Amazighes de la vallée du ZIZ....
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oultouarzazate
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jtrouve que c Magnifik!!mais ca se situe ou éxactement? :-?
oultouarzazate
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par beda le 14/9/2004 11:19:34
si si c'est bien vers Aoufous ...je connais trés bien cette ville...
oultouarzazate c'est dans la province d'errachidia
[ Edité par beda le 14/9/2004 10:31 ]
Merci pour ta réponse !c tro bo jaimerais bokou y faire un tour Inchaallah!
si si c'est bien vers Aoufous ...je connais trés bien cette ville...
oultouarzazate c'est dans la province d'errachidia
[ Edité par beda le 14/9/2004 10:31 ]
Merci pour ta réponse !c tro bo jaimerais bokou y faire un tour Inchaallah!
oultouarzazate
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encore une ptite chose c proche ou plutot éloigné de Goulmima :-? :-?
oultouarzazate
New Member
par lhou le 14/9/2004 16:44:15
Citation :
oultouarzazate a écrit :
encore une ptite chose c proche ou plutot éloigné de Goulmima
Errachidia c'est à 60Km de goulmima!
Mais Aoufous c'est de l autre cotè direction Erfoud et Rissani.
Tanmiert nék a lhou g t karement a loposé alors!
merci dmavoir éclairer! ;-) :-D
Citation :
oultouarzazate a écrit :
encore une ptite chose c proche ou plutot éloigné de Goulmima
Errachidia c'est à 60Km de goulmima!
Mais Aoufous c'est de l autre cotè direction Erfoud et Rissani.
Tanmiert nék a lhou g t karement a loposé alors!
merci dmavoir éclairer! ;-) :-D
"LE PILIER DE LA TENTE"
La tribu des Aït Khebbach appartient à la confédération des Aït Atta.
GÉLARD Marie-Luce
Rituels et représentations de l'honneur chez les Aït Khebbach (Tafilalt)
Présentation
Au sud-est du Maroc, les Aït Khebbach, groupe berbère naguère nomade, sont aujourd'hui sédentarisés dans une enclave saharienne. En contraste avec cette situation actuelle étriquée, on retrouve au travers de leurs représentations, le
souvenir qu'ils conservent d'avoir appartenu à un
groupe de guerriers libres et puissants.
Cherchant à comprendre les fondements de leur
cohésion, Marie-Luce Gélard a entrepris une
observation patiente et minutieuse des activités
quotidiennes de la tribu, apprenant à distinguer les
domaines propres à l'activité masculine — l'irrigation
et la culture des champs, l'attribution des terres — de ceux du monde féminin, comme le transport de l'eau
ou la confection du pain. Elle a porté son regard sur
la vie familiale, les cérémonies de mariage et les
rituels d'alliance. Elle a prêté enfin une importance
toute particulière aux mots (prononcés ou évités) et à
tous les récits qui soutiennent la mémoire collective
(récits de fondation et mythe d'origine).
Au gré de son enquête, un élément diffus, implicite et complexe prend forme peu à peu jusqu'à apparaître comme un système de valeurs extrêmement cohérent qui a pour centre l'honneur. Les discours et les pratiques qu'il investit engendre une multiplicité de références et de représentations dont l'auteur reconstruit patiemment la logique interne. Son entreprise est singulièrement captivante. Car, au-delà des pratiques et des interactions sociales observables, elle permet de révéler un niveau latent de la culture, référence inconsciente et subie qui agit comme un fait de structure.
La tribu des Aït Khebbach appartient à la confédération des Aït Atta.
GÉLARD Marie-Luce
Rituels et représentations de l'honneur chez les Aït Khebbach (Tafilalt)
Présentation
Au sud-est du Maroc, les Aït Khebbach, groupe berbère naguère nomade, sont aujourd'hui sédentarisés dans une enclave saharienne. En contraste avec cette situation actuelle étriquée, on retrouve au travers de leurs représentations, le
souvenir qu'ils conservent d'avoir appartenu à un
groupe de guerriers libres et puissants.
Cherchant à comprendre les fondements de leur
cohésion, Marie-Luce Gélard a entrepris une
observation patiente et minutieuse des activités
quotidiennes de la tribu, apprenant à distinguer les
domaines propres à l'activité masculine — l'irrigation
et la culture des champs, l'attribution des terres — de ceux du monde féminin, comme le transport de l'eau
ou la confection du pain. Elle a porté son regard sur
la vie familiale, les cérémonies de mariage et les
rituels d'alliance. Elle a prêté enfin une importance
toute particulière aux mots (prononcés ou évités) et à
tous les récits qui soutiennent la mémoire collective
(récits de fondation et mythe d'origine).
Au gré de son enquête, un élément diffus, implicite et complexe prend forme peu à peu jusqu'à apparaître comme un système de valeurs extrêmement cohérent qui a pour centre l'honneur. Les discours et les pratiques qu'il investit engendre une multiplicité de références et de représentations dont l'auteur reconstruit patiemment la logique interne. Son entreprise est singulièrement captivante. Car, au-delà des pratiques et des interactions sociales observables, elle permet de révéler un niveau latent de la culture, référence inconsciente et subie qui agit comme un fait de structure.
J'ai lu le livre il est pas mal et riche en renseignement linguistiques : principe de l'honneur, la TAFERGANT ...
Oui il y a des "arabes " à Erfoud, ils se sont installés dans tout ce qui ressemble de près ou de loin à une ville au Maroc....et j'y ai mangé le pire tajine de ma vie.
Oui il y a des "arabes " à Erfoud, ils se sont installés dans tout ce qui ressemble de près ou de loin à une ville au Maroc....et j'y ai mangé le pire tajine de ma vie.
à ma connaissance, la tribu des Aït atta est constituée de plusieurs sous tribus : Aït Khebbache,Aït Ounir,Aït Isfoul, Aït Yazza, Aït Agnaoun, aït Bouknifen, Aït Ikhlef, Aït Oundgui, aït Alouane, et d'autres...
mais la vallée du Ziz s'arabise à grande vitesse...moi je fais partie des Aït khebbach...
les amazighs du Ziz sont en "voie de disparition"...les villages berbères sont peuplés à présent d'arabes appelés "chrif" et de blacks sahraouis ( attention c pas raciste!)...même ighrem fortifié ( avec quatres tours de surveillance et une seule porte d'entrée construit avant l'indépendance au temps des guerres tribales...) du village de mes grands parents est déserté par le amazighs et les populations blacks sahraouis pauvres s'y sont installés...
le village de mes parents est situé à 30 km de la ville d'Errachidia entre la source bleue de Meski et Aufous...on retrouve les aït atta partout ds le tafilalet : saghro alnif tazzarine rissani merzouga....
agerzam a écrit :
J'ai lu le livre il est pas mal et riche en renseignement linguistiques : principe de l'honneur, la TAFERGANT ...
Oui il y a des "arabes " à Erfoud, ils se sont installés dans tout ce qui ressemble de près ou de loin à une ville au Maroc....et j'y ai mangé le pire tajine de ma vie.
moi je ne l'ai pas encore lu....
si tu veux gouter au vrai Tagine amazigh du Tafilalet, patientes une année je te conseillerais un jolie auberge amazighe qui va faire revivre Tamazight dans la vallée du Ziz...
je ne veux pas être alarmiste mais les amazighes ont vendus les 3/4 de leurs terres et dans le village de ma mère 1 amazighe né pour 12 arabes sahraouis blacks qu'on appelle "ékkebline"...c'est pas trés rassurant...
on retrouve les berbères entassés dans les quartiers populaires des villes où l'arabisation poursuit ses ravages....