Je trouve que les hommes qui flirtent avec les juifs pou paraître plus humaniste ou tolérant que les autres, qu'il soient Américains, Français ou Marocains, laissent généralement cette impression de n'avoir trouver aucune écoute au près des leurs, pour être aller la chercher au près d'une minorité qui aurait certains appuits.
Je n'ai rien contre les juifs en particulier, et on peu en en parler, dans un contexte a part, qui leurs serait consacré.
Mais dès lors qu’on les met à toutes les sauces, cela devient une echapade qui met plus le doit sur le comunautarisme qu'il ne les sert.
Quant à Raouf, la sincérité de sont discours me parait factice par les renvoies d'ascenseur qu'il parait incessement vouloir faire à la monarchie et à l’entendre en croirait qu'il serait prêt à reprendre du service là ou la laissé son papa.
Je ne croix pas qu'il ait fini de porter les stigmates de l'héritage du passé de son nom et que finalement il est parti pour n'être que le fil de son père.
Il est rester sur des généralités pratiquement adulatrice du régime à par le paragraphe des corruptions qui se trouve la pour habillé d’une certaine crédibilité son intervention.
Il n'a eu aucun mot pour les revendications culturelles et identitaire Amazigh, malgré son allusion feutrée à ses origines.
On s"en passerait d'ailleurs vue l'historique de son père, entre 58 et 59.
Là ou il aurait été le plus utile à son pays c’est en réveillant la nature de ces soit disant pots de vin et corruptions qui révoltèrent son père au point d'avoir opté pour le revirement d'allégeance au trône.
Mais là aussi il ne semble faire miroiter cette carte que pour mieux faire monnayer son silence.
Dommage qu’on n’ait pas la première partie de son interview pour mieux juger de la Crédibilité de son analyse. Mais vu le ton adopter en cette deuxième partie je doute qu'elle ne diffère de beaucoup.
En tout cas, on le remercie de nous confirmer que la France reste continuellement derrière tout ce qui se trame au Maroc.
Issiwane.