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Lamrabet est enfin libéré sur décision "royale". Un désaveu au gouvernement et à tous les partis politiques marocains. Enfin, si on peut appeler cela des partis politique.
International demande la libération de Ali Lamrabet
MADRID (AFP) - Amnesty International a demandé mardi la libération "immédiate et inconditionnelle" du journaliste franco-marocain Ali Lamrabet, qui doit comparaître de nouveau mercredi devant les juges, selon un communiqué de l'organisation de défense des droits de l'Homme publié à Madrid.
Amnesty International "exige la mise en liberté immédiate et inconditionnelle du journaliste Ali Lamrabet, emprisonné uniquement pour l'expression légitime et pacifique de ses convictions", a indiqué le communiqué.
Le journaliste, qui observe une grève de la faim depuis le 30 novembre dernier pour protester contre son arrestation, a été condamné le 17 juin dernier à trois ans de prison ferme ainsi qu'à l'interdiction de ses deux journaux satiriques "Demain Magazine" et "Doumane", pour "outrage à la personne du roi" pour diverses caricatures.
Selon Amnesty International, le journaliste risque de se voir imposer quatre mois de prison supplémentaires lors de sa comparution mercredi devant le tribunal de Rabat qui examinera un appel présenté par son avocat pour une condamnation antérieure prononcée en novembre 2001.
Le Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) et le Comité de soutien du journaliste emprisonné ont annoncé, mardi à Rabat, une campagne de "mobilisation politique" en faveur de la liberté de la presse.
International demande la libération de Ali Lamrabet
MADRID (AFP) - Amnesty International a demandé mardi la libération "immédiate et inconditionnelle" du journaliste franco-marocain Ali Lamrabet, qui doit comparaître de nouveau mercredi devant les juges, selon un communiqué de l'organisation de défense des droits de l'Homme publié à Madrid.
Amnesty International "exige la mise en liberté immédiate et inconditionnelle du journaliste Ali Lamrabet, emprisonné uniquement pour l'expression légitime et pacifique de ses convictions", a indiqué le communiqué.
Le journaliste, qui observe une grève de la faim depuis le 30 novembre dernier pour protester contre son arrestation, a été condamné le 17 juin dernier à trois ans de prison ferme ainsi qu'à l'interdiction de ses deux journaux satiriques "Demain Magazine" et "Doumane", pour "outrage à la personne du roi" pour diverses caricatures.
Selon Amnesty International, le journaliste risque de se voir imposer quatre mois de prison supplémentaires lors de sa comparution mercredi devant le tribunal de Rabat qui examinera un appel présenté par son avocat pour une condamnation antérieure prononcée en novembre 2001.
Le Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) et le Comité de soutien du journaliste emprisonné ont annoncé, mardi à Rabat, une campagne de "mobilisation politique" en faveur de la liberté de la presse.