moi, je suis berbére, tamazighte, plus clairement sousia, plus encore chelha....en entend nous appeler par tout ces noms, et surtout le dernier, chelha. et c'est une fiereté.
pourtant, certains croient pour une raison, ou autre, que etre chelha est une sorte de handicapage, et pire encore, t'appeler devant les gens : chelh ou chelha, une intimidité??!!.
une intuimidité, pas pour le berbere chelh, non, lui , il est comme ca, chelh, Dieu l'a crée ainsi, est ce qu'on deverait etre honte de ce que nous sommes, c'est stupide.alors c'est pas un probleme pour les chleuhs de les appeler chleuhs, ou chelh, ou chelha.
le probleme est là, dans la tete, de celui ou celle qui connait ton nom, hmad ou fatim, et pourtant il trouve une quelqonque savoeur de t'appeler eh, chelh!, ou eh , chelha !!, avec une insisté sur la voyelle "ch" ils la double trois fois plus , et n'oublient pas d'y bien appuyer.
j'xagére?, non, je ne me tropme pas.
Nous sommes tous des enfants de ce bled, et on sait bien nos ruelles et nos tunelles, loin de nos facultés, de nos medias, de nos journaux, de nos partis, ou un chelh a un autre nom, ou adjectif, loin de tout ces hypochrisie culturelles, et de tout ces tableaux de multicoleur, et qu'on arrivent plus a voir la vrai couleur. il y'a un monde, pour certains, c'est un monde tres bas, inculte, arriéré, pour ces parti et ces cultuvé des universités, qui n'ont pas oujours su comment comprendre leur compatriotes hors de l'université, car je sais pas si vous l'avez constaté, comme je l'ai constaté, que ceux qui vivent au fond de la fac, ne peuvent pas se comprendre avec ceux qui sont hors de la fac, et ceux qui n'ont jamais connu le fond de la fac, s'enfichent totalement de ceux qui y resident, ils ne savent meme pas qu'ils existent, chaqun s'enfiche de l'autre, c'est une paercu generale de ce qui est notre societé.de ce qui est la culture figé au fond de la fac, et de ce qui est la culture de ceux qui cherchent a combattre les obligations de la vie. pour cela, un etudiant de lettres arabe ou geographie, deverait lui trouver une place dans la fac pour toujours, ou dans un lycée, si non, il ne saura jamais comment vivre et contunuer apres son diplome plus analphabet que jamais.
quel est donc le rapport entre un monde de cultuvé et de politiciens , et le bas monde sous terrain de notre societé, et le chelh!!
pour mieux comprendre, je racontrerer un passage d'une etape que j'ai vecu a travers ma langue vie, en verité, j'ai pas vecu une langue vie, je suis jeune comme la plupart d'entre vous, mais j'ai beaucoup travaillé, et beaucoup experimenter, que je sente que j'ai vecu 100 ans et que j'ai beaucoup a raconter a mes petits fils, si je deverais en avoir.
c'etait une journée de 2002, j'etais ouvriere car c'est le debut de ma vie professionnel, ouvriere dans un usine ou il y'avait de centaines d'ouvrieres, je dis que c'etait un bas monde, car c'est vrais, un monde qui ne sait que la force de ses bras, si non, ilne pourrait avoir le pain de ses jours, c'etait un monde ou j'ai pas rencontrer une seule femme qui sait lire et ecrire, des femmes venu de tpout les coins , pauvres, analphabetes, et toutes 3roubiyates, bien sur il y'avait des gens sympathiques, mais qu'on doit mettre un temps de les trouver tellement ils sont rare.
il y'avait une ouvriere , a chaque fois qu'elle veut m'appeler pour une quelqonque raison, elle me dit : eh chelha!, au debut, je pars a elle, et c'est ainsi pour un temps, jusqu'a que j'(ai decouvert que pour elle, m'appeler chelha , c'est pour m'intimider, alors que moi, j'ai cru que c'est car je suis chelha ethniquement.
alors chaque fois qu'on a un malentendu, elle se precipite a ses amies, les autres ouvriers, et leur racontent des blagues sur les chleuhs, et n'oublie pas de me crier dessus, eh chhhhhelha, accompagnant de ses rires insensé.
je n'ai jamais discuter avec elle, malgré que j'ai attendu le moment convenable, jusqu'un jour, elle m'a crier comme topujours eh chhhhhelha, je lui sourier en disant: tu sais mbarka, pourquoi je t'adore?...elle etait etonnée car tout le monde sait qu'on se mefier.je lui ai dis: tu ne le sais pas?, c'est car tu m'appel par le plus beau nom que j'aime, quand tu me dis chhhelha, tu me fais si contente ma tout jolie mbarka!!!
et depuis, elle ne m'a jamais appeler chhhhelha.
pour un cultuvé de la fac, ou un politicien d'une parti, et une mbarka 3roubiya, il n'ya qu'un seul file entre eux, la meme stupidité coloré de plusieurs couleurs.
