de mon pére, et depuis ma tendre enfançe et à chaque fois que je vois l'homme apparaitre à la télé, je reste yeux et oreilles bien fixé sur ses paroles et ses débats, et voilà que je le rencontre façe à façe , j'etais si contente que je lui ai sourié, lui tendre la main, en prononçant son nom, signe que je le connais....lui ausi m'a sourié avant qu'il me demande...: qui es tu, je ne vous connais pas.
-bien sur vous ne me connaissiez pas, puisequ'on s'est jamais rencontrer..., mais j'ai lu vos livres, et j'apprécie une d'elle que je garde dans ma petite bibliothéque..
l'ecrivain etait entousiaste, comme moi d'ailleurs, puis j'ai dis avec un ton un peu timide:
- vous savez, j'ai des essaies en ecritures, et je souhaite que vous les liser, et que vous me donnez votre avis la dessus...
l'ecrivain a mis sa main à l'interieur de son monton, et fut sorti son portefeuil, puis il m'a donné sa carte visite, j'etais si contente que je n'ai pas hesité à lui dire d'autres choses qu'il a fallu peutetre ne pas dire, ce n'est pas car j'avais eu tort, mais car on s'est jamais la vérité d'une personne.....je me suis précipité a dire, toujours avec ce sourire lumineux:
- tout à l'heure vous m'avez dis que vous ne me cnnaissiez pas, mais moi je vous connais depuis ma tendre enfançe.
son sourire large est toujours gravé sur son trait, malgré que dans ses yeux est refletté une lueure ou est la question que je n'ai pas attendu qu'il la pose, puuiseque je la connais , je lui ai repondu:
- tu connais un homme de ce nom -et j'ai prononçé le nom de mon pére.-..., devant son silence, et ses yeux qui me regardent cette fois sans leueure et sans ce sourire au trait , dis avec certitude qu'il se souvienne de lui:
- et bien c'est moi sa fille, c'est vous le premiér ecrivain que j'ai connu car vos livres etaient les seuls que je vois chez mon pére....j'avais voulu lui dire autre choses, contunuer a parler , a discuter, peut etre je l'inviterais au café du festival, je pourrais labas lui parlerais des thémes préféré dans mes ecritures, j'ai tant voulu...oui, mais l'ecrivain a sourié ; mais ce sourire est different, celui là etait bizarre, anormal, froid, ...avant méme que je n'ai le temps de dechifferer le secret de ce sourire, l'ecrivain m'a dis d'une voix un peu haute, avec un rire qui m'a parru etrange.....: ah oui cet homme, ton pére, oui oui je m'en souvienne, ....il ne t'a jamais dis que c'est moi qui l'avait sauvé d'un voleur!!!!!!!!!!!!!!!!,
- c'est vrais !
- ah il vous as raconté des choses , mais pas celle ci. l'ecrivain a detourné son dos, et parti loin.
en le voyant entrain de partir loin, je l'ai appelé, il s'est detourné, j'ai vu ses yeux ou cet ombre que je ne peux oublier, je lui ai dis : aurevoir
ses traits figé, toujours froid, il a fait un signe de sa téte, seulement de sa tete, ni un mot, ni un sourire, et cet ombre dans ses yeux...
j'avais une peine incompréhensif au coeur, j'ai parti seul au cafeteria, j'ai bu un jus froid, et j'ai resté dans ma chaise seul a penser , le grand ecrivain n'est plus grand, il s'est réduit en un petit morceau d'homme, j'etais triste pour cela, d'avoir vu combien je donne plein d'imortance à ceux qu'il ne le meritte pas, dans son attitude j'ai compris ce qu'un fils de pauvre quand il sera riche, quand il voudera oublier son ancien pauvereté, son ancien vie, son passé douleureux, ça suffit pour certains s'ils sont parmis les grands , ceux sur qui on aime doigeter avec fiéreté, et on dis voila combien ils ont pu reussir, on les voit parmis les politiciens, parmis ceux qui embrassent la main du roi, parmis ceux qui sont invité a des grands reunions, ça suffit pour eux de changer la vieille djellaba pour un monton de qualité pour qu'il oublie les vieux amis, la vieille vie de jadis, cet vie que je lui ai fait souvenir en lui prononçant le nom de mon pére, ce pére qui etait de ses vieux amis, un ami qui a soutenu le grand ecrivain quand il etait au début de sa carriére, moi aussi j'etais de ce vieux passé, c'est dans cette instant que j'ai pu comprendre cet ombre et ce rire nerveux ...je ne l'ai pas compris au moment ou il est parti sans retour,à ce moment ou je savais que je ne le rencontrerais jamais, et peut etre meme il ne sera jamais invité a la télé, meme s'il sera là, il ne sera jamais, meme s'il embrassa la main du roi, il ne la jamais embrassé, c'est seulement dans cet instant au café que j'ai bien compris cet ombre, et ce rire nerveux...
