BRAVO A TOUS LES BACHELIERS DE LAKHSSAS

malih

New Member
TANMMIRT I DRARI OLA TIFRKHINE N LAKHSSAS S NNAJAH GH LIMTIHANAT
BONNE CHANCE AT TOUS ET A TOUTES :)
 
bravo a tous les bacheliers du maroc(et pas seulement lakhsass ou souss ;-) ) d'ailleurs les resultats sont deja tombés au Maroc non?
 
OUI ! BRAVO ! Magnifique !

30% de réussite au Maroc !

La catastrophe nationale de l'arabisation continue !
 
encore et toujours l'arabisation a ce que je vois pr certain c un fléau a eradiquer absolument, mais maintenant qu'on ne peut plus prevenir, je pense qu'on ne peut meme plus guerir, faut vivre avec ce qu'on a...


elle était bien bonne celle là n'est ce pas? ;-)

mohim, brabo kan meme pour ces 30 % ;-)
 
Oui et encore et toujours cette arabisation !

"Faut vivre avec ce qu'on a" L'esprit typique du marocain qui ne bouge pas, telle une moule surson rocher.

Cette façon d'accepter tout ce qu'on nous impose, cette façon de refuser de voir les choses en face, voilà ce qui fait la différence entre le Maroc et les pays qui avancent.

Quant à l'arabisation qui vous semble si innocente lisez cet article paru hier dans Aujourd'hui le Maroc :

Je précise que ce texte m'a valu une charte d'avertissement sur bladi et le blocage du forum.

Et oui, on ne peut pas critiquer l'arabisation ! Blasphème.


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ALM : Comment réagissez-vous au taux de réussite dans la première session du baccalauréat ?

Mohamed Benyahia : Je ne suis pas du tout surpris par le petit nombre d’élèves qui ont réussi à franchir le cap du bac. Je vais aller même plus loin en affirmant que ce taux va encore plus se dégrader dans les années à venir. Il n’est pas possible de changer cette situation, tant que les enseignants parlent une langue et les élèves une autre.

Que voulez-vous dire par là ?

Il existe un hiatus, une coupure, une montagne entre la langue des manuels scolaires et le langage parlé par les élèves. Avec des manuels très mauvais, il faut s’attendre à des résultats désastreux. A mon avis, la principale raison de la dégradation du niveau des élèves vient des manuels. Ils sont écrits dans une langue qui est à mille lieues des préoccupations des élèves.

Vous faites allusion aux manuels écrits en arabe ou dans une langue étrangère ?

Les manuels en arabe sont écrits dans une langue qui éloigne les élèves de leur quotidien. Je vous donne un exemple : j’étais en train de réviser avec ma fille, et à chaque page, je bute contre des mots, empruntés à un arabe parlé au moyen âge. Pourquoi diable écrire «koub», alors que le mot «kaâss», qui est très correct et désigne le même objet, ne trouve pas grâce aux yeux des auteurs de ces manuels ?

Vous voulez dire que le manque de communication entre le monde des élèves et la langue des manuels est en partie responsable du petit taux de réussite ?

Ce que je veux dire, c’est qu’aucune réforme de l’éducation nationale ne peut réussir tant que l’élève communique dans les écoles avec une langue qui n’est pas la sienne. L’élève ne peut pas continuer de prononcer une phrase sans recourir à un dictionnaire. Ce n’est pas possible. Il est tout de même censé parler la langue véhiculée à l’extérieur. Or, force est de reconnaître que l’arabe classique place les élèves dans des situations déréalisantes ou schizophréniques. Il ne faut pas s’étonner qu’ils refusent d’entendre la langue que leur tient leur prof. Mais cela a toujours été ainsi…Et bien, il est temps que ça change, parce que le Maroc a changé. Nos enfants sont confrontés à de nouveaux outils de communication. Les enseignants doivent les suivre, venir à eux. Et dans toutes les réformes engagées au ministère de l’Education, on a oublié de miser sur l’humain. Les enseignants n’ont fait l’objet d’aucun cycle de formation ou de recyclage. Ils n’effectuent pas de stage. Le monde a changé autour d’eux, alors qu’ils continuent de dispenser leur enseignement dans une langue archaïque.

