Conseil de la communauté marocaine à l'étranger

asnian

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SM le Roi nomme MM. El Yazami et Boussouf respectivement président et SG du Conseil de la Communauté Marocaine à l'Etranger
Rabat, 21/12/07- Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, a reçu ce vendredi 21 décembre 2007, correspondant au 10 Dou Al Hijja 1428 de l'Hégire, au Palais Royal de Rabat, MM. Driss El Yazami et Abdellah Boussouf, que le Souverain a nommés respectivement président du Conseil de la Communauté Marocaine à l'Etranger et secrétaire général dudit Conseil et ce, eu égard à la haute compétence, à l'engagement et à la connaissance approfondie des questions de l'immigration qui leur sont connus, ainsi qu'à leur capacité d'ouverture sur les différentes sensibilités, indique un communiqué du Cabinet Royal.


Maghreb Arabe Presse: SM le Roi nomme MM. El Yazami et Boussouf respectivement président et SG du Conseil de la Communauté Marocaine à l'Etranger
 
Re : Conseil de la communauté marocaine à l'étranger

Rabat, 21/12/07- Voici la liste des membres du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger, qui compte, outre le président M.


Driss El Yazami, 37 membres, sachant qu'en vertu des dispositions du Dahir portant création de cette institution, le Conseil comprendra 50 membres:


1- M. Abdellah Boussouf (secrétaire général du Conseil - Historien - Belgique).

2- M. Paul Dahan (Psychanalyste - Belgique).

3-Mme Yamila Idrissi (Avocate - Belgique).

4 -M. Ahmed Ayaou (Chimiste - Allemagne).

5 - M. Kamal Rahmouni (Acteur associatif - Espagne).

6 - Mme Mina Rhouch (Médecin - Espagne).

7 - M. Mohamed Chaib (Député (Catalogne) - Espagne).

8 -M. Mohamed Kharchich (Opticien - Espagne).

9 -M. Mohamed Anouar Haidour (Syndicaliste - Espagne).

10-Mme Amina Enneceiri (Psychosociologue - France).

11- M. Mokhtar Ferdaoussi (Juriste - France).

12- Mme Najat Azmy (Conseillère municipale - France).

13- M. Omar El Mourabet (Ingénieur - France).

14-M. Mohamed Moussaoui (Ingénieur - France).

15-M. Faouzi Lakhdar Ghazal (Docteur en sciences biologique - France).

16-Mme Najat Belkacem (Membre du cabinet du maire de Lyon -France).

17-M. Younes Ajarrai (Enseignant - France).

18-M. Rachid Benzine (Ecrivain/chercheur - France).

19- M. Adil Jazouli (Docteur en psychosociologie - France).

20-M. Driss Ajbali (Sociologue - France).

21-M. Abdelhamid El Jamri (Consultant - France).

22-Moulay El Mehdi Idrissi Zini (Acteur associatif - France).

23-M. Raphy Marciano (Directeur du centre communautaire de Paris - France).

24-M. Hamid Bichri (Médiateur culturel - Italie).

25 - M. Abdellah Redouane (Docteur en sciences des organisations et en sociologie - Italie).

26-M. Mohamed El Ouafrassi (Diplômé en gestion - Pays-Bas).

27-Mme Nadia Bouras (Universitaire - Pays-Bas).

28 - M. Khemmar El Bakkali (Responsable religieux - Pays-bas).

29 - M. Abdeslam El Menebhi (Militant associatif - Pays Bas).

30 - Mme Souad Talsi (Conseillère juridique - Royaume Uni).

31 - M. Ahmed El Hamss (Technicien en télécommuications - Danemark).

32- M. Daniel Amar (Homme d'affaires - Canada).

33- M. Abdelghani Dades (Journaliste - Canada).

34-Mme Nadia Serhani (Responsable des ressources humaines - Etats-Unis).

35- M. Mohamed Farssi (Professeur d'informatique - Sénégal).

36-Mme Amina Benlarbi (Avocate - Algérie).

37- M. Najib Bencherif (Journaliste - Emirats Arabes Unis).





Jamal E. Ryane

Software Engineer.

Source : PAD-MAROC
 
Re : Conseil de la communauté marocaine à l'étranger

Conseil de la Communauté Marocaine à l’Etranger (CCME) : Conseil
d’une Communauté ou Conseil "d’Experts" ?


