CINQ mois après le lancement du projet de la future station de Taghazout, les travaux d’aménagement avancent assez bien. Le chantier est installé et la première tranche du projet est bien engagée. Une importante équipe d’ouvriers s’active pour la construction des locaux administratifs du maître d’ouvrage, Taghazout Resort (cf.www.leconomiste.com). Parallèlement, des bulldozers terrassent la zone qui abritera un des golfs. C’est à un jeune architecte écossais de 29 ans, David McLay Kidd, qu’a été confié la conception de ce parcours de 18 trous. Dans le domaine, l’architecte est déjà une référence malgré son jeune âge.
Dans la sélection des autres opérateurs, les aménageurs développeurs de Taghazout Resort ont également fait appel à des consultants dotés d’une bonne renommée dans leur activité. Le bureau international Mirage est l’intervenant pour la coordination générale du chantier. Un chantier qui s’appuie sur des architectes urbanistes de renommée comme le cabinet américain Hart Howerton qui dispose d’un bureau à Londres. Le cabinet Kilo Architectures implanté à Casablanca, et doté d’une antenne à Paris, est également sollicité via son bureau d’études techniques, le cabinet Scet-Scom, installé à Rabat. Europtima (Londres et Casablanca) pour sa part est l’économiste de l’opération. C’est enfin Taghazout Building Company (TBC) qui a pris en charge le volet construction. Cette entreprise, tout nouvellement implantée à Agadir, a été créée par le Canarien Satocan, un des opérateurs du consortium qui a pris en charge l’aménagement de Taghazout. Ce partenaire a une solide expérience dans le domaine du BTP. Il dispose aux iles Canaries d’une filiale spécialisée dans le domaine de l’immobilier.
L’américain Colony Capital et ses associés canariens Lopezan et Satocan mettent ainsi les grands moyens pour la réalisation de la future station de Taghazout. Cela s’est traduit dernièrement par une méga hausse du capital de Taghazout Resort. Celui-ci est passé de 20 millions à 1,1 milliard de DH. C’est qu’ils ont de grandes ambitions pour la zone et, par ailleurs, il faut respecter les délais impartis. Selon l’agenda des promoteurs, plus de 21.000 lits dont près de 16.000 lits hôteliers, seront disponibles pour l’été 2009 sous les enseignes Raffles et Farmount. Deux chaînes hôtelières qui ne se sont pas encore implantées au Maroc.
Au total, sur une durée de sept ans, ce sont 20 milliards de DH environ qui seront injectés par le fonds d’investissement américain et ses partenaires canariens.
Malika ALAMI
L'Economiste
Dans la sélection des autres opérateurs, les aménageurs développeurs de Taghazout Resort ont également fait appel à des consultants dotés d’une bonne renommée dans leur activité. Le bureau international Mirage est l’intervenant pour la coordination générale du chantier. Un chantier qui s’appuie sur des architectes urbanistes de renommée comme le cabinet américain Hart Howerton qui dispose d’un bureau à Londres. Le cabinet Kilo Architectures implanté à Casablanca, et doté d’une antenne à Paris, est également sollicité via son bureau d’études techniques, le cabinet Scet-Scom, installé à Rabat. Europtima (Londres et Casablanca) pour sa part est l’économiste de l’opération. C’est enfin Taghazout Building Company (TBC) qui a pris en charge le volet construction. Cette entreprise, tout nouvellement implantée à Agadir, a été créée par le Canarien Satocan, un des opérateurs du consortium qui a pris en charge l’aménagement de Taghazout. Ce partenaire a une solide expérience dans le domaine du BTP. Il dispose aux iles Canaries d’une filiale spécialisée dans le domaine de l’immobilier.
L’américain Colony Capital et ses associés canariens Lopezan et Satocan mettent ainsi les grands moyens pour la réalisation de la future station de Taghazout. Cela s’est traduit dernièrement par une méga hausse du capital de Taghazout Resort. Celui-ci est passé de 20 millions à 1,1 milliard de DH. C’est qu’ils ont de grandes ambitions pour la zone et, par ailleurs, il faut respecter les délais impartis. Selon l’agenda des promoteurs, plus de 21.000 lits dont près de 16.000 lits hôteliers, seront disponibles pour l’été 2009 sous les enseignes Raffles et Farmount. Deux chaînes hôtelières qui ne se sont pas encore implantées au Maroc.
Au total, sur une durée de sept ans, ce sont 20 milliards de DH environ qui seront injectés par le fonds d’investissement américain et ses partenaires canariens.
Malika ALAMI
L'Economiste