En signe de représailles des autorités makhzeniennes, Rabiâa Boukdem, une militante du comité de défense des droits économiques et sociaux des populations à Tata, a été expulsée sans aucune forme de procès de son travail, après des années de bons et loyaux services, au collège Mokhtar Soussi. Un sit in de soutien, qui a rassemblé des dizaines de citoyens, a d’ailleurs eu lieu le 9 novembre dernier devant le collège
Le comité de défense des droits économiques et sociaux des populations Tata a commencé sa lutte depuis le 27 mars pour demander des conditions dignes d’hospitalisation, faire entendre la voix des habitants en colère, localement et nationalement, et réaliser un certain nombre de projets vitaux à même de mettre fin à une marginalisation programmée et un appauvrissement graduel
Lors de cette lutte, les membres du comité et beaucoup d’autres citoyens ont été l’objet de toutes sortes pressions et de répressions policières : certains ont été traduits injustement en justice, les gouverneur et certains élus locaux ont même prié un ministre pour les arrêter tous…Le licenciement de Rabiâa Boukdem n’en est donc qu’un épisode.
Le comité de défense des droits économiques et sociaux des populations Tata a commencé sa lutte depuis le 27 mars pour demander des conditions dignes d’hospitalisation, faire entendre la voix des habitants en colère, localement et nationalement, et réaliser un certain nombre de projets vitaux à même de mettre fin à une marginalisation programmée et un appauvrissement graduel
Lors de cette lutte, les membres du comité et beaucoup d’autres citoyens ont été l’objet de toutes sortes pressions et de répressions policières : certains ont été traduits injustement en justice, les gouverneur et certains élus locaux ont même prié un ministre pour les arrêter tous…Le licenciement de Rabiâa Boukdem n’en est donc qu’un épisode.