Ircam , 4 ans deja

agoram

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[FONT=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif]Onomastique amazigh : Le débat revient[/FONT][FONT=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif] Lamine Belarbi
26 Juin 2006
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[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]27 juin 2002-27juin 2006 : quatre années se sont écoulées depuis la création de l'institut royal pour la culture amazigh, connu sous le nom de l'IRCAM. Et déjà, nombreux sont les observateurs qui mettent en relief son apport. Surtout, le plus notable de tous : faire sortir la question amazigh de la grille des lectures alambiquées et opportunistes. Sinon, carrément déconnectées. L'impasse, voilà la grande peur qui menaçait et qui préoccupait les esprits de tout acteur culturel, opérateur symbolique ou autre simple démocrate. On n'en est pas arrivé là, et la question a trouvé sa formule d'apaisement et de désamorce, ce qui ne fut pas le cas dans des contrées similaires.
Dernier pas à débattre, sinon à traiter avec tout le courage requis, celui de l'onomastique amazigh. Il est bien-entendu, de notoriété publique que l'Etat avait pris la décision, peut être argumentée, mais qui reste tributaire de son contexte, d'interdire l'usage des noms amazighs. Conformément à une onomastique arrêtée, dit-on, par l'historien du pays. Ce qui revient à dire que la décision administrative a vite pris l'allure d'une lecture donnée de l'histoire. Plus, on légifère pour faire l'histoire. La question à laquelle il est préférable de joindre toutes les disciplines est de savoir si oui ou non, on peut légiférer dans un cas similaire ? Toute la réponse est là, en fait.

lagazettedumaroc.com
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faut être vigilant avec ces franco-racistes de la gazette de nemmmi! on dirait que les prénoms de mohammed ,aboubker,ali ,omar,otman.etc ont plus de légitimité historique et autre plus que yuba massinissa yidir bassou assou..etc! on a plein droit d'^tre racistes plus que nos boureaux;c'est sartre qui le disait! heureusement qu'on ne demande que notre liberté !! d'ailleurs un nombre des prénoms arabes à l'origine ne sont que des injures!!! soukayna,jaafar,khadija..etc ce sont ces prénoms qu'ils faut interdire!

agoram said:
[FONT=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif]Onomastique amazigh : Le débat revient[/FONT][FONT=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif] Lamine Belarbi
26 Juin 2006
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[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]27 juin 2002-27juin 2006 : quatre années se sont écoulées depuis la création de l'institut royal pour la culture amazigh, connu sous le nom de l'IRCAM. Et déjà, nombreux sont les observateurs qui mettent en relief son apport. Surtout, le plus notable de tous : faire sortir la question amazigh de la grille des lectures alambiquées et opportunistes. Sinon, carrément déconnectées. L'impasse, voilà la grande peur qui menaçait et qui préoccupait les esprits de tout acteur culturel, opérateur symbolique ou autre simple démocrate. On n'en est pas arrivé là, et la question a trouvé sa formule d'apaisement et de désamorce, ce qui ne fut pas le cas dans des contrées similaires.
Dernier pas à débattre, sinon à traiter avec tout le courage requis, celui de l'onomastique amazigh. Il est bien-entendu, de notoriété publique que l'Etat avait pris la décision, peut être argumentée, mais qui reste tributaire de son contexte, d'interdire l'usage des noms amazighs. Conformément à une onomastique arrêtée, dit-on, par l'historien du pays. Ce qui revient à dire que la décision administrative a vite pris l'allure d'une lecture donnée de l'histoire. Plus, on légifère pour faire l'histoire. La question à laquelle il est préférable de joindre toutes les disciplines est de savoir si oui ou non, on peut légiférer dans un cas similaire ? Toute la réponse est là, en fait.

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C'est ce qu'on appelle parler nous ne rien à dire. La Gazette du Makhzen arabiste puant y est vraiment très fort.


agoram said:
[FONT=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif]Onomastique amazigh : Le débat revient[/FONT][FONT=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif] Lamine Belarbi
26 Juin 2006
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[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]27 juin 2002-27juin 2006 : quatre années se sont écoulées depuis la création de l'institut royal pour la culture amazigh, connu sous le nom de l'IRCAM. Et déjà, nombreux sont les observateurs qui mettent en relief son apport. Surtout, le plus notable de tous : faire sortir la question amazigh de la grille des lectures alambiquées et opportunistes. Sinon, carrément déconnectées. L'impasse, voilà la grande peur qui menaçait et qui préoccupait les esprits de tout acteur culturel, opérateur symbolique ou autre simple démocrate. On n'en est pas arrivé là, et la question a trouvé sa formule d'apaisement et de désamorce, ce qui ne fut pas le cas dans des contrées similaires.
Dernier pas à débattre, sinon à traiter avec tout le courage requis, celui de l'onomastique amazigh. Il est bien-entendu, de notoriété publique que l'Etat avait pris la décision, peut être argumentée, mais qui reste tributaire de son contexte, d'interdire l'usage des noms amazighs. Conformément à une onomastique arrêtée, dit-on, par l'historien du pays. Ce qui revient à dire que la décision administrative a vite pris l'allure d'une lecture donnée de l'histoire. Plus, on légifère pour faire l'histoire. La question à laquelle il est préférable de joindre toutes les disciplines est de savoir si oui ou non, on peut légiférer dans un cas similaire ? Toute la réponse est là, en fait.

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