mon paradis
pourtant, certains croient pour une raison, ou autre, que etre chelha est une sorte de handicapage, et pire encore, t'appeler devant les gens : chelh ou chelha, une intimidité??!!.
une intuimidité, pas pour le berbere chelh, non, lui , il est comme ca, chelh, Dieu l'a crée ainsi, est ce qu'on deverait etre honte de ce que nous sommes, c'est stupide.alors c'est pas un probleme pour les chleuhs de les appeler chleuhs, ou chelh, ou chelha.
le probleme est là, dans la tete, de celui ou celle qui connait ton nom, hmad ou fatim, et pourtant il trouve une quelqonque savoeur de t'appeler eh, chelh!, ou eh , chelha !!, avec une insisté sur la voyelle "ch" ils la double trois fois plus , et n'oublient pas d'y bien appuyer.
j'xagére?, non, je ne me tropme pas.
Nous sommes tous des enfants de ce bled, et on sait bien nos ruelles et nos tunelles, loin de nos facultés, de nos medias, de nos journaux, de nos partis, ou un chelh a un autre nom, ou adjectif, loin de tout ces hypochrisie culturelles, et de tout ces tableaux de multicoleur, et qu'on arrivent plus a voir la vrai couleur. il y'a un monde, pour certains, c'est un monde tres bas, inculte, arriéré, pour ces parti et ces cultuvé des universités, qui n'ont pas oujours su comment comprendre leur compatriotes hors de l'université, car je sais pas si vous l'avez constaté, comme je l'ai constaté, que ceux qui vivent au fond de la fac, ne peuvent pas se comprendre avec ceux qui sont hors de la fac, et ceux qui n'ont jamais connu le fond de la fac, s'enfichent totalement de ceux qui y resident, ils ne savent meme pas qu'ils existent, chaqun s'enfiche de l'autre, c'est une paercu generale de ce qui est notre societé.de ce qui est la culture figé au fond de la fac, et de ce qui est la culture de ceux qui cherchent a combattre les obligations de la vie. pour cela, un etudiant de lettres arabe ou geographie, deverait lui trouver une place dans la fac pour toujours, ou dans un lycée, si non, il ne saura jamais comment vivre et contunuer apres son diplome plus analphabet que jamais.
quel est donc le rapport entre un monde de cultuvé et de politiciens , et le bas monde sous terrain de notre societé, et le chelh!!
pour mieux comprendre, je racontrerer un passage d'une etape que j'ai vecu a travers ma langue vie, en verité, j'ai pas vecu une langue vie, je suis jeune comme la plupart d'entre vous, mais j'ai beaucoup travaillé, et beaucoup experimenter, que je sente que j'ai vecu 100 ans et que j'ai beaucoup a raconter a mes petits fils, si je deverais en avoir.
c'etait une journée de 2002, j'etais ouvriere car c'est le debut de ma vie professionnel, ouvriere dans un usine ou il y'avait de centaines d'ouvrieres, je dis que c'etait un bas monde, car c'est vrais, un monde qui ne sait que la force de ses bras, si non, ilne pourrait avoir le pain de ses jours, c'etait un monde ou j'ai pas rencontrer une seule femme qui sait lire et ecrire, des femmes venu de tpout les coins , pauvres, analphabetes, et toutes 3roubiyates, bien sur il y'avait des gens sympathiques, mais qu'on doit mettre un temps de les trouver tellement ils sont rare.
il y'avait une ouvriere , a chaque fois qu'elle veut m'appeler pour une quelqonque raison, elle me dit : eh chelha!, au debut, je pars a elle, et c'est ainsi pour un temps, jusqu'a que j'(ai decouvert que pour elle, m'appeler chelha , c'est pour m'intimider, alors que moi, j'ai cru que c'est car je suis chelha ethniquement.
alors chaque fois qu'on a un malentendu, elle se precipite a ses amies, les autres ouvriers, et leur racontent des blagues sur les chleuhs, et n'oublie pas de me crier dessus, eh chhhhhelha, accompagnant de ses rires insensé.
je n'ai jamais discuter avec elle, malgré que j'ai attendu le moment convenable, jusqu'un jour, elle m'a crier comme topujours eh chhhhhelha, je lui sourier en disant: tu sais mbarka, pourquoi je t'adore?...elle etait etonnée car tout le monde sait qu'on se mefier.je lui ai dis: tu ne le sais pas?, c'est car tu m'appel par le plus beau nom que j'aime, quand tu me dis chhhelha, tu me fais si contente ma tout jolie mbarka!!!
et depuis, elle ne m'a jamais appeler chhhhelha.
pour un cultuvé de la fac, ou un politicien d'une parti, et une mbarka 3roubiya, il n'ya qu'un seul file entre eux, la meme stupidité coloré de plusieurs couleurs.
mon paradis