Une convention de partenariat signée, récemment, a réuni deux organismes de grandes importance, à savoir l'Institut Royal pour la culture amazighe marocaine (IRCAM) et l'Association du Festival international pour la culture et l'art de Rabat (AFICA), dans le but de collaborer ensemble pour la réalisation des manifestations concernant le «Prix de la chanson amazighe moderne». Ainsi, ce Prix, octroyé pour la première fois au Maroc, sera organisé par l'IRCAM, du 25 juillet au 4 août, dans le cadre du Festival de Rabat, en reconnaissance à toute créativité participant à l'évolution de la culture et des arts amazighs
De ce fait, l'IRCAM s'engage à collaborer avec une enveloppe budgétaire de 130.000,oo DH (Cent trente mille dirhams) pour l'organisation de cette manifestation qui décerne ce trophée valant lui-même 50.000 DH (Cinquante mille dirhams) et collabore, également, à la préparation du programme du Festival ayant trait à la littérature et aux arts amazighs.
Dans son allocution précédant la signature, le recteur de l'IRCAM, Ahmed Boukous, a exprimé son enchantement pour cette initiative très louable. "C'est un honneur pour nous de s'ouvrir à d'autres organismes et d'autres potentialités pour pouvoir collaborer et réaliser plusieurs projets, dans le but de diffuser et faire connaître la culture amazighe", précise le professeur Boukous qui trouve en cette collaboration une occasion propice pour mettre en valeur la culture marocaine, en général, et amazighe, en particulier.
«Je pense que l'Association sera apte à faire ce travail dans les meilleures conditions, puisqu'elle cumule beaucoup d'expériences dans le domaine de l'organisation de grands événements», ajoute Ahmed Boukous.
Cette manifestation englobera, entre autres, trois nuits amazighes représentant toutes les régions du Maroc, ainsi que des tables rondes avec des chercheurs et des spécialistes dans le domaine de la culture amazighe. Le 7e Art fera aussi partie de ce festival avec la diffusion des deux nouveaux films amazighs, ainsi que les arts plastiques en organisant une exposition sur la calligraphie tifinagh.
Un programme aussi riche, sera, donc, offert au public de Rabat, durant toute la période du festival qui s'étend du 25 juillet au 4 août, renforçant de ce fait les propres paroles de M. Boukous qui a affirmé au cours de son allocution que «La diversité culturelle permet l'ouverture et le dialogue avec d'autres peuples».
Rappelant qu'en dehors du Prix de la chanson amazighe moderne, l'IRCAM décerne annuellement deux autres Prix, à savoir le Prix de reconnaissance de la culture amazighe, dont la Commission de sélection et d'octroi est présidée par le recteur Ahmed Boukous, puis le Prix national de la culture amazighe, lui-même divisé en plusieurs catégories.
Le Prix national de la créativité littéraire, le Prix national des arts, le Prix national de la pensée et de la recherche, le Prix national de la traduction, le Prix national de l'éducation et de l'enseignement, le Prix national de l'information et de la communication audiovisuelle et écrite et le Prix national du manuscrit amazigh.
Ouafaâ Bennani | LE MATIN
De ce fait, l'IRCAM s'engage à collaborer avec une enveloppe budgétaire de 130.000,oo DH (Cent trente mille dirhams) pour l'organisation de cette manifestation qui décerne ce trophée valant lui-même 50.000 DH (Cinquante mille dirhams) et collabore, également, à la préparation du programme du Festival ayant trait à la littérature et aux arts amazighs.
Dans son allocution précédant la signature, le recteur de l'IRCAM, Ahmed Boukous, a exprimé son enchantement pour cette initiative très louable. "C'est un honneur pour nous de s'ouvrir à d'autres organismes et d'autres potentialités pour pouvoir collaborer et réaliser plusieurs projets, dans le but de diffuser et faire connaître la culture amazighe", précise le professeur Boukous qui trouve en cette collaboration une occasion propice pour mettre en valeur la culture marocaine, en général, et amazighe, en particulier.
«Je pense que l'Association sera apte à faire ce travail dans les meilleures conditions, puisqu'elle cumule beaucoup d'expériences dans le domaine de l'organisation de grands événements», ajoute Ahmed Boukous.
Cette manifestation englobera, entre autres, trois nuits amazighes représentant toutes les régions du Maroc, ainsi que des tables rondes avec des chercheurs et des spécialistes dans le domaine de la culture amazighe. Le 7e Art fera aussi partie de ce festival avec la diffusion des deux nouveaux films amazighs, ainsi que les arts plastiques en organisant une exposition sur la calligraphie tifinagh.
Un programme aussi riche, sera, donc, offert au public de Rabat, durant toute la période du festival qui s'étend du 25 juillet au 4 août, renforçant de ce fait les propres paroles de M. Boukous qui a affirmé au cours de son allocution que «La diversité culturelle permet l'ouverture et le dialogue avec d'autres peuples».
Rappelant qu'en dehors du Prix de la chanson amazighe moderne, l'IRCAM décerne annuellement deux autres Prix, à savoir le Prix de reconnaissance de la culture amazighe, dont la Commission de sélection et d'octroi est présidée par le recteur Ahmed Boukous, puis le Prix national de la culture amazighe, lui-même divisé en plusieurs catégories.
Le Prix national de la créativité littéraire, le Prix national des arts, le Prix national de la pensée et de la recherche, le Prix national de la traduction, le Prix national de l'éducation et de l'enseignement, le Prix national de l'information et de la communication audiovisuelle et écrite et le Prix national du manuscrit amazigh.
Ouafaâ Bennani | LE MATIN