Partis. Izigzawen cherche sa place
Le Parti démocrate amazigh, fondé en mai 2005 autour de Omar Louzi, ne sait plus à quel saint se vouer. Obligé de changer de nom après l’adoption de la nouvelle loi sur les partis (qui interdit toute référence ethnique), le parti a alors choisi un nouveau nom : Izigzawen, ou écologistes en berbère. Pas de chance puisque, là aussi, le nom ne semble pas faire le bonheur des autorités marocaines. “On ne comprend pas très bien où les autorités marocaines veulent en venir”, s’indigne Omar Louzi qui n’a toujours pas obtenu le récepissé attestant de l’existence légale de son parti. Izigzawen aurait saisi le ministère de l’Intérieur, et même le CCDH, pour tenter de régler l’affaire. En vain. Non autorisé, sans siège véritable, le “nouveau” parti, désormais coincé dans le no man’s land politique, n’en appartient pas moins à l’internationale verte (dixit Omar Louzi) qui regroupe les écolos dans le monde.
source: telquel
Le Parti démocrate amazigh, fondé en mai 2005 autour de Omar Louzi, ne sait plus à quel saint se vouer. Obligé de changer de nom après l’adoption de la nouvelle loi sur les partis (qui interdit toute référence ethnique), le parti a alors choisi un nouveau nom : Izigzawen, ou écologistes en berbère. Pas de chance puisque, là aussi, le nom ne semble pas faire le bonheur des autorités marocaines. “On ne comprend pas très bien où les autorités marocaines veulent en venir”, s’indigne Omar Louzi qui n’a toujours pas obtenu le récepissé attestant de l’existence légale de son parti. Izigzawen aurait saisi le ministère de l’Intérieur, et même le CCDH, pour tenter de régler l’affaire. En vain. Non autorisé, sans siège véritable, le “nouveau” parti, désormais coincé dans le no man’s land politique, n’en appartient pas moins à l’internationale verte (dixit Omar Louzi) qui regroupe les écolos dans le monde.
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