Communiqué de TAmaynut TaTa.
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Communiqué concernat l'integration de tamazight au sein des écoles de la province de TaTa (Sud du Maroc)
Depuis la promulgation du cisrculaire ministérièle N° 108 concernat l'integration de tamazight dans notre système éducatif nous avons constaté ce qui suit:
1- Les responsables éducatifs n'ont pas pris au serieux cette décision et négligaient l'enseignement de tamazight.
2- Aucune école, choisie pour enseigner cette langue, n'a pris des mesures serieuses pour enseigner l'amazighe qui constitue un élément important de l'identité nationale.
3- Les responsables locaux n'ont fait aucun effort pour obtenir les manuels scolaire consacrés à ce sujet.
4- Au lieu d'enseigner l'amazighe, les heures consacrées à cette langue sont utilisées, par les professeurs et sous l'impulsion des résponsables, pour enseigner d'autres matières.
En même temps, le ministère de l'Education national n'a pas hésité, fin août, de promulgé sur son sit le circulaire n° 90/2005 qui confirme ce qui suit:
1- Expliquer les fondements moraux, nationaux et démocratique qui encadrent l'integration de l'amazighe dans le système éducatif.
2- L'engagement du gouvernement d'organiser le maximum de séminaires pour la formation des formateurs chergés d'enseigner l'amazighe.
3- Le respect de la convention signée entre l'Ircam(Institut royal de la culture amazighe) et le ministère concernant les niveaux et le nombre d'écoles concernées par cet enseignement.
4- L'organisation de trois séminaires de formation des enseignants amazighophones.
5- Envoyer des formateurs à toutes les régions. Pour TaTa, c'était prévu de cherger 5 formateurs.
6- La liste des écoles chargées d'enseigner l'amazighe depuis septembre 2003.
7- La liste des formateurs appartenants à l'Ircam et aux universités.
Au moment où d'autres délégations ont organisé des séminaires de formation des formateurs, en appliquant le contenu du décret n°90, les résponsables éducatifs dans d'autres provinces et notamment celle de TaTa et de Agulmim Semara ont négligé ce devoir pour des raisons non accéptables.
Nous, comme acteurs de la société civile, à l'échel local et réginal, dénnonçons cette négligeance non justifiée et nous demandons à que toutes les composantes de la société civile assume leurs résponsabilités pour assurer une bonne application de l'enseignement de l'amazighe et dénnoncer toutes les initiatives qui tendent à marginaliser la culture amazighe malgré les différents discours officiaux qui affirment le contraire.
Tamaynut-TaTa.
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Communiqué concernat l'integration de tamazight au sein des écoles de la province de TaTa (Sud du Maroc)
Depuis la promulgation du cisrculaire ministérièle N° 108 concernat l'integration de tamazight dans notre système éducatif nous avons constaté ce qui suit:
1- Les responsables éducatifs n'ont pas pris au serieux cette décision et négligaient l'enseignement de tamazight.
2- Aucune école, choisie pour enseigner cette langue, n'a pris des mesures serieuses pour enseigner l'amazighe qui constitue un élément important de l'identité nationale.
3- Les responsables locaux n'ont fait aucun effort pour obtenir les manuels scolaire consacrés à ce sujet.
4- Au lieu d'enseigner l'amazighe, les heures consacrées à cette langue sont utilisées, par les professeurs et sous l'impulsion des résponsables, pour enseigner d'autres matières.
En même temps, le ministère de l'Education national n'a pas hésité, fin août, de promulgé sur son sit le circulaire n° 90/2005 qui confirme ce qui suit:
1- Expliquer les fondements moraux, nationaux et démocratique qui encadrent l'integration de l'amazighe dans le système éducatif.
2- L'engagement du gouvernement d'organiser le maximum de séminaires pour la formation des formateurs chergés d'enseigner l'amazighe.
3- Le respect de la convention signée entre l'Ircam(Institut royal de la culture amazighe) et le ministère concernant les niveaux et le nombre d'écoles concernées par cet enseignement.
4- L'organisation de trois séminaires de formation des enseignants amazighophones.
5- Envoyer des formateurs à toutes les régions. Pour TaTa, c'était prévu de cherger 5 formateurs.
6- La liste des écoles chargées d'enseigner l'amazighe depuis septembre 2003.
7- La liste des formateurs appartenants à l'Ircam et aux universités.
Au moment où d'autres délégations ont organisé des séminaires de formation des formateurs, en appliquant le contenu du décret n°90, les résponsables éducatifs dans d'autres provinces et notamment celle de TaTa et de Agulmim Semara ont négligé ce devoir pour des raisons non accéptables.
Nous, comme acteurs de la société civile, à l'échel local et réginal, dénnonçons cette négligeance non justifiée et nous demandons à que toutes les composantes de la société civile assume leurs résponsabilités pour assurer une bonne application de l'enseignement de l'amazighe et dénnoncer toutes les initiatives qui tendent à marginaliser la culture amazighe malgré les différents discours officiaux qui affirment le contraire.
Tamaynut-TaTa.