Le PDA, comme toute autre initiative amazighe sérieuse, semblerait ces jours-ci être visé par tous ceux et celle qui, à diverses occasions, ont fait la honte du Mouvement Amazighe au Maroc et ce par leurs petits calculs mesquins.
Revenons un peu en arriére. 1er septembre 1997. Le CMA venait de faire faillite à cause justement des agissements irrésponsables de quelques inurguménes et autres individus sans scrupule membres de la déléguation marocaine. Ceux-ci, ayant auparavant "liquidé" la coordination nationale assuré jusque là par le Conseil National de Coordination que présidait le sieur A. Adghirni, avaient tenté une OPA sur la coordination internationale mais qui a été déjouée merveilleusement gràce à la vigilance des délégués de la diaspora. Ce même congrés du CMA de 1997 sera marqué par la distribution anarchiste de quelques papiers qui proposaient la "politisation" de la question amazighe; des papiers qui ne dépassaient guére quelques idées éparpillées et sans fondement scientifique aucun.
Du retour au Maroc, et lors de la réunion de la "réconciliation" tenue au siége de l'AMREC, les militants seraient une fois encore devant les mêmes agissements irresponsables de la part de ceux qui, en optant pour les mêmes manoeuvres de distribution de "papiers non-identifiés", voulaient à tous prix être remarqués par qui de droit en haut lieu ! La feuille qui sera distribuée cette fois-ci proposera aux militants d"équiper" le mouvement amazighe au Maroc de 2 ailes : une aile culturelle et une aile politique ! Le papier arrivera finalement à survoler quelques petits éspaces et à séduire quelques " adorants" du Cheikh/Président de tamaynut qui l'avait initié sans pour autant arriver à convaincre les miltants sérieux. Entre temps, et quelques part à Meknes, un grouposcule de quelques "acadimiciens" et anciens chévronés de la politique sous l'Ere Hassanienne était entrain de se former autour du saint Sidi Mohamed Chafiq, celui à qui l'ON avait d'ores et déjà confié la difficile tàche de trouver un "dénouement pacifique" à la crise berbériste marocaine. Le Saint Chafiq passera des nuits blanches à tenter de monter le scénario qui permetterait au Makhzén, version nouvelle ére, de réussir la récupération de la contestation amazighe avant que celle-ci arrive à toucher le pays "siba". Le Manifeste de Chafiq réussira à faire le grand feu d'artifice dont justement avait besoin le Makhzén. Nous sommes en Mars 2000.
Les signatiares du Manifeste, ceux-ci ne connaissaient pas tous les tenants et aboutissants de cette initiative qui venait de quelqu'un qui à toujours "joué" dans l'ombre du Makhzzan, opteraient lors de la réunion de Bouznika pour l'alternative d'élire une commission nationale qui allait proposer les modes du fonctionnement devant permettre au Mouvement amlazighe de réaliser les revendications trcées dans le Manifeste.
Une années plutard, c'est à dire juin 2001, le Makhzén, montrant ces griffes, fera savoir à qui voulait l'entendre que le temps de la rigolade est révolu. La deuxiéme réunion de Bouznika à été interdite. La raison : elle devait aboutir à l'adoption d'un projet de création d'une association à caractére politique. Chafiq qui "proposait" ( !!!!) aux signataires de se réunir chez lui dans sa somptueuse villa de Souissi, arrivera finalement à calmer les ésprits et à mettre ainsi presque tout le monde sous l'aile des "néguociateurs" de Meknes. La pseudo-politisation du Mouvement Amazigh ne sera finalement "acquise" qu'une année plutard, c'est à dire une fois l'IRCAM fût monté et une fois la majorité de "l'élite" amazighe fût récupérée à travers l'institut de Chafiq. Le Roi Mohamed VI dira dans le Discours d'Ajdir que la politisation de la question amazighe ne sera jamais tolérée au Maroc.
Voilà le cadre presque général dans lequel le PDA sera appelé à oeuvrer.
Nous comprenons donc facilement pourquoi les "ircamistes" ne seront jamais d'accord avec la création d'un parti politique amazighe qui resemblerait au Parti Démocratique du Kurdistan où au Parti National du Kurdistan où au Parti des Travailleurs du Kurdistan. Nous comprenons également pourquoi les néo-makhzaniens se refuseraient de se prononcer sur un sujet tracé "ligne rouge" par le Pouvoir comme nous comprenons les réactions de quelques archaiques "culturalicistes" qui veulent continuer à faire le travail associatif pour promouvoir "assays et ahwach" , et à travers leurs petites associations continuer à faire le petit business qui leur fait gagner quelques sous de plus!!!!!
Le PDA n'est pas un parti de Omar LOUZI ni d'Ahmed ADGHIRNI; c'est un parti des imazighen qui ont mare de jouer aux Komparses !
N.B.: c'est désolant de lire certaines réactions à ce sujet délicat; des réactions qui puent l'envie de réglements de compte abjectes. Nous disons à ceux et à celle qui anime ces dérapages : Bientôt tout sera fini et bientôt commencera le temps des comptes, les vrais comptes !!!
