Maroc, 19 avril de chaque année soit la journée de l’enlevé amazigh « Boujmâa Hebbaz, un Kidnappé sans adresse ».
Communiqué
Je, soussigné Said Bajji, déclare à l’opinion publique nationale et internationale que les autorités makhzaniennes à Agadir m’ont interdit de présenter livre que j’ai publié aux éditions Itgel et qui s’intitule : « Boujmâa Hebbaz, un Kidnappé sans adresse ».
Il a été prévu d’organiser cette activité à la salle des Expositions de la municipalité d’Agadir le 18 mars 2007 après avoir accordé une autorisation portant la signature du président des Affaires Culturelles de la municipalité à l’Association Idrfine à cet effet. Mais les autorités makhzaniennes du Maroc ont donné les ordres pour interdire l’activité en mobilisant les forces de l’ordre qui ont encerclé les locaux de la municipalité et fermé la salle.
Je porte aussi à l’opinion publique que subis au quotidien des provocations et des intimidations depuis la publication dudit livre et je reçois des mences par téléphone ou par boîte électronique.
Je voudrais donc attirer l’attention sur les graves atteintes portées à la liberté d’expression et d’opinion en ce pays de tamazgha et j’invite les militants amazighs à faire preuve de solidarité et de soutien et de contribuer à faire la lumière sur le sort du grand penseur amazigh Boujmâa Hebbaz et sur toutes les exactions et les répressions qui ont anéanti les hommes de l’action amzighe et détruit la langue tamazight.
Que le 19 avril de chaque année soit la journée de l’enlevé amazigh, soyons au rendez-vous, activistes, organisations associatives ou universitaires et que notre emblème soit : « une voix pour la liberté et pour la libération ».
Said Bajji
Traduit de l’arabe le 23-03-2007
http://www.amazighworld.org/human_rights/morocco/index_show.php?Id=991
Communiqué
Je, soussigné Said Bajji, déclare à l’opinion publique nationale et internationale que les autorités makhzaniennes à Agadir m’ont interdit de présenter livre que j’ai publié aux éditions Itgel et qui s’intitule : « Boujmâa Hebbaz, un Kidnappé sans adresse ».
Il a été prévu d’organiser cette activité à la salle des Expositions de la municipalité d’Agadir le 18 mars 2007 après avoir accordé une autorisation portant la signature du président des Affaires Culturelles de la municipalité à l’Association Idrfine à cet effet. Mais les autorités makhzaniennes du Maroc ont donné les ordres pour interdire l’activité en mobilisant les forces de l’ordre qui ont encerclé les locaux de la municipalité et fermé la salle.
Je porte aussi à l’opinion publique que subis au quotidien des provocations et des intimidations depuis la publication dudit livre et je reçois des mences par téléphone ou par boîte électronique.
Je voudrais donc attirer l’attention sur les graves atteintes portées à la liberté d’expression et d’opinion en ce pays de tamazgha et j’invite les militants amazighs à faire preuve de solidarité et de soutien et de contribuer à faire la lumière sur le sort du grand penseur amazigh Boujmâa Hebbaz et sur toutes les exactions et les répressions qui ont anéanti les hommes de l’action amzighe et détruit la langue tamazight.
Que le 19 avril de chaque année soit la journée de l’enlevé amazigh, soyons au rendez-vous, activistes, organisations associatives ou universitaires et que notre emblème soit : « une voix pour la liberté et pour la libération ».
Said Bajji
Traduit de l’arabe le 23-03-2007
http://www.amazighworld.org/human_rights/morocco/index_show.php?Id=991