Said Scally est un fachi comme tous les autres réfugisé andalous qui ont fait la main basse sur Agadir. Il ne faut pas s'étonner que ces proxénète de haut niveau encourage la prostitution et la pédophilie à Agadir. Parce que ce n'est pas chez eux. Tarwa lhram ! Lisez !
Agadir: Le coup de gueule du président du CRT
· Il accuse les professionnels de ne pas s’impliquer dans les activités du centre
· Une réunion du CA tourne au vinaigre
«Trop, c’est trop!». Saïd Scally, président du Conseil régional du tourisme d’Agadir, n’a pas mâché ses mots vendredi dernier lors de la réunion qui s’est tenue au siège de la wilaya.
D’entrée de jeu, en ouverture de l’assemblée ordinaire du CRT, Scally a reproché aux membres du bureau de n’être pas assez impliqués dans le CRT. «Ma garde rapprochée: le président délégué, les 2 vices-présidents; la secrétaire générale… limitent leur action à la présence aux séances publiques et me lâchent purement et simplement dans les phases exécutives», déplore-t-il, en prenant à témoin Rachid Filali, wali du Souss-Massa-Draâ. Et d’ajouter que «les membres dirigeants brillent par leur absence, laissant le président se débrouiller tout seul’’.
Le wali, pour tempérer toutes ces déclarations et calmer les esprits, a qualifié l’allocution de Scally «d’appel du cœur».
Mais, habitués aux coups de gueule de Saïd Scally, les membres du CRT n’ont pas été nombreux à réagir. Seul Guy Marrache, PDG du groupe Tikida, a parlé ouvertement sur le même ton que le président du CRT pour qualifier son introduction de «one man show». Il a rappelé qu’il a toujours répondu présent aux demandes du CRT, mais regrette tout de même que les décisions prises au sein de l’entité ne fassent pas l’objet de concertation entre les membres et le président. «Il faut avoir des réunions régulières pour décider ensemble des activités du CRT et éviter la communication de dernière minute», souligne Marrache.
Les autres professionnels n’ont rien ajouté mais n’en pensaient pas moins. Si la plupart préfèrent laver le linge sale en famille, ils n’en déclarent pas moins dans l’anonymat que le président ne récolte que ce qu’il a semé: le vide. «C’est d’ailleurs pour cela et parce qu’ils ont été accusés de ne rien faire que certains ont quitté le bureau tout juste quelques mois après le début du mandat de Scally’’, raconte un hôtelier.
Quoiqu’il en soit, cette situation n’est guère saine pour Agadir. La destination est en plein chantier et a besoin de toutes ses forces pour réaliser ses ambitions. Au président du CRT d’être plus fédérateur et aux professionnels de faire preuve de bonne volonté. Pour le bien de la ville, il faut dépasser les animosités personnelles. Il y va en tout cas de l’avenir de la station surtout qu’il y a du pain sur la planche…
Agadir: Le coup de gueule du président du CRT
· Il accuse les professionnels de ne pas s’impliquer dans les activités du centre
· Une réunion du CA tourne au vinaigre
«Trop, c’est trop!». Saïd Scally, président du Conseil régional du tourisme d’Agadir, n’a pas mâché ses mots vendredi dernier lors de la réunion qui s’est tenue au siège de la wilaya.
D’entrée de jeu, en ouverture de l’assemblée ordinaire du CRT, Scally a reproché aux membres du bureau de n’être pas assez impliqués dans le CRT. «Ma garde rapprochée: le président délégué, les 2 vices-présidents; la secrétaire générale… limitent leur action à la présence aux séances publiques et me lâchent purement et simplement dans les phases exécutives», déplore-t-il, en prenant à témoin Rachid Filali, wali du Souss-Massa-Draâ. Et d’ajouter que «les membres dirigeants brillent par leur absence, laissant le président se débrouiller tout seul’’.
Le wali, pour tempérer toutes ces déclarations et calmer les esprits, a qualifié l’allocution de Scally «d’appel du cœur».
Mais, habitués aux coups de gueule de Saïd Scally, les membres du CRT n’ont pas été nombreux à réagir. Seul Guy Marrache, PDG du groupe Tikida, a parlé ouvertement sur le même ton que le président du CRT pour qualifier son introduction de «one man show». Il a rappelé qu’il a toujours répondu présent aux demandes du CRT, mais regrette tout de même que les décisions prises au sein de l’entité ne fassent pas l’objet de concertation entre les membres et le président. «Il faut avoir des réunions régulières pour décider ensemble des activités du CRT et éviter la communication de dernière minute», souligne Marrache.
Les autres professionnels n’ont rien ajouté mais n’en pensaient pas moins. Si la plupart préfèrent laver le linge sale en famille, ils n’en déclarent pas moins dans l’anonymat que le président ne récolte que ce qu’il a semé: le vide. «C’est d’ailleurs pour cela et parce qu’ils ont été accusés de ne rien faire que certains ont quitté le bureau tout juste quelques mois après le début du mandat de Scally’’, raconte un hôtelier.
Quoiqu’il en soit, cette situation n’est guère saine pour Agadir. La destination est en plein chantier et a besoin de toutes ses forces pour réaliser ses ambitions. Au président du CRT d’être plus fédérateur et aux professionnels de faire preuve de bonne volonté. Pour le bien de la ville, il faut dépasser les animosités personnelles. Il y va en tout cas de l’avenir de la station surtout qu’il y a du pain sur la planche…