Par Abdellatif IMAD, militant associatif, Professeur universitaire, Lille, France,

1. La montagne a accouché d’une souris

Il y a environ 2 ans, le Conseil Consultatif des Droits de l’Homme (CCDH) a émis un avis
consultatif relatif à la mise en place d’un "Comité" qui est chargé d’élaborer des propositions
dans le domaine des "droits et intérêts des Marocains Résidents à l’Etranger (MRE)". Ce
Comité, qui était composé de 20 personnes désignées par le CCDH, était chargé de produire
un "rapport sur l’exercice de la citoyenneté des MRE au Maroc".
Dans l’absolu, les objectifs de ce comité étaient louables et répondaient à une grande attente
des MRE qui ont été victimes d’une absence d’une politique claire et lisible. Le système
politique marocain traitait la question des MRE d’un point de vue sécuritaire visant leur
encadrement en instaurant un climat de peur et de terreur. Les "Amicales", épaulées par les
Consulats, jouaient pleinement ces rôles dans la communauté. D’ailleurs, l’Instance Equité et
Réconciliation (IER), instance mise en place par le CCDH, a bien souligné ce rôle néfaste des
"Amicales", sans aucune suite et en toute impunité. Le temps a été donné aux Amicales de se
transformer pour redorer leurs images !!!
Les gouvernements successifs ont chargé, à chaque fois, un Secrétariat d’Etat de la question
des MRE sans aucune politique globale digne permettant la défense des droits des marocains
ici et là bas. La "Communauté" a été toujours considérée comme une manne financière pour
le budget du pays et les différentes opérations ministérielles ont été axées principalement dans
ce sens.
Le "Comité" a essentiellement privilégié la question de la structure au détriment du contenu
d’une véritable politique relative aux droits des MRE au Maroc et dans leurs pays d’accueil.
Les tractations et les gesticulations ont été centrées plutôt sur une lutte de places recherchant
des "choix savants et équilibrés" répondant à une stratégie du palais de créer une coquille vide
dans un objectif de figuration, à titre "Consultatif". Cette opération politico-médiatique est
loin de répondre aux multiples problèmes des marocains résidents à l’étranger : problèmes
sociaux, culturels, économiques et politiques. La complexité des questions méritait plus qu’un
simple "Conseil". A coup de réunions, d’entretiens, de séminaires, de conférences, …, la
montagne a accouché d’une souris !!

2. Conseil d’une Communauté ou Conseil "d’Experts" ?

La création du « CCME » pose deux questions fondamentales : peut-on parler d’une
communauté marocaine à l’étranger ? un conseil de Communauté ou un Conseil "d’Experts"?
Pour répondre à ces questions clés, il est nécessaire de procéder à un bref rappel historique
politique et associatif des marocains résidents à l’étranger qui est lié à l’histoire de
l’immigration en Europe et ailleurs, avec toutes ses particularités.
Durant les années dites "de plomb" (époque de Hassan II), une poignée d’associations
militantes participait aux différentes luttes des droits des immigrés dans leurs pays d’accueil :
droits de séjour, de logement, de travail, de vote, droits à la formation, à l’expression
culturelle, etc. Ce tissu associatif faisait de la lutte contre les violations des droits de l’Homme
au Maroc un champ de bataille sans merci, face à l’arrogance du régime marocain clairement

