Sahara
D'autres tribus demandent leur tribut
Alors que les « notables sahraouis » viennent, de transmettre leur memorandum au Palais Royal, fustigeant « 25 années de gestion désastreuse au Sahara » et réclamant que l'initiative de Mohammed VI pour le développement soit dédiée en priorité au Sud, la tribu des Aït Baâmrane fait son entrée dans le jeu en réclamant aussi sa part du gâteau.
Les notables Baâmranis ont récemment transmis leurs revendications au Palais réclamant une parité de traitement avec les autres tribus, en clair, jouir des mêmes privilèges que ceux accordés aux sahraouis de Laâyoune. Dans le cas contraire, ils promettent d'organiser une marche de milliers de Baâmranis sur Rabat. Déjà le 22 mai, Sidi Ifni a vu l'organisation d'une manifestation qui avait l'air d'une démonstration à l'adresse de Rabat. Dans les milieux sahraouis, on se gausse du fait que le richissime Derham et que le directeur de la zone sud et responsable du dossier du Sahara à la DGST sont des Baâmranis. D'autres tribus promettent de leur emboîter le pas à l'image notamment des Aït Moussa. Un remue-ménage qui irrite en haut-lieu.
Le journal l'hebdo
D'autres tribus demandent leur tribut
Alors que les « notables sahraouis » viennent, de transmettre leur memorandum au Palais Royal, fustigeant « 25 années de gestion désastreuse au Sahara » et réclamant que l'initiative de Mohammed VI pour le développement soit dédiée en priorité au Sud, la tribu des Aït Baâmrane fait son entrée dans le jeu en réclamant aussi sa part du gâteau.
Les notables Baâmranis ont récemment transmis leurs revendications au Palais réclamant une parité de traitement avec les autres tribus, en clair, jouir des mêmes privilèges que ceux accordés aux sahraouis de Laâyoune. Dans le cas contraire, ils promettent d'organiser une marche de milliers de Baâmranis sur Rabat. Déjà le 22 mai, Sidi Ifni a vu l'organisation d'une manifestation qui avait l'air d'une démonstration à l'adresse de Rabat. Dans les milieux sahraouis, on se gausse du fait que le richissime Derham et que le directeur de la zone sud et responsable du dossier du Sahara à la DGST sont des Baâmranis. D'autres tribus promettent de leur emboîter le pas à l'image notamment des Aït Moussa. Un remue-ménage qui irrite en haut-lieu.
Le journal l'hebdo