Que préconisez-vous à ce sujet ?

Aucune réforme ne peut réussir si l’on continue à communiquer un savoir dans une langue inadaptée. La révision des manuels est urgente. La langue marocaine comporte au moins 90% de mots qui peuvent être insérés dans des livres. Cela nécessite un travail, un chantier, des équipes de chercheurs. Mais le défi est à la hauteur des attentes. Et d’ailleurs, cela réconciliera les élèves avec la langue qu’ils parlent en dehors des murs de la classe.

Pourtant, la politique d’arabisation est censée enraciner encore plus l’enseignement de l’arabe classique…

Et elle a abouti à un échec. Regardez autour de vous, les élèves ne maîtrisent ni l’arabe, ni le français. Ils sont déphasés, parce que les outils de communication sont en inadéquation avec la langue qu’ils parlent dans la vie courante. La pièce maîtresse pour que cette situation change est le manuel scolaire. Autrement, on continuera à espérer réformer l’éducation nationale, tout en éduquant nos enfants dans une langue qu’ils ne comprennent pas.

Par : Aziz DAKI





[ Edité par agerzam le 22/6/2004 11:15 ]
 
jvois k'on était pas sur la meme longueur d'onde, quiproquo desolé! mais jlaisse kan meme ce ke j'ai mis c po grave.
ciao
:


j'ai meme pas encore lu ton texte mais fallait ke je te reponde!

d'une j'espere qui si tu dis ça"Faut vivre avec ce qu'on a" L'esprit typique du marocain qui ne bouge pas, telle une moule surson rocher." c'est que toi tu ne fais pas parti de cette categorie de moule agma! donne moi des preuves que celui qui critique bouge o moins!detache toi de ton rocher et laisse le courant de porter vers M6 alors et dis lui ses 4 verités en exigeant plus de consideration pour la culture chleuh et non ça folklorisation perpetuelle!! une fois que tu aura la reponse de sa majesté tu me la feras parvenir, et la je verrais si une lueur d'espoir est encore possible ;-)et la je me transforme en Che et je me joins a la guerilla pas de prob!
tu veux faire une revolution a l'echelle nationale et contre une monarchie, un des pire regime pol qui puisse exister, mais avant tout pese et souspese bien tout ce que ça enlglobe!
je dis pas le contraire , la communauté chleuh(n'analyse pas ce mot !)est encore opprimée et je voudrais bien changer le cours des choses, mais "je" par rapport a des centaines , c rien du tout, mais si on forme un commando, c op! looooooooooooooooooooooooooooooooool


ps: tu remarquera qu'après j'avais mis "elle est bien bonne celle la" ce qui sous entend que c t une blague
;-)

[ Edité par Tami le 22/6/2004 11:29 ]

[ Edité par Tami le 22/6/2004 11:31 ]
 
Je ne répondrai pas tant que tu n'as pas lu le texte, ce qui est visible car tout ce que tu as dis n'a aucun rapport.

Personne n'a parlé de culture hleuhe, derévolution ou je ne sais trop quoi.

Pour t'aider, le sujet est l'échec de l'arabisation de l'enseignement.
 
ok ok scusi je reconnais ma faute. la langue arabe , celle du moyen age , ok je reconnais ke c pas tres pratik lol bon sur ce point la c op


"Aucune réforme ne peut réussir si l’on continue à communiquer un savoir dans une langue inadaptée."

tt a fait d'accord!
n'empeche tant que ce sera une monarchie, les seules choses faites seront selon le bon vouloir de M6. La langue est primordiale

[ Edité par Tami le 22/6/2004 11:34 ]
 
e fait le texte voulait dire que l'arabe est une langue étrangère que les petits marocains découvrent à l'école.
 
Pour info, je viens de recevoir un message sur bladi qui m'avertit (sous-entendu) que si je poste encore des textes comme ça mon compte sera effacé.

Ce site est devenu un sanctuaire arabiste.

c vraiment déplorable.