exprimée par ses consulats et leurs relais (les amicales). Ce qui a provoqué des déchirures
dans la "Communauté Marocaine" et l’instauration d’un climat de peur et de méfiance.
A ce stade, il est temps de saluer le courage des militants associatifs engagés par conviction
politique oeuvrant pour un Maroc de liberté et de démocratie.
Par honnêteté intellectuelle, il convient de faire un véritable bilan de cette période car pour
"savoir où on va il faut savoir d’où on vient". Cet état de lieu est nécessaire pour mieux
aborder la participation des MRE à un véritable projet collectif animé par l’intérêt général audelà
des intérêts particuliers et individuels de promotions personnelles. C’est une nécessité
incontournable pour prétendre constituer/reconstituer une "Communauté Marocaine".
Alors, il n’est pas honnête de parler de "Conseil d’une Communauté" car ceci serait trop
prétentieux et en décalage avec la réalité de l’immigration marocaine.
Pour ma part, je crois qu’il s’agit plutôt d’un "Conseil d’Experts" auprès du palais qui se
justifie amplement par le mode de désignation (dahir royal) d’une part et du niveau social de
ses membres, d’autre part.
La représentativité, qui est une question délicate, est posée par la constitution de ce "Conseil"
et ceci à différents niveaux. Car, il est peut être nécessaire de rappeler que l’immigration
marocaine a connu trois vagues importantes et différentes les unes des autres : l’immigration
de main d’oeuvre dans les années soixante, l’immigration estudiantine dans les années
soixante-dix, et la dernière vague des "Harraga" durant cette dernière décennie. Ce "Conseil"
n’a de légitimité que de ceux qui l’ont désigné. Il ne peut en aucun cas être la représentation
de tous les MRE puisqu’il n’y a jamais eu de processus démocratique et concerté pour sa
désignation.
C’est pour toutes ces raisons que ce conseil, comme d’autres (même des fois des Hauts
Conseils) déjà mis en place sur d’autres questions, constitue une vitrine s’inscrivant dans le
décor voulu par le palais, en parallèle à un gouvernement paralysé et incapable d’élaborer un
projet de société pour l’avenir du peuple marocain dans lequel doit s’inscrire une place des
MRE à part entière et non entièrement à part, ici et là bas.
Que le palais et/ou ses rouages désirent mettre en place un "Conseil d’experts" est un choix
qui peut être compréhensible. Que le palais impose un "Conseil de la Communauté Marocaine
à l’Etranger", qui se veut une représentation des MRE, cela constitue un déni à la démocratie,
auquel les marocains sont déjà habitués. D’ailleurs, la forte abstention des marocains aux
dernières élections législatives est une preuve de leur rejet total aux jeux politiciens poursuivis
depuis plusieurs décennies au Maroc.

3. Double appartenance pour une véritable Citoyenneté

Les MRE, comme les populations immigrées d’autres nationalités, doivent faire face à de
multiples problèmes ici et là bas. Tout d’abord, dans les pays d’accueil, les montées des
nationalismes contribuent, de plus en plus, à les mettre dans une situation singulière où le
politique utilise leur présence comme étant responsable de tous les maux de la société. Et dans
les pays d’origine, leurs droits sont souvent inexistants par l’absence d’un projet de société
intégrant la place des MRE dans le champ politique au Maroc. Ce constat révèle que cette
double appartenance, qui au lieu d’être vécue comme une richesse, les met souvent face à
deux politiques les ignorant sur différents plans. Cette double appartenance à deux sociétés :
celle de tous les jours et celle de toujours, devrait constituer un apport considérable ici et là
bas. On assiste, de part et d’autre, à des politiques de stigmatisation de l’image de l’immigré
faisant de lui un citoyen entre guillemets.
Le combat noble serait d’exiger une véritable citoyenneté pour les immigrés ici et là bas. Une
citoyenneté basée sur des droits sociaux et politiques loin de toute forme de folklorisation qui
réduit la place de l’immigré dans la cité de sa résidence (permanente ou temporaire). Les
3
immigrés marocains, avec d’autres franges de la société d’accueil, doivent participer à la
construction d’espaces de citoyenneté dans lesquels leurs droits réels doivent être entièrement
reconnus. Dans le pays d’accueil, ils doivent être au centre d’un combat pour une véritable
citoyenneté où chaque marocain retrouve enfin son statut de citoyen à part entière.
C’est sur ces bases saines que les MRE doivent trouver leur contribution positive et active à la
construction d’une société juste et égalitaire, au côté de toutes les forces vives du pays.
C’est pour moi une nécessité incontournable et une conviction profonde. Je suis convaincu
qu’un Autre Maroc est possible où les MRE peuvent prendre leur part entière à son édifice.

Source : PAD-MAROC
 
Re : Conseil de la communauté marocaine à l'étranger

C'est ce que de Gaule aurait appelé "Le grand machin".
 
