Le gouvernement Abbas El Fassi I connu
L’ouverture de l’exercice parlementaire 2007/2008 par le Roi Mohammed VI, demain, au Parlement, ne doit pas être étrangère à l’installation du nouveau gouvernement alors que nul ne s’y attendait. En effet, la formation gouvernementale qui sera chargée d’appliquer «le programme royal» selon les dires (lors de sa première sortie médiatique) du Premier ministre Abbas El Fassi, a été dévoilée (officieusement) peu après 15 heures 00 (heures locales).
Dans l’ordre (ou dans le désordre), voici la liste des «nominés» :
- Mustapha Mansouri (Président du Parlement),
- Habib Malki (Commerce et Industrie),
- Mohamed Boussaïd (Tourisme),
- Aziz Akhennouch (Agriculture),
- Anis Birou (Artisanat),
- Amina Benkhadra (Energie),
- Abdelhouad Radi (Justice),
- Mohamed Laenser (Emploi),
- Taïeb Chkini (Education),
- Touria Jebrane (Culture),
- Nawal Moutawakil (Jeunesse et Sports),
- Chakib Benmoussa (Intérieur),
- Taïeb Fassi Fihri (Affaires Etrangères),
- Yasmina Badou (Santé),
- Nizar Baraka (Affaires économiques et générale),
- Karim Ghellab (Transports et Equipement),
- Taoufik Hejira (Habitat),
- Khalid Naciri (Communication),
- Salheddine Mezzouar (Finances)
Premier constat, le Secrétariat d’Etat chargé de la communauté marocaine résidante à l’étranger a disparu. Est-ce temporaire ou la résultante d’un choix politique ? L’avenir nous le dira. Nous avions pourtant fait écho sur Yabiladi.com, de la probable nomination de Mohamed El Gahs à ce poste.
Quant à l’architecture de cet exécutif, chacun pourra apprécier (ou pas) la nomination d’un tel au détriment d’un tel. Les grands absents sont Adil Douiri (il aurait fait une fixation sur le ministère des Finances et n’ayant pas eu gain de cause il aurait refusé toute proposition) et Fatallah Oualalou, pourtant fortement pressenti pour rempiler aux Finances ;
La bataille pour le perchoir du Parlement a finalement tourné à l’avantage de Mustapha Mansouri, président du RNI. Il semblerait qu’un arbitrage a été nécessaire pour trancher sur la nomination du «chef d’orchestre» à l’Assemblée car le siège était convoité par l’Usfp et le Mouvement Populaire.
Rachid Hallaouy
Source: Yabiladi.com
L’ouverture de l’exercice parlementaire 2007/2008 par le Roi Mohammed VI, demain, au Parlement, ne doit pas être étrangère à l’installation du nouveau gouvernement alors que nul ne s’y attendait. En effet, la formation gouvernementale qui sera chargée d’appliquer «le programme royal» selon les dires (lors de sa première sortie médiatique) du Premier ministre Abbas El Fassi, a été dévoilée (officieusement) peu après 15 heures 00 (heures locales).
Dans l’ordre (ou dans le désordre), voici la liste des «nominés» :
- Mustapha Mansouri (Président du Parlement),
- Habib Malki (Commerce et Industrie),
- Mohamed Boussaïd (Tourisme),
- Aziz Akhennouch (Agriculture),
- Anis Birou (Artisanat),
- Amina Benkhadra (Energie),
- Abdelhouad Radi (Justice),
- Mohamed Laenser (Emploi),
- Taïeb Chkini (Education),
- Touria Jebrane (Culture),
- Nawal Moutawakil (Jeunesse et Sports),
- Chakib Benmoussa (Intérieur),
- Taïeb Fassi Fihri (Affaires Etrangères),
- Yasmina Badou (Santé),
- Nizar Baraka (Affaires économiques et générale),
- Karim Ghellab (Transports et Equipement),
- Taoufik Hejira (Habitat),
- Khalid Naciri (Communication),
- Salheddine Mezzouar (Finances)
Premier constat, le Secrétariat d’Etat chargé de la communauté marocaine résidante à l’étranger a disparu. Est-ce temporaire ou la résultante d’un choix politique ? L’avenir nous le dira. Nous avions pourtant fait écho sur Yabiladi.com, de la probable nomination de Mohamed El Gahs à ce poste.
Quant à l’architecture de cet exécutif, chacun pourra apprécier (ou pas) la nomination d’un tel au détriment d’un tel. Les grands absents sont Adil Douiri (il aurait fait une fixation sur le ministère des Finances et n’ayant pas eu gain de cause il aurait refusé toute proposition) et Fatallah Oualalou, pourtant fortement pressenti pour rempiler aux Finances ;
La bataille pour le perchoir du Parlement a finalement tourné à l’avantage de Mustapha Mansouri, président du RNI. Il semblerait qu’un arbitrage a été nécessaire pour trancher sur la nomination du «chef d’orchestre» à l’Assemblée car le siège était convoité par l’Usfp et le Mouvement Populaire.
Rachid Hallaouy
Source: Yabiladi.com