En cette circonstance, le Maroc présente un rapport dans lequel il met en évidence les quelques droits octroyés aux Berbères tel la mise en place de l’Institut royal de la culture amazighe (IRCAM). Cette concession des autorités marocaines est insuffisante. Car, en se refusant de reconnaître la langue berbère au plus haut niveau de la hiérarchie des normes, le Maroc reste en porte-à-faux avec la majorité de sa population.
Le Maroc et la Tunisie devant le CERD
Le Maroc et la Tunisie devant le CERD