Revenons un peu en arriére. 1er septembre 1997. Le CMA venait de faire faillite à cause justement des agissements irrésponsables de quelques inurguménes et autres individus sans scrupule membres de la déléguation marocaine. Ceux-ci, ayant auparavant "liquidé" la coordination nationale assuré jusque là par le Conseil National de Coordination que présidait le sieur A. Adghirni, avaient tenté une OPA sur la coordination internationale mais qui a été déjouée merveilleusement gràce à la vigilance des délégués de la diaspora. Ce même congrés du CMA de 1997 sera marqué par la distribution anarchiste de quelques papiers qui proposaient la "politisation" de la question amazighe; des papiers qui ne dépassaient guére quelques idées éparpillées et sans fondement scientifique aucun.
Du retour au Maroc, et lors de la réunion de la "réconciliation" tenue au siége de l'AMREC, les militants seraient une fois encore devant les mêmes agissements irresponsables de la part de ceux qui, en optant pour les mêmes manoeuvres de distribution de "papiers non-identifiés", voulaient à tous prix être remarqués par qui de droit en haut lieu ! La feuille qui sera distribuée cette fois-ci proposera aux militants d"équiper" le mouvement amazighe au Maroc de 2 ailes : une aile culturelle et une aile politique ! Le papier arrivera finalement à survoler quelques petits éspaces et à séduire quelques " adorants" du Cheikh/Président de tamaynut qui l'avait initié sans pour autant arriver à convaincre les miltants sérieux. Entre temps, et quelques part à Meknes, un grouposcule de quelques "acadimiciens" et anciens chévronés de la politique sous l'Ere Hassanienne était entrain de se former autour du saint Sidi Mohamed Chafiq, celui à qui l'ON avait d'ores et déjà confié la difficile tàche de trouver un "dénouement pacifique" à la crise berbériste marocaine. Le Saint Chafiq passera des nuits blanches à tenter de monter le scénario qui permetterait au Makhzén, version nouvelle ére, de réussir la récupération de la contestation amazighe avant que celle-ci arrive à toucher le pays "siba". Le Manifeste de Chafiq réussira à faire le grand feu d'artifice dont justement avait besoin le Makhzén. Nous sommes en Mars 2000.
Les signatiares du Manifeste, ceux-ci ne connaissaient pas tous les tenants et aboutissants de cette initiative qui venait de quelqu'un qui à toujours "joué" dans l'ombre du Makhzzan, opteraient lors de la réunion de Bouznika pour l'alternative d'élire une commission nationale qui allait proposer les modes du fonctionnement devant permettre au Mouvement amlazighe de réaliser les revendications trcées dans le Manifeste.
Une années plutard, c'est à dire juin 2001, le Makhzén, montrant ces griffes, fera savoir à qui voulait l'entendre que le temps de la rigolade est révolu. La deuxiéme réunion de Bouznika à été interdite. La raison : elle devait aboutir à l'adoption d'un projet de création d'une association à caractére politique. Chafiq qui "proposait" ( !!!!) aux signataires de se réunir chez lui dans sa somptueuse villa de Souissi, arrivera finalement à calmer les ésprits et à mettre ainsi presque tout le monde sous l'aile des "néguociateurs" de Meknes. La pseudo-politisation du Mouvement Amazigh ne sera finalement "acquise" qu'une année plutard, c'est à dire une fois l'IRCAM fût monté et une fois la majorité de "l'élite" amazighe fût récupérée à travers l'institut de Chafiq. Le Roi Mohamed VI dira dans le Discours d'Ajdir que la politisation de la question amazighe ne sera jamais tolérée au Maroc.
Voilà le cadre presque général dans lequel le PDA sera appelé à oeuvrer.
Nous comprenons donc facilement pourquoi les "ircamistes" ne seront jamais d'accord avec la création d'un parti politique amazighe qui resemblerait au Parti Démocratique du Kurdistan où au Parti National du Kurdistan où au Parti des Travailleurs du Kurdistan. Nous comprenons également pourquoi les néo-makhzaniens se refuseraient de se prononcer sur un sujet tracé "ligne rouge" par le Pouvoir comme nous comprenons les réactions de quelques archaiques "culturalicistes" qui veulent continuer à faire le travail associatif pour promouvoir "assays et ahwach" , et à travers leurs petites associations continuer à faire le petit business qui leur fait gagner quelques sous de plus!!!!!
Le PDA n'est pas un parti de Omar LOUZI ni d'Ahmed ADGHIRNI; c'est un parti des imazighen qui ont mare de jouer aux Komparses !
N.B.: c'est désolant de lire certaines réactions à ce sujet délicat; des réactions qui puent l'envie de réglements de compte abjectes. Nous disons à ceux et à celle qui anime ces dérapages : Bientôt tout sera fini et bientôt commencera le temps des comptes, les vrais comptes !!!