Outroudant
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DU COQ A L'ANE : Hassania d'Agadir : un club riche, un président pauvre ! (2 août 2006)
Le HUSA a tenu son AG, demandez-en le PV à M. Ahmed Ammori. Le club du Sous a fait confiance à son Comité, reconduit, sans avoir sorti le tiers dit sortant, pour, ensuite et ensuite seulement, le faire rentrer.
Le président du HUSA en a jugé autrement et gardé son tiers, comme on l'aurait fait, ailleurs, pour sa moitié !
Et puis, n'est-ce pas le président qui a eu raison, car à quoi bon décider du tiers sortant et contraindre le pauvre législateur, à se préoccuper de l'application rigoureuse des libertés publiques, après avoir souffert le calvaire de les formaliser en Dahir ?
Alors, il est grand ou petit, le club du Hassania d'Agadir ?
Oui, grand par ses sponsors et ses anciens présidents, qui ont tous mis la main à la poche, pour se distinguer des simples adhérents.
Normal, non, qu'un président paie plus que les adhérents, sinon il n'a pas la prérogative requise pour se donner le poids du tiers et peser lourd, y compris pour bafouer la loi, au nom de l'AG, souveraine.
Oui, c'est ça la confusion, on prétexte que l'AG est souveraine et on fait passer des choses qui relèvent de l'illégalité absolue, en ignorant les textes en vigueurs.
Mais cet excès de pouvoir, qui rend possible un recours pour cassation de l'AG, il revenait à l'autre président, celui du Rachad Bernoussi, le sieur Ahmed Ammori de l'éviter, au lieu de se cantonner dans un silence complaisant et coupable.
Une AG, c'est une école de démocratie et un exercice, certes désobligeant, dans certains cas, mais il faut le faire et s'y conformer, comme l'a fait le Hassania, du temps où il avait de grands présidents, qui donnaient au HUSA, plus que l'argent de la cotisation.
Et cela était tout le temps rapporté dans le rapport du trésorier, sous la rubrique : don du président.
Aujourd'hui, on se demande ce qu'il en est devenu du son du président Abdellah Aboulkacem, que nous connaissons pour sa grande modestie et qui a certainement refusé qu'on mette son apport sur un vulgaire rapport financier, car au lieu du fric, lui il donne en matière d'expérience et d'expertise, qui n'ont pas de prix.
On n'a pas de pétrole, mais on a des idées, n'est-ce pas M. Aziz Akhenouch !
(Aghbalu: ElBayan, Belaïd BOUIMID)
Le HUSA a tenu son AG, demandez-en le PV à M. Ahmed Ammori. Le club du Sous a fait confiance à son Comité, reconduit, sans avoir sorti le tiers dit sortant, pour, ensuite et ensuite seulement, le faire rentrer.
Le président du HUSA en a jugé autrement et gardé son tiers, comme on l'aurait fait, ailleurs, pour sa moitié !
Et puis, n'est-ce pas le président qui a eu raison, car à quoi bon décider du tiers sortant et contraindre le pauvre législateur, à se préoccuper de l'application rigoureuse des libertés publiques, après avoir souffert le calvaire de les formaliser en Dahir ?
Alors, il est grand ou petit, le club du Hassania d'Agadir ?
Oui, grand par ses sponsors et ses anciens présidents, qui ont tous mis la main à la poche, pour se distinguer des simples adhérents.
Normal, non, qu'un président paie plus que les adhérents, sinon il n'a pas la prérogative requise pour se donner le poids du tiers et peser lourd, y compris pour bafouer la loi, au nom de l'AG, souveraine.
Oui, c'est ça la confusion, on prétexte que l'AG est souveraine et on fait passer des choses qui relèvent de l'illégalité absolue, en ignorant les textes en vigueurs.
Mais cet excès de pouvoir, qui rend possible un recours pour cassation de l'AG, il revenait à l'autre président, celui du Rachad Bernoussi, le sieur Ahmed Ammori de l'éviter, au lieu de se cantonner dans un silence complaisant et coupable.
Une AG, c'est une école de démocratie et un exercice, certes désobligeant, dans certains cas, mais il faut le faire et s'y conformer, comme l'a fait le Hassania, du temps où il avait de grands présidents, qui donnaient au HUSA, plus que l'argent de la cotisation.
Et cela était tout le temps rapporté dans le rapport du trésorier, sous la rubrique : don du président.
Aujourd'hui, on se demande ce qu'il en est devenu du son du président Abdellah Aboulkacem, que nous connaissons pour sa grande modestie et qui a certainement refusé qu'on mette son apport sur un vulgaire rapport financier, car au lieu du fric, lui il donne en matière d'expérience et d'expertise, qui n'ont pas de prix.
On n'a pas de pétrole, mais on a des idées, n'est-ce pas M. Aziz Akhenouch !
(Aghbalu: ElBayan, Belaïd BOUIMID)