http://blog.ma/ikan
-bien sur vous ne me connaissiez pas, puisequ'on s'est jamais rencontrer..., mais j'ai lu vos livres, et j'apprécie une d'elle que je garde dans ma petite bibliothéque..
l'ecrivain etait entousiaste, comme moi d'ailleurs, puis j'ai dis avec un ton un peu timide:
- vous savez, j'ai des essaies en ecritures, et je souhaite que vous les liser, et que vous me donnez votre avis la dessus...
l'ecrivain a mis sa main à l'interieur de son monton, et fut sorti son portefeuil, puis il m'a donné sa carte visite, j'etais si contente que je n'ai pas hesité à lui dire d'autres choses qu'il a fallu peutetre ne pas dire, ce n'est pas car j'avais eu tort, mais car on s'est jamais la vérité d'une personne.....je me suis précipité a dire, toujours avec ce sourire lumineux:
- tout à l'heure vous m'avez dis que vous ne me cnnaissiez pas, mais moi je vous connais depuis ma tendre enfançe.
son sourire large est toujours gravé sur son trait, malgré que dans ses yeux est refletté une lueure ou est la question que je n'ai pas attendu qu'il la pose, puuiseque je la connais , je lui ai repondu:
- tu connais un homme de ce nom -et j'ai prononçé le nom de mon pére.-..., devant son silence, et ses yeux qui me regardent cette fois sans leueure et sans ce sourire au trait , dis avec certitude qu'il se souvienne de lui:
- et bien c'est moi sa fille, c'est vous le premiér ecrivain que j'ai connu car vos livres etaient les seuls que je vois chez mon pére....j'avais voulu lui dire autre choses, contunuer a parler , a discuter, peut etre je l'inviterais au café du festival, je pourrais labas lui parlerais des thémes préféré dans mes ecritures, j'ai tant voulu...oui, mais l'ecrivain a sourié ; mais ce sourire est different, celui là etait bizarre, anormal, froid, ...avant méme que je n'ai le temps de dechifferer le secret de ce sourire, l'ecrivain m'a dis d'une voix un peu haute, avec un rire qui m'a parru etrange.....: ah oui cet homme, ton pére, oui oui je m'en souvienne, ....il ne t'a jamais dis que c'est moi qui l'avait sauvé d'un voleur!!!!!!!!!!!!!!!!,
- c'est vrais !
- ah il vous as raconté des choses , mais pas celle ci. l'ecrivain a detourné son dos, et parti loin.
en le voyant entrain de partir loin, je l'ai appelé, il s'est detourné, j'ai vu ses yeux ou cet ombre que je ne peux oublier, je lui ai dis : aurevoir
ses traits figé, toujours froid, il a fait un signe de sa téte, seulement de sa tete, ni un mot, ni un sourire, et cet ombre dans ses yeux...
j'avais une peine incompréhensif au coeur, j'ai parti seul au cafeteria, j'ai bu un jus froid, et j'ai resté dans ma chaise seul a penser , le grand ecrivain n'est plus grand, il s'est réduit en un petit morceau d'homme, j'etais triste pour cela, d'avoir vu combien je donne plein d'imortance à ceux qu'il ne le meritte pas, dans son attitude j'ai compris ce qu'un fils de pauvre quand il sera riche, quand il voudera oublier son ancien pauvereté, son ancien vie, son passé douleureux, ça suffit pour certains s'ils sont parmis les grands , ceux sur qui on aime doigeter avec fiéreté, et on dis voila combien ils ont pu reussir, on les voit parmis les politiciens, parmis ceux qui embrassent la main du roi, parmis ceux qui sont invité a des grands reunions, ça suffit pour eux de changer la vieille djellaba pour un monton de qualité pour qu'il oublie les vieux amis, la vieille vie de jadis, cet vie que je lui ai fait souvenir en lui prononçant le nom de mon pére, ce pére qui etait de ses vieux amis, un ami qui a soutenu le grand ecrivain quand il etait au début de sa carriére, moi aussi j'etais de ce vieux passé, c'est dans cette instant que j'ai pu comprendre cet ombre et ce rire nerveux ...je ne l'ai pas compris au moment ou il est parti sans retour,à ce moment ou je savais que je ne le rencontrerais jamais, et peut etre meme il ne sera jamais invité a la télé, meme s'il sera là, il ne sera jamais, meme s'il embrassa la main du roi, il ne la jamais embrassé, c'est seulement dans cet instant au café que j'ai bien compris cet ombre, et ce rire nerveux...
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