[ Edité par agerzam le 22/6/2004 12:22 ]
 
C'est une catastrophe pour le maroc et les marocains. Le ministere de l'education nationale est en train de commettre un Crime contre l'Humain Marocain. C'est incroyable. Les responsables de se massacre doivent etre juges et doivent payer pour leur crimes et leur politique desastreuse. Savez vous que ces responsables qui, tout en infligeant leur arabisation monstreuse au peuple marocains, ils envoient leurs enfants dans les ecoles francaises ou anglaise au Maroc?. C'est affligeant.

J'ai moi meme deux membres de ma famille qui ont echoues cette annee au bac scientifique. Des milliers de jeunes marocains qui ont echoues cette annee, vont etre exclus des lycees. Que vont devenir ces jeunes? quel avenir pour eux? Et ceux qui auront reussi a echapper a la guillotine du ministere de l'education, nombreux ne feront qu'un petit chemin dans l'enseignement superieur car ils se retrouveront confronte a d'autre obstacles lies a la politique de l'arabisation.

ET apres on s'etonne que de nombraeux jeunes marocains sacrifient leur vie au detroit de Gibraltar, ou tout simplement se donnent a l'extremisme religieux ou autres: C'est tout simplement L'Etat aui laisse tomber son peuple.

Vraiment, il faut une revolution contre ses responsables hipochrites de la reforme de l'education. Je vous assure que parfois, j'ai des envies de porter plainte.




agerzam a écrit :
Oui et encore et toujours cette arabisation !

"Faut vivre avec ce qu'on a" L'esprit typique du marocain qui ne bouge pas, telle une moule surson rocher.

Cette façon d'accepter tout ce qu'on nous impose, cette façon de refuser de voir les choses en face, voilà ce qui fait la différence entre le Maroc et les pays qui avancent.

Quant à l'arabisation qui vous semble si innocente lisez cet article paru hier dans Aujourd'hui le Maroc :

Je précise que ce texte m'a valu une charte d'avertissement sur bladi et le blocage du forum.

Et oui, on ne peut pas critiquer l'arabisation ! Blasphème.
 
Le jour où les Marocains, surtout darijophones, se rendront compte que l'arabisation n'est qu'un outil de cloisonnement social et de contrôle de la part des élites, ce sera une révolution psychologique !

Les Amazighes sont les seuls à pouvoir combattre ce fléau ! Il faut développer la langue, écrire et enocre écrire, enseigner, produire pour que Tamazight deviennent un outil moderne qui puisse mettre fin, on l'oublie trop souvent, à l'exclusion sociale !

Quand je vois la réaction idôlatre des darijophones par rapport à l'arabe ( comme sur bladi.net ), je ne me fais plus d'illusions sur eux.


[ Edité par agerzam le 23/6/2004 8:13 ]
 
Cette année aussi c'est à peu près 30%

Si on appliquait la situation du Maroc à la France, c'est comme si les étudiants avaient leurs cours en latin...il y aurait beaucoup d'échec saussi.

(arabe fosha = latin)
 
c vré mé cousines ont toutes lé deux été recalés mé aparamen el ont une épreuve de ratrapaj en juillet!

c faibl kom pourcentaj!

cela revien a 5 personne sur 100
 
avec cette politique ce n'est pas pour demain
imazighen réveilez vous.

La stratégie de la main tendue
Depuis sa création en octobre 2001, l'Institut royal de la culture amazigh (IRCAM) s'est cantonné dans un curieux silence. Pourtant, parmi les principales missions dévolues à cet organisme, placé, rappelons-le, auprès de SM Mohammed VI, nous pouvons citer celle de "réunir et transcrire l'ensemble des expressions de la culture amazighe, les sauvegarder, les protéger et en assurer la diffusion".

