Amazighs. Les raisons d'un désenchantement
Soumis à une pression politique, le gouvernement s'est engagé dès 2001 à réhabiliter le tamazight. Aujourd'hui, il admet qu'il n'en a pas les moyens. Trop tard. Le mouvement berbère est en ébullition.
Même s'il s'agit d'une volonté royale, la promotion de la langue et de la culture Amazigh s'est révélée un véritable parcours de combattant. Depuis quelques semaines, les défenseurs du tamazight sont sur le pied de guerre pour dénoncer “le laxisme”, voire “la mauvaise foi”, de certains responsables dans la réalisation de leurs engagements. “La
volonté politique existe au sommet de l'Etat mais pas chez les directeurs chargés de l'exécution”, s'emporte Ahmed Assid, chercheur à l'Institut royal de la culture amazighe (IRCAM).
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http://www.telquel-online.com/245/maroc1_245.shtml
Soumis à une pression politique, le gouvernement s'est engagé dès 2001 à réhabiliter le tamazight. Aujourd'hui, il admet qu'il n'en a pas les moyens. Trop tard. Le mouvement berbère est en ébullition.
Même s'il s'agit d'une volonté royale, la promotion de la langue et de la culture Amazigh s'est révélée un véritable parcours de combattant. Depuis quelques semaines, les défenseurs du tamazight sont sur le pied de guerre pour dénoncer “le laxisme”, voire “la mauvaise foi”, de certains responsables dans la réalisation de leurs engagements. “La

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