Très récemment, une société nommée "H2 Henergy S.A. Maroc" vient d'être créée à Agadir à l'initiative de l'ingénieur chimiste allemand K.F. Helmut HOEDT.
Cette société, constituée par une équipe de six personnes physiques, a élu domicile à la commune rurale de Tamri, localité d'Aghroud, à quelque <ST1>30 Km</ST1> d'Agadir.
Son objet est d'entreprendre une étude de faisabilité en vue de produire une forme d'énergie propre et grandement efficace : l'énergie à base d'hydrogène.
Voici résumée la motivation de l'initiateur du projet qu'il appuie par un argumentaire d'autorité :
"L'IEA (Agence Internationale d'Energie) prévoit une augmentation de la consommation énergétique, dans le monde, qui sera de l'ordre de 150% d'ici 2030 et dépendra principalement du pétrole et du gaz naturel. Ce qui constitue, selon la même source, une grande menace pour notre civilisation. "Car, d'après le gestionnaire en chef Fatif Briol, si nous ne nous détournons pas des combustibles fossiles (pétrole, charbon et gaz), il y aura une augmentation de 85% de la consommation de ces combustibles avec ce que cela implique comme conséquences fâcheuses sur les plans économique et écologique… Et, pour satisfaire la faim énergétique, nous devons investir sur les 25 ans à venir quelques 16.000.000.000 de dollars US dans tous types de centrales de production électrique.
Par ailleurs, l'augmentation incontrôlée du pétrole se répercutera sur la croissance économique mondiale, la consommation du gaz doublera d'ici 2030 et le charbon devra couvrir 20% des besoins en énergie.
Par conséquent, dans le domaine des transports routiers, il deviendra d'usage de remplacer le carburant traditionnel par un diesel bio ou par l'hydrogène; il en va de même pour d'autres industries. Certains pays européens commencent à abandonner le recours à l'énergie nucléaire; ce qui entraîne le recul de cette source d'énergie en Occident, même si l'IEA en prévoit une courbe en croissance dans las pays asiatiques.
Monsieur K.F. Helmut HOEDT, ingénieur chimiste depuis 1977 ayant exercé en Allemagne et dans d'autres parties du monde (Litto-Jet d'hydrogène Oxygène, entre autres) possède plusieurs brevets concernant divers domaines techniques; citons-en ceux-ci :
Ø Processus for Molding Mineralic aux <ST1><ST1>USA</ST1></ST1>;
Ø Forköpper aus mineralisation en Suisse;
Ø Bestandteilen Vorrichtung et Vorfahren und Vorrichtung en Allemagne;
Ø Dispositivo para Fabrica au Portugal;
Ø Facing Plate and Method en Angleterre;
Ø Sandwich Facade Plate en Iran;
Ø Synthèse Autosuffisance d'un foyer en eau, gaz, climatisation et électricité au moyen de l'énergie transformée, nouvellement inscrit au Maroc;
Ø Ainsi que diverses expériences dans les domaines de H2 et de O2.
Aujourd'hui installé au Maroc, il est désireux de faire profiter son pays d'accueil de sa longue et riche expérience, tentant de mettre les Marocains en confiance à l'égard de cette nouvelle technologie; d'autant plus que – précise-il – le Maroc est doté de tout un potentiel naturel et humain lui permettant aisément d'adopter cette technologie qui ne
demande pas plus que tirer profit des éléments naturels tels le vent, le soleil et la mer.
Il suffit d'après l'ingénieur chimiste, que les autorités compétentes marocaines y croient. Lui, il a déjà élaboré tout un projet minutieusement étudié sur les plans technique et financier. L'étude de faisabilité peut démarrer dès aujourd'hui. A l'issue de ladite étude, les sources de financement ne tarderont pas à venir. M. HOEDT en a déjà proposé plusieurs :
Ø Futurs industriels européens, américains et Marocains,
on privé de <ST1>la H</ST1>2 Henergy S.A. Maroc,
Ø Initiateur du projet K.F. Helmut HOEDT,
Ø Consortium d'Avocats Internationaux,
Ø Banque Marocaine de Gestion Consortial,
Ø Quote-part du directoire.
Rappelons enfin, avec M. Hoedt, que l'hydrogène, obtenu à base de l'énergie solaire présente d'énormes avantages qu'il ne produit aucune pollution, que le Maroc bénéficie d'un ensoleillement de 3500 à 4000 heures par an, que le gaz hydrogène peut être transporté partout, via terre, mer et sous-sol.
Qu'attendons-<WBR>nous donc pour faire confiance à cette initiative et à nos potentialités naturelles et humaines ? N'a-t-on pas le droit de rêver d'une autre indépendance nationale, celle de produire notre propre énergie par nos propres moyens ?