Le journal hebdomadaire et le congrès de l'AMDH

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AMDH : un congrès mouvementé
Mesententes. Les 10 et 11 avril, l'Association marocaine des droits de l'Homme (AMDH) tenait son septième congrès. Deux jours ponctués par le retrait en grande pompe des militants du parti de la Gauche Socialiste Unifiée (GSU). Que s'est-il donc passé le dimanche 11 avril au complexe sportif Maâmora de Rabat, lors de l'élection de la commission administrative, l'instance dirigeante de l'AMDH ? Ce jour-là, les représentants de la GSU présentent à la commission des candidatures une liste de 17 personnes, " à prendre ou à laisser ", comme le souligne A. Amine. Le nombre de candidats réservé au parti de la gauche radicale est de 13 seulement, mais là n'est pas la question. Les militants de l'AMDH, et à leur tête son président, se plaignent de quelques personnes figurant dans la liste présentée par la GSU. Celles-ci n'auraient pas fait preuve de suffisamment d'efficacité lors de leur passage antérieur à la commission administrative. Résultat : retrait des militants de la GSU, qui n'acceptent pas de voir le nombre de leurs représentants réduit. La question des quotas qui fixent le nombre des candidats présentés par chaque formation politique composant l'association est ainsi mise en avant. Le problème n'est pas nouveau. Pour les dirigeants de l'AMDH, le problème se pose en ces termes : l'équilibre démocratique, qui implique une juste représentation des formations partisanes au sein de l'instance dirigeante de l'association peut être remis en question dès lors qu'il s'agit d'efficacité. Comme le souligne un militant associatif, "l'AMDH n'est pas une superposition d'hommes et de femmes de différents partis et de diverses tendances, c'est un travail presque quotidien, souvent technique, précis, loin des approximations idéologiques. Pour cela, il faut des gens efficaces et assidus ". Par ailleurs, la question amazighe, contrairement à ce qu'affirme Abdelhamid Amine, n'a pas encore été totalement tranchée à l'issue de ce septième congrès. [size=medium][color=0000FF]Certains militants, très minoritaires, il est vrai, et faisant tous partie de groupuscules amazighs plus ou moins extrémistes exigent que la langue amazighe soit considérée par la Constitution comme une langue officielle. Ce qui n'est partagé ni par l'ensemble des militants de l'AMDH ni par leur président[/color][/size]




A chaque fois que le journal hebdomaire parle de l'amazighité, c'est en des termes on ne peut plus péjoratifs et à une seuel fin: discréditer les revendications amazighes. Je me demande en quoi c'est extrémiste de demander l'officialisation de la langue amazighe!!!! Il y a quelque chose qui m'échappe là!

Je déteste cette presse qui n'a de démocrate que les multiples solgans qu'elle nous assène à chaque fois qu'on la feuillette.

Cependant, je me demande pour quelle raison les Amazighes continuent à militer dans des associations de ce genre. Qu'on fasse une association pour la défense des droit de l'homme amazighe parce que les autres c'est pour la défense des droits de l'homme arabe. Je suis vraiment déçu par l'entêtement des amazighes à défendre leur causes au seins de structures dont on connait tous l'idéologie fasciste!
 
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