L'emergence du pole anti Americain réconforte l'Algérie

mimouni

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La situation en Ukraine et la tentative des Occidentaux de la soustraire a l'influence Russe a dépolarisé la politique mondiale et a poussé a l'émergence d'un pole Anti Occidental qui parait progresser avec succès.
Il était en effet impensable de voir l'Ukraine adhérer a l'Europe et ouvrir la voie a une surveillance rapprochée de la Russie, le comportement de Mr poutine parait donc tout a fait légitime pour défendre les interets de son pays.
mais, Poutine, profitant des mauvais rendements des armées occidentales dans le monde, comme c'était la France en Centrafrique et Mali, les Américains en Afghanistan, Irak et ailleurs, cela a donc pousser Poutine a optimiser peu a peu son implantation en Syrie et finalement carrément passer au combat aux cotés de Bashar al assad et contre les révolutionnaires armés et entrainés par l'Occident.
L'Iran a égalemnt profité de cette situation et est sortie d'une manière vainqueur en ce qui concerne ses projets atomiques face aux puissances occidentales qui paraient il a la fin essayaient de s'en sortir avec plus ou moins d'honneur dans cette situation qui ne leur est plus favorables.
face a une Amérique et une France qui se cramponnent derrière ce qui leur reste comme honneur, la Russie continue de mettre sur pied un pole puissant en grignotant peu a peu les alliés des Américains.
La Syrie, l'Iran, l'Algérie paraissent sereinement impliqué aux cotés de la Russie et réconforté par l'implantation des armées Russes en moyen Orient.
base russe en Syrie:
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source: liberte-algerie.com

S’adaptant à la nouvelle situation, le président syrien joue le jeu tout en sachant que le temps sera en sa faveur. En effet, sauf surprise, il est assuré de se maintenir au pouvoir encore durant quelques années, car chasser Daech de la Syrie n’est pas une mince affaire. Même l’aviation militaire russe s’attelle à l’affaiblir depuis le 30 septembre dernier et que les États-Unis et leurs alliés en font de même du côté irakien, où le mouvement d’Abubakr al-Baghdadi est entré en guerre contre Baghdad en juin 2014. Il ne fait aucun doute qu’un effort de guerre conséquent doit être fourni pour libérer les 300 000 km2 qu’occupe cette nouvelle nébuleuse terroriste en Syrie et en Irak, parce qu’il ne serait pas raisonnable de penser se débarrasser de Daech dans un des deux pays seulement et le laisser opérer dans l’autre. Voilà une tâche qui nécessitera du temps et beaucoup de moyens, d’où tout l’intérêt pour Bachar al-Assad d’accepter toutes les propositions diplomatiques de sortie de crise. “Il est prêt à organiser des élections avec la participation de toutes les forces politiques qui veulent que la Syrie prospère”, mais seulement une fois que la Syrie aura été “libérée” du groupe terroriste Daech, a affirmé le député russe Alexandre Iouchtchenko à l’agence AFP, à l’issue d’une rencontre avec le président syrien avec plusieurs députés russes et d'autres personnalités. La condition de ce dernier est claire, à savoir une libération de la Syrie de l’emprise terroriste. Mais Bachar al-Assad ne compte pas quitter la scène comme le réclament les Occidentaux, bien au contraire il a l’intention de participer au scrutin présidentiel, “si le peuple n'y est pas opposé”, comme l’a précisé l’élu russe. Dans le même ordre d’idées, le chef de l’État syrien a déclaré hier à l’agence officielle Sana que “l'anéantissement des groupes terroristes” qui sévissent en Syrie conduira à un règlement politique du conflit dans ce pays. “L'anéantissement des organisations terroristes est susceptible de conduire à une solution politique recherchée par la Syrie et la Russie”, a-t-il souligné.
Selon lui, cette solution “préservera la souveraineté de la Syrie, son indépendance et l'intégrité de son territoire”. Cet engagement du chef de l’État syrien intervient au lendemain des déclarations du ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, indiquant qu’il était temps de se préparer à des élections en Syrie, en se basant sur le fait que la position occidentale semblait changer et aller “vers une compréhension plus juste” de la situation en Syrie. Ainsi, se débarrasser de Bachar al-Assad n’est pas une sinécure, et seule la diplomatie pourra résoudre cette équation syrienne à plusieurs inconnues.

 
Cette alliance Russo Irano Algero Syrienne qui renait de nouveau a visiblement secouer les Occidentaux et notamment les Américains qui depuis 40 ans ont toujours voulu une solution politique au Sahara Marocain pour priver le Royaume de son monopole mondial du phosphate, ce n'est plus le cas aujourd'hui l'Amérique vient de se prononcer pour le Sahara Marocain et uniquement Marocain
" les Etats Unis d’Amérique viennent de décider clairement d'apporter leur leur soutien au plan d’autonomie, proposé par le royaume. C'est ainsi que dans un communiqué de la commission des affaires étrangères du Congrès, publié lundi 26 octobre 2015 sur le “Washington Post”, cette dernière a recommandé à l’administration américaine de “soutenir le plan d’autonomie sous souveraineté marocaine”.
 
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