Re : Conseil de la communauté marocaine à l'étranger

Communiqué



Le Centre Marocain des Droits de l’Homme revendique pour un Conseil Supérieur de la Communauté Marocaine à l’Etranger démocratique et transparent

Le Centre Marocain des Droits de l’Homme qui a suivi le déroulement des consultations menées par l’équipe du Conseil Consultatif des Droits de l’Homme (CCDH) auprès de quelques représentants de la communauté marocaine à l’étranger dans le but d’émettre un avis consultatif sur la base duquel il a été constitué le Conseil Supérieur de la Communauté Marocaine à l’Etranger (CSCME) le vendredi 21 décembre 2007, déclare ce que suitsouss.com:

·souss.comexprime son indignation quant à la méthode poursuivie par le CCDH depuis le début de sa mission consultative où il a mené une politique d’exclusion et de marginalisation envers des différentes composantes de la communauté marocaine.

·souss.com annonce son refus du principe de cooptation choisi par le CCDH, au lieu de l’élection directe voulue par la majorité des MRE. Car ceci est contraire aux normes et aux principes de démocratie, de représentativité, d’impartialité et de transparence.

·souss.comconfirme que la représentation politique des MRE ne pourrait effectivement être réalisée que par leur représentativité au parlement suite aux élections libres et transparentes et une réforme constitutionnelle qui garantit leur citoyenneté totale.

·souss.comFait appel aux instances supérieures à prendre en compte les revendications des MRE concernant la création d’un CSCME à la hauteur de leurs ambitions et espoirs. Un Conseil démocratique et transparent pour représenter cette Communauté sans exclusion ou marginalisation de certains courants politiques ou idéologiques.






Fait à Rabat le 23/12/2007
Par le Bureau du CMDH
Signés: le président Khalid Cherkaoui Semmouni
 
Re : Conseil de la communauté marocaine à l'étranger

PETITION ADRESSEE AU ROI DU MAROC
POUR LES DROITS POLITIQUES EFFECTIFS AU MAROC
DES MAROCAINS RESIDANT A L’ETRANGER

La présente pétition est lancée à l’initiative de l’Alliance Mondiale des Marocains de l’Etranger, le 18 décembre 2007, à l’occasion de la célébration de la Journée Internationale des Droits des Travailleurs Migrants et des Membres de leur Famille.

Elle est ouverte à la signature des Marocains résidant à l’étranger (MRE) et à tout démocrate indépendamment de sa nationalité ou association qui soutient les MRE dans leur combat pour l’acquisition de droits politiques effectifs au Maroc

Le 6 novembre 2005, le Roi Mohammed VI annonçait dans son discours adressé à la nation d’accorder le droit de vote et d’éligibilité aux élections législatives sur base de circonscriptions dans les pays de résidence ainsi que la création d’un Conseil Supérieur de la Communauté Marocaine à l’étranger. Deux décisions qui procèdent de cette démarche démocratique tant attendue par notre diaspora.

Le 6 novembre 2006, le Roi du Maroc annonçait qu’il confiait au Conseil Consultatif des Droits de l’Homme le «souss.comsoin de mener de larges consultations avec toutes les parties concernées en vue d'émettre un avis consultatif concernant la créationsouss.comdu Conseil Supérieur des Marocains de l’Etranger qui se doit d'allier, dans sa composition, les exigences de compétence, de représentativité, d'efficacité et de crédibilitésouss.com».

Il y avait des raisons objectives de penser que le CCDH mènerait cette tâche avec tout le sérieux requis dès lors que celui-ci est placé directement sous l’autorité du Roi et qu’au titre de ses attributions figure notamment «souss.comde contribuer efficacement à la protection des droits et des libertés des Marocains résidant à l’étrangersouss.com».

Plus de deux ans se sont écoulés depuis le discours du 6 novembre 2005 et force est de constater que le dossier politique des MRE est un échecsouss.comau regard des principes démocratiques universellement reconnussouss.com:
Les droits d’éligibilité et de vote des MRE, tels que exprimés dans le discours du 6 novembre 2005, n’ont pu rencontrer la volonté politique nécessaire pour les traduire juridiquement. Le 7 septembre 2007, lors des élections législatives, la diaspora marocaine a été privée de l’exercice de ces droits politiques.
Au terme de sa mission, le CCDH n’est pas parvenu à dégager une solution qui soit de nature à répondre aux conditions de sa mission et aux attentes de la Communauté des MRE.

