<table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="555"><tbody><tr height="126"><td height="126" valign="top" width="365">Les cités universitaires d’Agadir, Marrakech, Casablanca et Errachidia ont connu cette semaine des violences impliquant des étudiants sahraouis et les activistes amazighs. Bilan : un mort et des dizaines de blessés. Le conflit du Sahara se serait-il déplacé jusqu’aux amphithéâtres ?
La cité universitaire de Casablanca a des airs de village-fantôme en ce lundi après-midi. La salle de sports, le centre culturel et autre buvette, d’habitude bondés, sont quasiment déserts. Alors que de nombreux internes sont cloîtrés dans leur chambre ou ont rejoint le domicile</td> <td height="126" valign="top" width="190">
</td> </tr> </tbody></table> <table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="555"><tbody><tr> <td>familial, une poignée d’entre eux, “surveillée” de loin par des agents des renseignements généraux, pas très discrets au demeurant, squatte la pelouse centrale de l’enceinte. Dehors, en plus d’une présence policière accrue, ce ne sont pas moins d’une dizaine de véhicules des Forces auxiliaires qui sont postés dans les ruelles avoisinantes. “Juste au cas où l’fouda reprend”, lance cet agent.</td></tr></tbody></table>
suite : http://www.telquel-online.com/274/maroc1_274.shtml
La cité universitaire de Casablanca a des airs de village-fantôme en ce lundi après-midi. La salle de sports, le centre culturel et autre buvette, d’habitude bondés, sont quasiment déserts. Alors que de nombreux internes sont cloîtrés dans leur chambre ou ont rejoint le domicile</td> <td height="126" valign="top" width="190">

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