Quatre brillants éléments de la police d’Agadir ont neutralisé un attentat contre la soirée artistique organisé à Agadir et dédiée à la paix. Le terroriste était assis à la terrasse d’un café entrain de siroter un café face l’estrade montée sur la plage. Il fallait un grand professionnalisme pour repérer un homme avec un gros sac en plein jour sur la terrasse d’un café. Les policiers ont risqué leurs vie : il se sont approché tous les quatre à la fois de l’homme au sac. Qu’est ce tu as dans ce sac ? Rien que mes affaires. Ouvre le …? un drapeau, Un blouson et deux banderoles. Le drapeau n’est pas celui du makhzen mais celui du mouvement amazigh. Vient avec nos ! et ils jettent l’homme dans leur fourgonnette. Sur son t-shirt l’un des policiers remarque une écriture bizarre et lui ordonne de l’enlever quand l’homme lui demande ce qu’il lui propose en échange l’homme de loi lui ordonne : cache le alors en portant ton blouson ! L’homme s’exécute et le policier lui tire la fermeture jusqu’au menton par la chaleur qu’il faisait dans le fourgon. Il était environ 17 h GMT du samedi 4 novembre 2006.
Au commissariat il est confié un policier plus gradé et un orage d’insulte et de propos raciste, en guise d’interrogatoire, s’abat alors sur l’homme. Combien vous êtes ? Qui va t’aider à étendre ces banderoles ?
Scandalisé par l’attitude du gardien de la paie, le prévenu décide de ne plus prononcé un mot arabe et précise à son tortionnaire que s’il voulait continuer son interrogatoire ce sera en TAMAZIGHT et qu’il a décidé de ne plus comprendre l’arabe. Contrarié à en mourir le policier commence à le tabasser l’un des coups de points qu’il à reçu au front brisa ses lunettes.
En fait l’homme est connu des services de police d’Agadir. Il a déjà porté atteinte à l’ordre public ARABE. Nous vous écrivions (ci bas) qu’il fût arrêté en train de poser avec un drapeau semblable avec des amis algériens. Il s’agit de AZNZAR qui suit l’équipe de foot HASSANIA d’Agadir la où elle va. Cette fois ci il se préparait à prendre le car pour Rabat. Ses bombes n’était donc pas destinée à la plage d’Agadir mais bien à être étendues au terrain de foot où allait avoir lieu la rencontre.
Le policier s’est permis d’envahir l’intimité de l’homme en lui retirant son téléphone portable et en supprimant une sonnerie imitant la musique du groupe IZENZAREN ainsi que le logo du club de foot Kabyle JSK.
A 21,30 h GMT le policier reçoit un appel : il déclare à son détenu qu’il est libre et lui propose de lui réparer ses lunettes.
AZNZAR à décidé de porter plainte pour maltraitance, mais après avoir accompli sa mission d’aller à Rabat soutenir son équipe préférée
Au commissariat il est confié un policier plus gradé et un orage d’insulte et de propos raciste, en guise d’interrogatoire, s’abat alors sur l’homme. Combien vous êtes ? Qui va t’aider à étendre ces banderoles ?
Scandalisé par l’attitude du gardien de la paie, le prévenu décide de ne plus prononcé un mot arabe et précise à son tortionnaire que s’il voulait continuer son interrogatoire ce sera en TAMAZIGHT et qu’il a décidé de ne plus comprendre l’arabe. Contrarié à en mourir le policier commence à le tabasser l’un des coups de points qu’il à reçu au front brisa ses lunettes.
En fait l’homme est connu des services de police d’Agadir. Il a déjà porté atteinte à l’ordre public ARABE. Nous vous écrivions (ci bas) qu’il fût arrêté en train de poser avec un drapeau semblable avec des amis algériens. Il s’agit de AZNZAR qui suit l’équipe de foot HASSANIA d’Agadir la où elle va. Cette fois ci il se préparait à prendre le car pour Rabat. Ses bombes n’était donc pas destinée à la plage d’Agadir mais bien à être étendues au terrain de foot où allait avoir lieu la rencontre.
Le policier s’est permis d’envahir l’intimité de l’homme en lui retirant son téléphone portable et en supprimant une sonnerie imitant la musique du groupe IZENZAREN ainsi que le logo du club de foot Kabyle JSK.
A 21,30 h GMT le policier reçoit un appel : il déclare à son détenu qu’il est libre et lui propose de lui réparer ses lunettes.
AZNZAR à décidé de porter plainte pour maltraitance, mais après avoir accompli sa mission d’aller à Rabat soutenir son équipe préférée