Et en matière de diffusion, justement, l'IRCAM a été chargé, conformément à son dahir de création, "de réaliser des recherches et des études sur la culture amazighe et en faciliter l'accès au plus grand nombre, diffuser les résultats et encourager les chercheurs et experts dans les domaines y afférents". Ceci sans compter la promotion de la création artistique dans la culture amazigh afin de contribuer au renouveau et au rayonnement du patrimoine marocain et de ses spécificités civilisationnelles".
En somme, sur le plan purement juridique, le dahir de création l'atteste, l'IRCAM a des missions claires et réalisables.
Sur le plan des moyens financiers mis à sa disposition, l'Institut a de quoi travailler dans une aisance totale. En effet, son budget annuel est de l'ordre de 70 millions de DH, une somme largement suffisante.
Alors pourquoi l'IRCAM a du mal à faire entendre sa voix? Les raisons sont bien simples et c'est M'hamed Sallou, directeur du Centre des études artistiques, des expressions littéraires et de la production audiovisuelle (CEALPA) à l'IRCAM qui nous les donnent. Il cite, en premier lieu, une procédure bizarroïde imposée par le ministère des Finances. En effet, avant d'organiser n'importe quelle activité artistique, culturelle ou scientifique l'IRCAM est tenu de lancer un appel d'offres. Prenons l'exemple de la poésie. S'il veut réaliser un ouvrage sur les travaux d'un célèbre poète amazigh, l'Institut est obligé de lancer un appel d'offres. Il est en fait confronté à un double obstacle.
Premièrement, il n'est jamais sûr, dans des sujets aussi pointus que ceux afférents à la culture amazighe, de pouvoir attirer un nombre suffisant de soumissionnaires. Et pour cause, moins de trois postulants, l'appel d'offres est considéré comme infructueux. Deuxième obstacle, si plusieurs soumissionnaires se présentent, et que l'ouvrage en question est réalisé, l'IRCAM est incapable de le vendre. Comment peut-on assurer "une large diffusion de la culture amazighe si nous n'en avons pas les moyens", s'insurge Sallou.
Et d'ajouter que "le ministère des Finances a envoyé à l'IRCAM un agent comptable qui semble vouloir bloquer, coûte que coûte, l'action de l'Institut". A titre d'exemple, cet agent comptable a exigé une lettre de l'administration dont dépend un fonctionnaire l'autorisant à exercer une tâche artistique (composition d'une chanson au profit de l'IRCAM).
Pourtant, la loi 25/24 dispense les artistes-fonctionnaires de toute autorisation administrative.
Par ailleurs, le CEALPA a édité un important ouvrage sur les origines de la calligraphie Tifinagh. "Dans cet ouvrage, le travail des chercheurs a consisté à réaliser plus d'une centaine de missions sur le terrain, et de longues heures de lecture", précise Sallou. Impossible pour l'IRCAM de vendre ce livre, même pas à un prix symbolique. Même chose pour un CD audio de chansons pour enfants. Il sera bientôt prêt, mais l'IRCAM n'a pas le droit de le vendre dans les grandes surfaces pour en assurer une large diffusion.
A cause de ces obstacles administratives, perçus d'ailleurs comme une entrave à l'action de l'IRCAM, bon nombres d'actions ont été carrément annulées. Les appels d'offres, rappelons-le, ne sont jamais exigés au Maroc pour les actions culturelles et artistiques. Le ministère de la Culture ne procède pas par appels d'offres, le centre cinématographique marocain, non plus. "Pourquoi l'IRCAM, alors?", se demande Sallou. Pour lui, malgré les moyens financiers colossaux dont dispose l'IRCAM, "nous sommes obligés de faire appel à des sponsorings". C'est le moyen le plus efficace, poursuit-il. A cette occasion, l'IRCAM compte lancer dans les jours à venir un SOS pour l'organisation d'un festival du théâtre Amazigh à Al Hoceima.
Cette manifestation mettra l'accent sur le théâtre comique à l'adresse des enfants. "Cet appel à l'aide financière est destiné aux MRE résidants à l'étranger, aux élus, aux autorités gouvernementales, aux entreprises publiques et privées, aux artistes et à tous les Marocains", conclut Sallou.


Par : Abdelmohsin EL HASSOUNI
Aujourdhui.ma

Posted by agerzam on 24/6/2004 9:34:18 (21 reads)
 
il doit surement y avoir des groupes d'opposition au Maroc ,genre CICB d'Algerie qui affirme son "refus de tout dialogue avec les représentants de l'Etat sans la consécration de la langue amazigh comme langue officielle " !

:-D
 
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