Si la volonté royale exprimée dans le discours royal du 6 novembre 2007 répond pleinement à deux principes essentiels auxquelles les MRE sont particulièrement attachés, à savoir, que «souss.coml’unique représentativité de la communauté marocaine à l’étranger ne peut être que celle sanctionnée par le suffrage universelsouss.com» et de «souss.comla nécessité d'écarter la désignation directesouss.com» en ce qui concerne la désignation des membres du futur Conseil Supérieur des Marocains de l’Etranger, nous regrettons l’avis du CCDH qui ne répond aucunement aux principes démocratiques communément admis. Après tant de tergiversations, le CCDH recommande en effet, la mise en place d’une institution qui ne serait que transitoire ayant un mandat pour une période de quatre ans et dont les membres seraient désignés. Tant de temps perdu pour de telles conclusionssouss.comet un retard annoncé d’au moins quatre ans pour la mise en place du CSMEsouss.com!

La réalisation d’un État de droit passe inexorablement par le principe de la séparation des pouvoirs et la création d’institutions représentatives procédant d’élections démocratiques. L’exclusion du suffrage universel de plus de 3 millions de Marocains résidant à l’étranger du champ politique remet en cause la crédibilité du processus de démocratisation entamé par le Maroc.

Cette transition démocratique est un projet sociopolitique qui nécessite une véritable réforme constitutionnelle et de profondes révisions touchant le politique, l’économie, le social, le système des valeurs et la structure juridique et institutionnelle.

Dès lors, Nous, Marocains résidant à l’étranger signataires de la présente pétition dénonçonssouss.com:
le rôle du gouvernement mais aussi du gouvernement de «souss.coml’ombresouss.com» et des partis politiques de la majorité parlementaire oeuvrant de concert dans l’avortement du projet royal, prétextant des arguments et des motivations sans fondement, que nous réfutons catégoriquement,
les pseudo-consultations, le favoritisme, les irrégularités flagrantes, les pratiques anti-démocratiques et l’absence de transparence commises dans le cadre de la mission confiée au CCDH.

Nous, Marocains Résidant à l’Etranger signataires de la présente pétition demandonssouss.com:
En ce qui concerne le droit de vote et d’éligibilitésouss.com:
la participation aux élections législatives des MRE sur la base de circonscriptions électorales dans les pays de résidencesouss.com;
En ce qui concerne le Conseil Supérieur des Marocains Résidant à l’Etranger (CSMRE)souss.com:
la mise en place d’un CSMRE sur la base de principes démocratiques,
l’élection des membres du CSMRE au suffrage universel sur la base de circonscriptions électorales dans les pays de résidence,
la mise en place d’une représentation du CSMRE dans les pays de résidence.

Bruxelles, le 18 décembre 2007
 
Re : Conseil de la communauté marocaine à l'étranger

La Coordination des Associations Marocaines de Belgique vous invite à prendre connaissance de la pétition relative aux droits politiques effectifs des Marocains Résidant à l'Etranger (MRE) adressée à Sa Majesté le Roi du Maroc, Mohammed VI.

Le principe d'égalité entre les citoyens marocains inscrit dans la Constitution ne saurait souffrir de discriminations à l'endroit des MRE. La crédibilité de la transition démocratique entamée au Maroc se mesure aussi à la participation politique des MRE au Maroc.

A l'instar de nombreuses démocraties, les ressortissants établis à l'étranger bénéficient de droits politiques dans le pays d'origine (Algérie, France, Italie,..). Rien ne justifie l'exclusion des MRE de ces droits !

Nous déplorons que contrairement aux directives royales, le Conseil Consultatif des Droits de l'Homme a géré le dossier qui lui a été confié de manière anti-démocratique et dans l'absence de transparence.

Vous trouverez également le communiqué du Conseil Marocain des Droits de l'Homme qui témoigne de telles pratiques et revendique pour les MRE de réels droits politiques.

SOUTENEZ LE PRINCIPE D'EGALITE ENTRE LES MAROCAINS DE L'INTERIEUR ET LES MRE !Signez la pétition et faites circuler !

amome

Un sit-in est organisé ce samedi 26 janvier 2008 à 15h devant l'Ambassade du Royaume du Maroc, 29 Boulevard Saint-Michel à 1040 Bruxelles

Soyons nombreux à revendiquer nos droits !
 
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